Ce documentaire s'attaque de plein fouet aux problèmes brûlants de l'Amérique. La caméra de Michael Moore filme avec scepticisme le Président George W. Bush et ses propres conseillers.Prenant pour point de départ l'élection controversée de 2000, le réalisateur retrace l'improbable ascension d'un médiocre pétrolier texan devenu maître du monde libre. Puis il ouvre la boîte de Pandore du Président et révèle les liens personnels et financiers qui unissent la famille Bush à celle de Ben Laden.Michael Moore y dénonce également les méfaits du Patriot Act et les souffrances provoquées par la guerre en Irak.
Le film alterne entre une critique farouche du statu quo et la satire sociale comique. Moore commence le film avec une série de séquences de vidéo surveillance montrant des vols de banque (un des voleurs étant même sur béquille). Moore utilise ensuite une archive vidéo de l'Encyclopædia Britannica afin de comparer les temps modernes en Amérique et l'Empire romain.
Dror Moreh a décidé de réaliser ce film après avoir mesuré l'importance décisive du Shabak (Shin Beth) sur la scène politique israélienne depuis quarante ans. Ces six directeurs à la retraite de la sécurité israélienne évoquent leurs victoires et les échecs passés sans nostalgie. Très critiques vis-à-vis des politiques menées par leurs gouvernements (à l'exception de celui d'Yitzhak Rabin), ils défendent tous un changement radical de politique en Israël : la recherche de la paix et la reconnaissance au plus tôt de l’État palestinien.
Le film, plus qu’une biographie ou un documentaire, est un voyage initiatique dans l’univers du Pape François. Fait assez exceptionnel, le film est co-réalisé par le Vatican et s’articule autour des idées et du message du Pape, afin de présenter son travail, aussi bien que les réformes et les réponses qu’il propose face à des questions aussi universelles que la mort, la justice sociale, l’immigration, l’écologie, l’inégalité de revenus, le matérialisme ou le rôle de la famille.
Le film alterne des séquences montrant des paysages naturels et des rites religieux ou spirituels humains, filmés sur les cinq continents. Au cœur du film, des séquences plus pénibles (accompagnées notamment de morceaux de Dead Can Dance dont The Host of Seraphim) montrent les aspects destructeurs de l'humanité telles la misère ou la guerre. La fin du film revient sur des séquences de spiritualité, notamment une séquence des bains rituels dans le Gange, à Varanasi en Inde.
Paper Clips takes place in the rural, blue-collar Tennessee community of Whitwell, where a middle-school class attempts to gauge the magnitude of World War II's Holocaust by collecting paper clips, each of which represents a human life lost in the Nazis' slaughter of Jews. The idea came in 1998 from three of the teachers at the school and was completed in their eighth grade classrooms. The students ultimately succeeded in collecting over 25 million paperclips.
Le film traite du centre Kids on Fire, un rassemblement évangélique néo-charismatique pour enfants près de Devils Lake (Dakota du Nord) créé par Becky Fisher et son ministère Kids in Ministry International. Les sujets principaux du film sont des enfants qui étaient au rassemblement pendant l'été 2005 : Levi, Rachael et Tory (Victoria). Le film inclut des extraits vidéos au rassemblement et à Christ Triumphant Church à Lee's Summit (Missouri).
Ce documentaire traite de Fred A. Leuchter Jr. qui a travaillé dans le domaine des techniques d'exécution, puis témoigné en faveur du négationniste Ernst Zündel lors de son procès en 1988, avant de voir ses qualifications et titres démentis et de perdre son emploi.