L'histoire se déroule en 1981, à Gotham City. Arthur Fleck travaille dans une agence de clowns. Méprisé et incompris par ceux qui lui font face, il mène une morne vie en marge de la société et habite dans un immeuble miteux avec sa mère Penny. Un soir, il se fait agresser dans le métro par trois hommes alcoolisés qui le brutalisent, le poussant à les tuer en retour. Son geste inspire à une partie de la population l'idée de s'en prendre eux aussi aux puissants ; Arthur bascule peu à peu dans la folie et finit par devenir le Joker, un dangereux tueur psychopathe victime d'hallucinations.
Will Hunting, un jeune homme surdoué avec un passé d'enfant abandonné et maltraité, vit dans une ancienne maison délabrée de Boston Sud. Se formant par lui-même en autodidacte, il dévore tous les livres qui passent à sa portée (notamment ceux traitant de mathématiques, physique, droit, économie, littérature ou poésie), apprenant sans effort. Il aime notamment Nietzsche, Shakespeare, Pope, Locke. Il se reconnaît en eux.
Ben Sobel, modeste psychiatre dépassé par son père, est sur le point de se marier. Il voit un jour débarquer Paul Vitti, parrain mafieux de New York, qui est en proie à des crises d'angoisse soudaines et n'arrive plus à assurer correctement sa charge de parrain. Ben Sobel doit alors composer avec cet encombrant patient, qui risque à tout moment de le liquider.
Paul Vitti (Robert De Niro) souffre de nouveaux symptômes qui l'amènent à chanter pendant deux jours des chansons de la comédie musicale West Side Story. Il tente de se reconvertir dans la vente de voitures, mais il se montre quelque peu agressif à l'égard des éventuels clients. D'un autre côté, Ben Sobel (Billy Crystal), son psychiatre, et sa femme Laura (Lisa Kudrow) sont placés sous la protection du FBI, car ils voient leur vie menacée par des tueurs à gages amateurs. Les agents fédéraux comptent bien soutirer des renseignements à Paul Vitti et se servir de lui comme indicateur.
Kate Miller, la cinquantaine et frustrée sexuellement, suit une psychothérapie. Sentant la jeunesse lui échapper, elle va succomber à un inconnu rencontré au Metropolitan Museum of Art de New York. Cette rencontre lui sera fatale : en revenant chercher la bague qu'elle avait oubliée chez son amant, elle rencontrera la mort dans l'ascenseur. Liz Blake, prostituée, a vu la scène dans le miroir de la cabine : une blonde a lacéré Kate Miller avec un rasoir.
Sabina Spielrein est une jeune femme souffrant d'hystérie. Elle est alors soignée par le psychanalyste Carl Gustav Jung, dont elle devient rapidement la maîtresse. Cette relation se complique fortement lorsque Sabina entre en contact avec un autre psychanalyste, Sigmund Freud. À partir de là, les rapports entre Jung et Freud se développent, de la séduction mutuelle initiale jusqu'à la rupture.
L'écrivain quadragénaire John Henderson, auteur de romans de science-fiction, est en panne autant d'inspiration que de vie amoureuse. Ses deux divorces successifs lui font penser qu'ils sont une incidence de ses médiocres relations avec sa mère Béatrice. John décide d'une « expérience » qui consiste à délaisser pour un temps son appartement de Los Angeles pour retourner vivre chez sa mère qui réside à Sausalito afin de découvrir la cause de leur incompréhension. À la désapprobation de Béatrice qui reste dubitative sur le but de « l'expérience », John réinvestit sa chambre d'enfant en la réaménageant comme au temps où il était lycéen. Après divers achoppements mineurs sur leurs habitudes de consommateurs, les a priori que John avait sur sa mère s'estompent quand il apprend qu'elle entretient une relation discrète « mensuelle et strictement sexuelle » (sic) avec Charles, un homme de son âge. Il constate aussi que Béatrice le surpasse par sa dextérité quand elle tape sur le clavier d'ordinateur comme sur sa machine à écrire de jadis. La séance psychanalytique familiale prend fin quand John trouve entassés dans des cartons des manuscrits dactylographiés, romans et nouvelles d'un style élégant, œuvres secrètes de jeunesse de Béatrice. Éberlués, mère et fils comprennent que leurs différends proviennent du fait que Béatrice, en refoulant ses dispositions pour l'écriture pour n'être qu'une femme au foyer comme le désirait son mari, a inconsciemment reporté son insatisfaction de « romancière ratée » sur John qui a réussi, et qu'elle a transféré son affection sur son fils cadet conformiste et parvenu, un agent sportif qui ne risquait pas d'être un rival littéraire. La réussite de « l'expérience » redonne l'inspiration à John qui regagne Los Angeles tandis que Béatrice se met à écrire avec l'ordinateur.
