Les X-Men sont à la recherche d'un étrange mutant dénommé Kurt Wagner qui s'est introduit dans le bureau ovale pour tenter d'assassiner le président des États-Unis. L'attentat a rendu l'opinion publique de plus en plus hostile contre les mutants. Alors que le Professeur Xavier et Cyclope rendent visite à Magnéto dans sa prison pour savoir s'il est impliqué, Xavier découvre qu'un certain William Stryker, un militaire qui semble en savoir long sur le passé de Wolverine, a soutiré des informations à Magnéto. Stryker, aidé par son assistante Yuriko Oyama, enlève le Professeur Xavier et Cyclope, puis lance un raid sur le manoir de la Fondation Xavier. Il s'empare des plans du Cerebro et de six élèves mutants. Parmi les rescapés, on compte Malicia, Pyro, Iceberg, Kitty Pryde, Colossus, Wolverine et d'autres élèves qui se sont échappés par les différents couloirs de sortie.
Un homme gravement blessé est retrouvé dans une forêt de la côte Est des États-Unis. Il a perdu la mémoire et ne sait plus qui il est. Très vite, un commando surarmé retrouve sa trace et tente de le tuer. En prenant la fuite, il se découvre une surprenante aptitude au maniement des armes, des réflexes et une violence qu'il ne soupçonnait pas. Sa photo fait bientôt l'ouverture des journaux télévisés, la police et les services secrets le prennent en chasse ; on l'accuse du meurtre de la Présidente des États-Unis. Commence une course effrénée pour retrouver son identité, et comprendre le rôle qu'on lui fait jouer dans un complot qui touche le sommet de l'administration américaine. Il n'a qu'une piste : le mystérieux chiffre XIII tatoué sur sa clavicule.
Trois ans après, séparé de Jane (qui n'est pas venue à leur mariage), Frank Drebin continue sa traque des malfaiteurs et, en raison de ses états de service, il est accueilli à la Maison-Blanche pour un dîner organisé par le président au cours duquel doivent être abordées les questions énergétiques. Il retrouve Jane qui est devenue l'assistante du professeur Meinheimer mais cette dernière s'est fiancée à Quentin Hapsburg. Ce dernier trempe dans de sombres histoires dans lesquelles le professeur Meinheimer est impliqué bien malgré lui.
Le 25 février 1994, Yann Piat (députée Front national puis non-inscrite depuis 1986) qui brigue la mairie de Hyères avec l'Union pour la démocratie française, est tuée par deux motards.
Composé de documents d'archives et de quelques passages de fiction, le film brosse un portrait mordant de Benito Mussolini, yellow Caesar : empereur couard.
Yes, We Fuck! présente la sexualité de plusieurs personnes handicapées (le terme employé est personnes dotées de « diversité fonctionnelle », pour mettre en avant des modes de fonctionnement corporel différents plutôt que le handicap). À travers six récits, différentes thématiques sont traitées, notamment l'expérience de sa propre sexualité, la vie en couple, la prostitution, ou encore l'assistance sexuelle.
The film reports on controversies concerning and within the animal rights movement. These include external conflicts between animal rights advocates and medical researchers and restaurant operators, and internal disagreements within the animal rights movement between the animal shelter operators and the confrontationalists who demonstrate outside homes of corporate opponents. The film also discusses the comparison between animal liberation activists and political terrorists, including the FBI's ranking of animal-rights activists as the nation's No. 1 domestic terrorism threat.
Dans les années 1960, dans un pays méditerranéen (il est suggéré de manière allusive qu'il s'agit de la Grèce), dans le contexte de la Guerre froide, les corps de la gendarmerie et de la police estiment qu'il est de leur devoir de s'opposer, par tous les moyens, aux mouvements considérés comme subversifs, qu'il s'agisse du communisme, de l'anarchisme ou du pacifisme.
Lors d'un séjour dans leur maison de campagne, Solange (Jeanne Ferron), une sexagénaire annonce à ses trois filles et sa petite-fille Zouzou (Anouk Delbart) qu'elle a un homme dans sa vie.
Le film raconte la rencontre de trois femmes tunisiennes, trois femmes confrontées aux traditions patriarcales conservatrices. Leïla, d'origine modeste, dans l'impossibilité de vivre un amour partagé, a dû fuir et se prostituer. Naïma, médecin, qui l'a prise en charge dans des circonstances extraordinairement pénibles, vit, de son côté, toute seule avec sa fille Mounia. Elle aussi a dû renoncer à une idylle de jeunesse et a fait un mariage arrangé malheureux. Le troisième portrait de femme est celui d'Amina, mariée à un professeur de philosophie aux idées libérales. Elle est pourtant désillusionnée et vit, à présent, séparée.