À Saïgon, au Viêt Nam, au début de 1952, pendant la guerre d'Indochine, le journaliste britannique chevronné Thomas Fowler et le jeune Américain Alden Pyle, membre d’une mission d’aide médicale, se disputent les faveurs de la jeune amie vietnamienne de Fowler, Phuong. Parallèlement, Fowler découvre progressivement la véritable personnalité de Pyle. Ce dernier, agent sous couverture de la CIA, apporte un soutien logistique au général Thé, qui commete des attentats contre les Français faussement attribués au Việt Minh.
C'est une tranche de l'histoire de l'Indochine française des années 1920 à 1950 à travers la saga d’une famille française coloniale exploitant des plantations d'hévéas, immergée dans le soulèvement de Vinh et la mutinerie de Yên Bái en 1930 jusqu'aux accords de Genève de 1954 qui ont mis fin à la présence française en Indochine. À l'intérieur de ce cadre historique se déroule une histoire d'amour entre l'héritière de cette famille, Éliane, et un lieutenant de vaisseau de la marine française, Jean-Baptiste. Celui-ci optera ensuite pour les nationalistes vietnamiens, par amour pour une princesse vietnamienne (Camille, fille adoptive d'Éliane) devenue communiste dans les bagnes français. Le chef de la Sûreté coloniale française le « suicidera ».
L'histoire de huit journées de guerre. En mai 1954, durant la guerre d'Indochine, la 317e section locale supplétive composée de quatre Français et de quarante-et-un Laotiens reçoit l'ordre d'abandonner le petit poste isolé de Luong Ba à la frontière du Laos, pour rallier une colonne partie au secours du camp retranché de Diên Biên Phu.
1954. La Guerre d'Indochine est terminée. Afin de détruire un dépôt de munitions situé dans les montagnes à la frontière de la Chine, où viennent se fournir d'armes les troupes communistes d'Hô-Chi-Minh, le capitaine américain Brock, allié des militaires français, prend le commandement d'un commando de soldat de la Légion étrangère. Il est composé du capitaine Caumont et du caporal Pigalle, tous les deux français, du caporal allemand Krueger, de l'Hongrois Andreades, du Chinois Leung et de Goldie, un Noir américain. Ils sont rejoints par Lucky Legs, une eurasienne qui n'est d'autre que l'épouse légitime de Brock. Ce dernier l'a abandonnée pour s'engager dans la guerre de Corée mais aussi car elle a donné naissance à un enfant aux yeux bridés.
En mars 1954 à Hanoï, le journaliste américain Howard Simpson réalise un reportage sur la guerre d'Indochine. Il se lie d'amitié avec plusieurs militaires français et apprend, à leur côté, le début de l'attaque contre le camp retranché de Diên Biên Phu. Il voit là l'occasion d'obtenir les premiers scoops pour son journal. Il entre en contact avec un journaliste français de l'AFP afin de faire confirmer ses informations.
Ce documentaire est le portrait d’une Marocaine engagée comme prostituée dans un bordel militaire de campagne par l’armée coloniale française et qui a participé à la guerre d’Indochine. Âgée de plus de 70 ans, Fadma déclare avoir fait ce film pour demander à la France de la reconnaître comme elle reconnaît les anciens combattants « …car moi j’ai participé à l’effort de guerre. »
À quelques jours de la fin de la guerre d'Indochine, un commando de treize parachutistes, avec à sa tête le lieutenant Brissac, est largué sur le village vietnamien de Quinh Quang où une infirmière — Catherine Fournier — est retenue prisonnière. Ils la délivrent et font retraite vers leur base — à vingt jours de marche de là — après avoir détruit le village et tué ses habitants. La nuit suivante, un des paras est abattu.
L'action du film se déroule dans les dernières années de l'Indochine française. La première partie suit les parcours d'une nonne et d'un militaire. Dans la seconde partie, un combattant Việt Minh prisonnier confie à un évadé un message d'amour pour sa jeune femme enceinte. Le message est transmis à un enfant qui l'inscrit sur un papier, transmet le papier à une Française qui rentre en France avec les maîtres de la femme du prisonnier. 25 ans passent avant que ce message, passé de main en main puis oublié, soit redécouvert à Paris, où la femme du prisonnier habite désormais. Leur fille revient alors au Vietnam, décidée à refaire l'itinéraire de ce papier dispersé au fil de l'histoire tragique de son pays.
Le film Fort du fou narre, non sans nostalgie pour la période coloniale, l'abandon - durant la guerre d'Indochine - de réfugiés tonkinois catholiques par une armée française impuissante.
En 1949, trois amis d'enfance âgés de 20 ans, quittent leur village natal de Charente-Maritime pour l'Indochine. Alors qu'ils découvrent l'amour, ils se retrouvent pris dans la tourmente de la guerre d'Indochine.
Entre 1946 et 1954, pendant la guerre d'Indochine, plus de 60 000 soldats d’Afrique furent engagés en Extrême-Orient contre le Viet Minh. Là-bas, des liens se créent entre des Vietnamiennes et des soldats africains. Des enfants naissent. Certains d’entre eux sont laissés à leur mère, d’autres sont emmenés en Afrique. À partir de l’histoire de Christophe, un Africasien de 58 ans, Idrissou Mora-Kpai raconte l’histoire de ces enfants métissés mais aussi les combats contre nature qui opposaient Africains colonisés et Vietnamiens luttant pour leur indépendance.
À Saïgon, au Viêt Nam, au début de l'année 1952, pendant la guerre d'Indochine, le journaliste britannique vétéran Thomas Fowler et le jeune Américain Alden Pyle, membre d’une mission d’aide médicale, se disputent les faveurs de la jeune amie vietnamienne de Fowler, Phuong. Parallèlement, Fowler découvre progressivement la véritable personnalité de Pyle, agent sous couverture de la CIA qui apporte du soutien logistique au général Thé, qui commet des attentats contre les Français, faussement attribués au Viet Minh.