Anna a rendez-vous pour un premier contact avec le docteur Monnier, psychanalyste. Stressée par ce premier rendez-vous, elle se trompe de porte et est accueillie par M. Faber, un conseiller fiscal qui la prend au premier abord, pour une cliente. Elle lui confie ses secrets les plus intimes de sa vie maritale, et lorsqu'il se rend compte de l'erreur, ne trouve pas le courage de lui dire la vérité. Cherchant à la joindre, il va demander ses coordonnées au docteur Monnier, mais se retrouve à plusieurs reprises en consultation avec le psychanalyste. Lorsque Anna découvre la vérité, elle continue à lui rendre visite et lui fait des confidences de plus en plus intimes. Il se lie entre eux une relation étrange, l'un ne pouvant plus se passer de l'autre.
Leah Lemonnier (Josiane Balasko) a 35 ans. Elle mène une vie morne et déprimante. Son travail de secrétaire la mine. Son chef est un dentiste irascible qui passe son temps à la houspiller. Son analyste (Richard Berry), lui, ne voit en elle qu'une source de revenus faciles et ne fait même pas l'effort de l'écouter, remplissant par exemple sa liste de courses quand elle lui parle. Le voisin de Léah, M. Chpil (Jean Benguigui), est un obsédé sexuel et fêtard jusqu'à pas d'heures. Sa mère Flo (Catherine Samie) est nymphomane, égoïste, avare, méprisante et narcissique. Tout en faisant preuve de son profond mépris envers sa fille dont c'est l'anniversaire, elle ne vient la voir que pour recevoir son chèque de loyer. Elle lui laisse aussi son chien à garder et diverses breloques, dont un miroir orné d'un crâne.
Chloé est une jeune femme très fragile et en pleine dépression. Elle entreprend alors une psychothérapie. Elle tombe rapidement amoureuse de son thérapeute, Paul, et ses sentiments sont partagés. La jeune femme paraît enfin épanouie. Quelques mois plus tard, le couple décide de s'installer dans un appartement commun. Chloé découvre alors que Paul lui a caché une partie de son identité. Il a en effet un frère jumeau, Louis, qui exerce la même profession que lui ...
Un journaliste sévissant dans la presse à scandale publie un article sur une psychologue, spécialiste en sexologie, dans lequel il met en doute l'expérience amoureuse de cette femme. Non content de son premier éclat, et alors que celle-ci ne décolère pas, il décide d'approfondir la question et la consulte sous un prête-nom. Trouvera-t-il matière pour un nouvel article ?
Mère et épouse, Eve White est une femme timide et effacée qui souffre de maux de tête et des trous de mémoire occasionnels. Finalement on l'envoie consulter un psychiatre renommé, le Dr Luther et, pendant qu'elle est sous hypnose, se découvre en elle une « autre personnalité », c'est Eve Black, une sauvageonne qui ne songe qu'à s'amuser. Eve Black sait tout sur Eve White, alors qu'Eve White ignore ce que fait Eve Black. Devant cette situation, le mari d'Eve White la quitte en abandonnant aussi leur fille, Bonnie. Eve Black ayant essayé de tuer cette dernière on envoie Eve White dans un asile.
René a tué sa tante Jeanne, sans doute parce qu'elle tenait trop à voir en lui un criminel. L'avocate Solange le défend. Peu à peu, alors qu'elle voit en René son fils décédé, le fantôme de Jeanne s'incarne en elle. René est acquitté. Ils deviennent amants. Mais après une vie en commun intolérable, c'est elle qui, pour finir, le tue...
L'histoire conte l'apparition de symptômes névrotiques chez Martin Fellman, chimiste, marié, de la bourgeoisie joué par Werner Krauss. Après des pérégrinations entre cauchemars, rêves, fantasme de meurtre de sa femme et autre sentiment de culpabilité, il rencontre par hasard un psychanalyste, le Dr Orth, joué par Pavel Pavlov qui, par la cure psychanalytique, parviendra à le guérir.
En 1891, Sherlock Holmes est retrouvé par le docteur Watson dans un état de totale prostration causé par l'usage de la cocaïne. Avec l'aide de Mycroft Holmes, Watson parvient à entraîner Holmes à Vienne afin de lui faire suivre une cure de désintoxication auprès du docteur Sigmund Freud. Après diverses péripéties, tous les trois seront conduits à prendre l'Orient-Express pour sauver une ancienne patiente de Freud qu'un sultan veut emmener en Turquie.