L'histoire se déroule en 1981, à Gotham City. Arthur Fleck travaille dans une agence de clowns. Méprisé et incompris par ceux qui lui font face, il mène une morne vie en marge de la société et habite dans un immeuble miteux avec sa mère Penny. Un soir, il se fait agresser dans le métro par trois hommes alcoolisés qui le brutalisent, le poussant à les tuer en retour. Son geste inspire à une partie de la population l'idée de s'en prendre eux aussi aux puissants ; Arthur bascule peu à peu dans la folie et finit par devenir le Joker, un dangereux tueur psychopathe victime d'hallucinations.
Will Hunting, un jeune homme surdoué avec un passé d'enfant abandonné et maltraité, vit dans une ancienne maison délabrée de Boston Sud. Se formant par lui-même en autodidacte, il dévore tous les livres qui passent à sa portée (notamment ceux traitant de mathématiques, physique, droit, économie, littérature ou poésie), apprenant sans effort. Il aime notamment Nietzsche, Shakespeare, Pope, Locke. Il se reconnaît en eux.
Mère et épouse, Eve White est une femme timide et effacée qui souffre de maux de tête et des trous de mémoire occasionnels. Finalement on l'envoie consulter un psychiatre renommé, le Dr Luther et, pendant qu'elle est sous hypnose, se découvre en elle une « autre personnalité », c'est Eve Black, une sauvageonne qui ne songe qu'à s'amuser. Eve Black sait tout sur Eve White, alors qu'Eve White ignore ce que fait Eve Black. Devant cette situation, le mari d'Eve White la quitte en abandonnant aussi leur fille, Bonnie. Eve Black ayant essayé de tuer cette dernière on envoie Eve White dans un asile.
Le jeune Sigmund Freud se rend à Paris pour rencontrer le professeur Charcot, dont les travaux sur l'hypnose l'intéressent. Revenu à Vienne, il poursuit ses propres recherches, malgré l'opposition de son entourage. Seul le docteur Breuer le soutient...
Kate Miller, la cinquantaine et frustrée sexuellement, suit une psychothérapie. Sentant la jeunesse lui échapper, elle va succomber à un inconnu rencontré au Metropolitan Museum of Art de New York. Cette rencontre lui sera fatale : en revenant chercher la bague qu'elle avait oubliée chez son amant, elle rencontrera la mort dans l'ascenseur. Liz Blake, prostituée, a vu la scène dans le miroir de la cabine : une blonde a lacéré Kate Miller avec un rasoir.
Évocation de la vie de Marie Bonaparte, petite-nièce de Napoléon et disciple de Sigmund Freud. Cette princesse est réputée pour avoir beaucoup soutenu Freud et n'a cessé de le promouvoir auprès de ses amis et connaissances.
L'écrivain quadragénaire John Henderson, auteur de romans de science-fiction, est en panne autant d'inspiration que de vie amoureuse. Ses deux divorces successifs lui font penser qu'ils sont une incidence de ses médiocres relations avec sa mère Béatrice. John décide d'une « expérience » qui consiste à délaisser pour un temps son appartement de Los Angeles pour retourner vivre chez sa mère qui réside à Sausalito afin de découvrir la cause de leur incompréhension. À la désapprobation de Béatrice qui reste dubitative sur le but de « l'expérience », John réinvestit sa chambre d'enfant en la réaménageant comme au temps où il était lycéen. Après divers achoppements mineurs sur leurs habitudes de consommateurs, les a priori que John avait sur sa mère s'estompent quand il apprend qu'elle entretient une relation discrète « mensuelle et strictement sexuelle » (sic) avec Charles, un homme de son âge. Il constate aussi que Béatrice le surpasse par sa dextérité quand elle tape sur le clavier d'ordinateur comme sur sa machine à écrire de jadis. La séance psychanalytique familiale prend fin quand John trouve entassés dans des cartons des manuscrits dactylographiés, romans et nouvelles d'un style élégant, œuvres secrètes de jeunesse de Béatrice. Éberlués, mère et fils comprennent que leurs différends proviennent du fait que Béatrice, en refoulant ses dispositions pour l'écriture pour n'être qu'une femme au foyer comme le désirait son mari, a inconsciemment reporté son insatisfaction de « romancière ratée » sur John qui a réussi, et qu'elle a transféré son affection sur son fils cadet conformiste et parvenu, un agent sportif qui ne risquait pas d'être un rival littéraire. La réussite de « l'expérience » redonne l'inspiration à John qui regagne Los Angeles tandis que Béatrice se met à écrire avec l'ordinateur.
