Centré sur un entretien où Claude Lanzmann revient sur sa vie et sur la réalisation de Shoah - les choix initiaux, les embûches, les dangers, la recherche de moyens pour mener à bien cette entreprise, l’épuisement…, Adam Benzine donne aussi à voir des fragments des rushes de Shoah.
The documentary looks at the intimate, personal reasons individuals are drawn into that world and how some find their way out of it. The film also shows that Westerners embracing jihad is nothing new and has been going on since the 1980s.
Après une longue fascination pour la religion et avec beaucoup d'expérience dans le traitement des comportements humains excentrique, désagréable et inattendu, le Theroux ne trompeusement sans prétention ne pas prendre pour une réponse quand sa demande d'entrer dans le siège de l'Eglise est tourné vers le bas. Inspiré par l'utilisation des techniques de tournage de l'Eglise, et aidé par les ex-membres de l'organisation, Theroux utilise les acteurs de rejouer certains incidents les gens prétendent qu'ils ont vécu en tant que membres pour tenter de mieux comprendre la façon dont il fonctionne. Étrangement, il devient clair que l'Église fait aussi un film sur Louis Theroux.
En Birmanie, le « Vénérable W. » est un moine bouddhiste très influent. Partir à sa rencontre, c’est se retrouver au cœur du racisme quotidien, et observer comment l'islamophobie et le discours haineux se transforment en violence et en destruction. Pourtant nous sommes dans un pays où 90% de la population est bouddhiste, religion fondée sur un mode de vie pacifique, tolérant et non-violent.
Avec Pierre Patry, le spectateur pénètre dans l'intimité d'un couvent, chose exceptionnelle au cinéma. En suivant les pas et l'expérience d'une novice, nous découvrons les usages, les règles et le rythme du monastère de le communauté des Servantes de Jésus-Marie, à Hull.
Le film, basé sur deux années d'enquête, montre que des moniales du monde entier ont été et sont victimes d'abus sexuels de la part de supérieurs hiérarchiques. Le cas des pères Thomas Philippe (cofondateur de la communauté de l’Arche) et Marie-Dominique Philippe (fondateur de la communauté Saint-Jean) qui ont violé des religieuses pendant des décennies sans l'intervention de l'Église, est central dans le documentaire.
Jocelyne Khoueiry était une combattante active des milices phalangistes durant la guerre civile libanaise. A la fin de la guerre, elle se repent et se tourne vers Dieu. Jocelyne Saab rentre au Liban pour faire son portrait.
Ce documentaire a la particularité « de confronter directement des victimes de prêtres pédophiles, en caméra cachée, avec leurs agresseurs ». Il « met en cause la hiérarchie épiscopale dans la faiblesse — voire l’absence — des sanctions dans les cas de pédophilie », dénonçant l'hypocrisie de l'église polonaise et l'impunité des prêtres agresseurs.