Première partie
31 décembre 1942, dans la petite ville de Marconesse. À l'Hôtel de France, tenu par les Durieux, le réveillon bat son plein. Parmi les convives, le riche exploitant forestier Henri Delaître et sa famille, le lieutenant Gascher, chef de la Kommandatur et Jean de Montvert, un écrivain collaborationniste. Mais, dans la nuit, peu de temps après avoir quitté l'Hôtel de France, Henri Delaître est assassiné par un mystérieux individu sous les yeux de sa femme. L'adjudant chef Thomassin veut se saisir de l'affaire, mais Gascher insiste pour que l'enquête soit confiée à la Sûreté de Bordeaux. Le commissaire Valette délègue alors l'inspecteur Coëzec. Ce dernier arrive à Marconesse au moment où Thomassin s'acharne sur Loulou Beaufort, l'homme à tout faire de l'hôtel. Pour Coëzec, la difficulté est de taille : en cette période troublée, ses investigations se déroulent dans un climat hostile et dangereux...
Il s’agit de la rencontre d’un vieil homme, le docteur Léon Chapuis, et d’un enfant, son petit-fils Yvon, dans le contexte de la guerre et de l’occupation dans une petite ville de province, Ribérac en Dordogne, (région de Bordeaux). Yvon méprise les convictions pétainistes qu’affiche son grand-père et les amitiés dont il dispose à la Kommandantur locale. Mais sous des dehors de notable pétainiste, monsieur Léon est en réalité le chef local de la Résistance. Les circonstances vont l’obliger à prendre en charge son petit-fils de 12 ans. Chacun des deux fera le chemin nécessaire pour aller vers l’autre.
Dans les années 1950, Jacques, un instituteur de province, se rend comme tous les ans en compagnie de son épouse Louise et de ses enfants (Françoise et Lucien) dans la petite ville où il a vécu durant l'occupation allemande pour y faire un numéro de clown. Quand André, un industriel, le meilleur ami de Jacques se rend compte que Lucien ne s'amuse pas beaucoup pendant le spectacle, il l'emmène à l'extérieur de la salle de spectacle afin lui raconter l'histoire qui a provoqué cette vocation de clown chez son père.
Après la défaite de Waterloo, les Anglais exilent Napoléon Bonaparte à Sainte-Hélène, île minuscule perdue au milieu de l'Océan Atlantique. C'est ainsi que l’Empereur déchu, qui a eu l'Europe à ses pieds, se retrouve étouffé dans un lieu au climat hostile, où il devra rester jusqu'à sa mort. C’est là qu’il dicte ses mémoires et se construit son mythe.
Paris. 1968. Isabelle et son frère jumeau Théo fréquentent régulièrement la Cinémathèque française tout comme Matthew, un étudiant américain réservé. C’est devant la Cinémathèque fermée lors des manifestations de protestation à la suite du renvoi de son directeur Henri Langlois que les trois jeunes gens se rencontrent et sympathisent immédiatement. Matthew, qui loge dans une petite chambre de la rue Malebranche, est invité par Isabelle et Théo à dîner chez eux avec leurs parents.
En juin 1940, à l'hôtel Splendid de Bordeaux sont réunis ministres, journalistes, grands bourgeois, demi-mondaines et espions de tous bords. Là, un jeune homme devra choisir entre une célèbre actrice et une étudiante passionnée, entre les politiques et les voyous, entre l'insouciance et l'âge adulte.