Anna a rendez-vous pour un premier contact avec le docteur Monnier, psychanalyste. Stressée par ce premier rendez-vous, elle se trompe de porte et est accueillie par M. Faber, un conseiller fiscal qui la prend au premier abord, pour une cliente. Elle lui confie ses secrets les plus intimes de sa vie maritale, et lorsqu'il se rend compte de l'erreur, ne trouve pas le courage de lui dire la vérité. Cherchant à la joindre, il va demander ses coordonnées au docteur Monnier, mais se retrouve à plusieurs reprises en consultation avec le psychanalyste. Lorsque Anna découvre la vérité, elle continue à lui rendre visite et lui fait des confidences de plus en plus intimes. Il se lie entre eux une relation étrange, l'un ne pouvant plus se passer de l'autre.
L'histoire conte l'apparition de symptômes névrotiques chez Martin Fellman, chimiste, marié, de la bourgeoisie joué par Werner Krauss. Après des pérégrinations entre cauchemars, rêves, fantasme de meurtre de sa femme et autre sentiment de culpabilité, il rencontre par hasard un psychanalyste, le Dr Orth, joué par Pavel Pavlov qui, par la cure psychanalytique, parviendra à le guérir.
À la mort du pape, le conclave se réunit à Rome. Les premiers votes se terminent par une fumée noire car aucun des favoris ne parvient à obtenir le quorum. Après plusieurs tours de votes, le cardinal Melville est élu, bien que n'étant pas considéré au départ comme un des papables.
Ben Sobel, modeste psychiatre dépassé par son père, est sur le point de se marier. Il voit un jour débarquer Paul Vitti, parrain mafieux de New York, qui est en proie à des crises d'angoisse soudaines et n'arrive plus à assurer correctement sa charge de parrain. Ben Sobel doit alors composer avec cet encombrant patient, qui risque à tout moment de le liquider.
Ann Sutton est mariée au docteur William Sutton, psychanalyste en vue. Épouse modèle et comblée mais secrètement cleptomane, elle se fait attraper dans un grand magasin pour le vol d'une broche de forte valeur. Surgit alors M. Korvo qui la tire de ce mauvais pas et lui évite un scandale dont elle craignait qu'il entache la réputation de son mari et ruine la confiance qu'il place en elle. Se débrouillant pour la revoir, David Korvo qui se présente comme un docteur, se propose de la soigner de sa cleptomanie. Commencent alors des séances d'hypnose, en cachette de son mari, qui vont entraîner Ann dans une terrible machination.
Lors d'un voyage au Mexique, alors qu'elle assiste à une bagarre au couteau dans la rue entre deux hommes qui se disputent une femme, Celia Barett, jeune héritière newyorkaise, croise le regard de Mark Lamphere. Sous le charme de cet homme, elle décide de l'épouser. Lors de la cérémonie elle se rend compte qu'elle ne sait rien de lui si ce n'est qu'il est architecte et directeur d'une revue en difficulté financière. Elle découvre par la suite que son mari a été marié et qu'il a un fils, David. Elle découvre également la vraie nature de son étrange passion : Mark collectionne des reconstitutions de chambres dans lesquelles des meurtres ont eu lieu. Cependant, l'une de ces pièces, la 7, est toujours fermée à clé, et le mari refuse d'en parler : y a-t-il un secret derrière cette porte ? Celia fait fabriquer une copie de la clef, et découvre derrière la porte, une réplique de sa propre chambre, qui était aussi celle de la première femme de Mark. Renonçant à fuir cette étrange maison, Celia décide de lutter pour préserver son amour, et confronter Mark à ses propres démons, lesquels sont liés à un souvenir d'enfance.
En 1891, Sherlock Holmes est retrouvé par le docteur Watson dans un état de totale prostration causé par l'usage de la cocaïne. Avec l'aide de Mycroft Holmes, Watson parvient à entraîner Holmes à Vienne afin de lui faire suivre une cure de désintoxication auprès du docteur Sigmund Freud. Après diverses péripéties, tous les trois seront conduits à prendre l'Orient-Express pour sauver une ancienne patiente de Freud qu'un sultan veut emmener en Turquie.
Isolé dans son bureau, Simon Polaris passe le temps, à mille lieues du livre qu'il doit écrire. Apathique et désabusé, il se rend chez son psychanalyste pour lui faire part de son désir d'en finir. Mais dans la poche de pantalon du psychanalyste, persiste un dernier mystère : une montre qu'aurait portée John Kennedy le jour de son assassinat.