Ce documentaire s'attaque de plein fouet aux problèmes brûlants de l'Amérique. La caméra de Michael Moore filme avec scepticisme le Président George W. Bush et ses propres conseillers.Prenant pour point de départ l'élection controversée de 2000, le réalisateur retrace l'improbable ascension d'un médiocre pétrolier texan devenu maître du monde libre. Puis il ouvre la boîte de Pandore du Président et révèle les liens personnels et financiers qui unissent la famille Bush à celle de Ben Laden.Michael Moore y dénonce également les méfaits du Patriot Act et les souffrances provoquées par la guerre en Irak.
Ce film est un documentaire critique de la société américaine qui tente de répondre à cette question : « Pourquoi le nombre d'homicides par arme à feu est-il proportionnellement plus élevé aux États-Unis que dans les autres pays ? ». Le titre fait référence à la fusillade du lycée Columbine à Littleton (Colorado) en 1999 où 12 lycéens et un professeur sont assassinés par deux de leurs camarades.
Plus d'un tiers des enfants et des adolescents américains ont un problème de poids. Deux adultes sur trois aux États-Unis d'Amérique sont atteints de surcharge pondérale ou d'obésité. Comment les États-Unis sont-ils devenus aussi gros ? Les chaînes de restauration rapide sont souvent montrées du doigt mais plusieurs procès qui leur ont été intentés par des clients devenus obèses ont été perdus faute de preuves.
Le film alterne entre une critique farouche du statu quo et la satire sociale comique. Moore commence le film avec une série de séquences de vidéo surveillance montrant des vols de banque (un des voleurs étant même sur béquille). Moore utilise ensuite une archive vidéo de l'Encyclopædia Britannica afin de comparer les temps modernes en Amérique et l'Empire romain.
Inside Job est le premier film qui s'essaye à une analyse exhaustive de la crise financière mondiale qui a éclaté en 2008. Il décrit aussi le rôle qu'ont joué des banques comme la Lehman Brothers, Merrill Lynch, Goldman Sachs et Barclays dans cette crise. Selon le réalisateur, celle-ci était évitable, car, pour que la crise de 1929 et la Grande Dépression ne puissent se reproduire, « des mécanismes avaient été mis en place, qui ont protégé les États-Unis de toute crise financière jusqu’en 2008 ». Mais, « avec la dérégulation progressive du secteur financier, les années 80 ont vu l'émergence d'une industrie de plus en plus criminelle, dont les « innovations » ont provoqué une succession de crises financières. Chaque crise étant pire que la précédente, et pourtant, au vu des enjeux d'enrichissement et du pouvoir croissant de l'industrie, chacune a envoyé très peu de gens derrière les barreaux ». C. Ferguson fait ainsi remarquer qu’en dépit « des fraudes qui ont provoqué des milliers de milliards de pertes, personne n'est allé en prison ». Le film donne la parole à l'ensemble des protagonistes, dont des experts qui avaient annoncé la crise, et qui à l’époque n'avaient pas été écoutés ou jugés être des cassandres. Selon la présentation du film faite par Sony Pictures, Inside Job révèle « l'émergence d'un business dénué de tout scrupule et expose les relations scandaleuses qui ont corrompu la politique, les autorités de régulation et le monde universitaire ».
Tourné sur plus de trois ans, le film relate d'un point de vue très personnel le déclin de Flint, ville berceau de General Motors (GM), qui y possédait auparavant la plus grande entreprise du monde. Moore évoque d'abord son enfance à Flint, ses envies de départ, la période lors de laquelle il devient journaliste à San Francisco, puis le choc que subit la ville ouvrière quand il y revient, avec le début de licenciements massifs et de fermetures d'usines. Victime des délocalisations au Mexique menées par sa mono-industrie, Flint cherche des reconversions improbables, comme le tourisme, qui échouent inéluctablement, et voit grimper le chômage, les problèmes sociaux, la criminalité et l'exode de sa population. Le président Ronald Reagan, venu à la rencontre des habitants, leur conseille ainsi de partir chercher du travail ailleurs.
Documentaire sur l'état catastrophique du système éducatif américain.Davis Guggenheim part à la rencontre des élèves et de leurs parents, mais aussi des professeurs et membres de ce système qui essayent, jour après jour, de l'améliorer.
Ce documentaire montre l'évolution des Sociétés anonymes (appelées Corporations en anglais) aux États-Unis, reprenant leur histoire depuis leur apparition avec la Révolution industrielle, où elles étaient conçues pour répondre au « bien public » mais furent détournées de cet objectif par la recherche du profit.
L'action se déroule, en Catalogne, quelques semaines après l'échec du coup d'État franquiste du 18 juillet 1936. Mobilisées spontanément et dans l'urgence, les milices de la Confédération Nationale du Travail (CNT) et de l'Union Générale des Travailleurs (UGT), après avoir écrasé les factieux, tiennent le front face à l'armée régulière. C'est le début de la révolution sociale et de la guerre civile...
Dror Moreh a décidé de réaliser ce film après avoir mesuré l'importance décisive du Shabak (Shin Beth) sur la scène politique israélienne depuis quarante ans. Ces six directeurs à la retraite de la sécurité israélienne évoquent leurs victoires et les échecs passés sans nostalgie. Très critiques vis-à-vis des politiques menées par leurs gouvernements (à l'exception de celui d'Yitzhak Rabin), ils défendent tous un changement radical de politique en Israël : la recherche de la paix et la reconnaissance au plus tôt de l’État palestinien.
Fed Up shows how the first dietary guidelines issued by the U.S. government 30 years ago overlooked the role of dietary sugar in increasing risks of obesity, diabetes, and associated ill-health outcomes, particularly in children. Since these guidelines effectively condoned unlimited addition of sugar to foods consumed by children, sugar consumption has greatly increased, obesity has skyrocketed, and generations of children have grown up far fatter than their parents. These children face impaired health and shorter lifespans as a result. As the relationship between the high-sugar diet and poor health has emerged, entrenched sugar industry interests with almost unlimited financial lobbying resources have beaten back attempts by parents, schools, states, and in Congress to provide a healthier diet for children.