1805, durant les guerres napoléoniennes, le HMS Surprise, vaisseau anglais, commandé par le capitaine Jack Aubrey dit Jack la Chance, se lance à la poursuite du vaisseau français Acheron à travers l'océan Pacifique, affrontant notamment le cap Horn. Se déroule alors un véritable jeu de chasse entre les deux navires ennemis, qui doivent par ailleurs affronter une mer capricieuse. Ils croisent par ailleurs au large des îles Galápagos, dont la faune et la flore vont beaucoup intéresser le chirurgien Stephen Maturin, naturaliste passionné et précurseur de Charles Darwin. Le film dépeint également le monde marin et les hiérarchies régnant au sein d'un navire de guerre. Le capitaine Jack joue alors le rôle de seul maître à bord, entouré de ses matelots et soldats qu'il commande. Seul Stephen, ami de longue date du capitaine semble être placé sur le même piédestal que Jack. C'est d'ailleurs le seul qui tient tête au capitaine lorsqu'il s'agit de remettre en question son rôle en tant que capitaine et le système militaire naval dans son ensemble, ce qui laisse place à de nombreuses discussions entre deux bons amis, ou entre un capitaine et son médecin lorsque les avis divergent, notamment lorsque le matelot Joseph Nagle se fait fouetter sur le pont du navire devant l'équipage entier, pour mauvais comportement.
Odile est veuve depuis quelques mois ; son mari est tombé pour la France. Mère de deux enfants, institutrice, elle fuit Paris, et s’embarque dans l’exode de juin 1940, vers le sud de la France. Mais les Allemands bombardent. Leur voiture prend feu. Secourus par un jeune homme mystérieux, secret, un peu louche, mais très débrouillard, ils s’enfoncent dans la forêt avant de s’abriter dans la grande demeure abandonnée par un compositeur de musique. La guerre se met alors en suspens. Les sentiments peuvent reprendre le dessus. Mais pour combien de temps ?
Le documentaire a pour sujet la libération de la France durant l'été 1944 au travers des figures historiques : De Gaulle, Roosevelt, Pétain et des mouvements de résistance, armées engagées dans le conflit.
Pendant la Seconde Guerre Mondiale.
Sur les pentes du Jura, dans cette petite Sibérie, Bernard Anthonioz fait passer des réfugiés en Suisse. Son ennemi juré, Maurice Nicod, est lui aussi passeur. Mais aux hommes, il préfère la contrebande d'objets précieux. Depuis peu, la Milice contrôle son village. Anthonioz et sa fille attendent le moment opportun pour une nouvelle mission. La famille de Nicod (Donnadieu) est plutôt spécialisée dans le passage des objets vers la Suisse, alors que celle d'Anthonioz (Guy Marchand) passe des fuyards qui se réfugient en Suisse (Juifs, personnes recherchées par la Gestapo, résistants). Les deux patriarches devront faire face à l'amour imprévu de la fille Anthonioz avec le fils Nicod.
En 1942, pendant la Seconde Guerre mondiale, la jeune Écossaise d'Édimbourg Charlotte Gray se rend à Londres pour offrir son aide à l'effort de guerre. C'est là qu'elle fait la rencontre d'un pilote de l'Armée de l'air britannique, Peter Gregory, dont elle tombe follement amoureuse. Mais peu de temps après lors d'une mission sur le sol français, son avion est abattu et Peter est porté disparu.
À Saïgon, au Viêt Nam, au début de 1952, pendant la guerre d'Indochine, le journaliste britannique chevronné Thomas Fowler et le jeune Américain Alden Pyle, membre d’une mission d’aide médicale, se disputent les faveurs de la jeune amie vietnamienne de Fowler, Phuong. Parallèlement, Fowler découvre progressivement la véritable personnalité de Pyle. Ce dernier, agent sous couverture de la CIA, apporte un soutien logistique au général Thé, qui commete des attentats contre les Français faussement attribués au Việt Minh.
À Boulogne-Billancourt en 1943, parmi les épreuves dont un bombardement des usines Renault, la concurrence entre les industries cinématographiques française et allemande (la Continental) pour recruter les talents littéraires pour des scénarios.
A Paris, en 1943, Jules, un juif de dix-neuf ans, vit sans idéal, ballotté par les circonstances. Il devient tour à tour traître puis héros. Thomas, son frère de quinze ans, veut, pour sa part, agir et se battre dans la résistance. Tous deux aiment Ana Maria, une résistante espagnole prête à se sacrifier pour libérer la France occupée. Ces jeunes gens vont faire leur apprentissage de la vie en étant confrontés à des évènements historiques exceptionnels.