Recherché mort ou vif, Bugs est pisté par Elmer de la police montée. Elmer, devant un arbre portant une affiche de recherche du lapin, se réjouit de la prochaine capture de Bugs. Il s'aperçoit alors de traces de lapin dans la neige qui mènent à plusieurs autres arbres portant chacun une affiche. La première a été retouchée par Bugs en ajoutant une grosse moustache et une langue sortie. La seconde est en fait une publicité pour le magazine de la police montée, avec une pin-up en accroche. La troisième montre une affiche de recherche avec le lapin qui s'est caricaturé en Adolf Hitler. Le policier découvre enfin le terrier de Bugs et cherche à le piéger avec une carotte.
Vienne 1938. Katie O'Hara, une jeune chanteuse américaine, épouse un riche baron autrichien proche des nazis, ce qu'elle préfère ignorer. Pat O'Toole un journaliste mondain américain lui aussi qui enquête sur ce mariage, est séduit
Le rideau s'ouvre sur une scène de théâtre où une reproduction du tableau du Yankee Doodle The Spirit of 76', peint par Archibald Willard, occupe le fond. Surgit Bugs Bunny jouant du pipeau avec une carotte, scène quasi identique à celle terminant le cartoon A Wild Hare (1940). Bugs croque la carotte et commence son discours patriotique en citant les figures emblématiques des États-Unis et tout d'abord de l'Oncle Sam, avec une certaine familiarité. Il revient en portant le chapeau aux couleurs du drapeau américain et la barbe blanche symboliques de l'Oncle Sam. Bugs lance des « war bonds » à pleines poignées, comme des tracts, et chante une chanson dont les paroles incitent l'assistance à acheter ces bons, qui « garantiront la liberté ». Il continue en dansant puis entame une parodie d'Al Jolson, artiste de music hall très populaire en Amérique et très lié au monde du jazz (il se maquille souvent en noir dans ses spectacles). Bugs prend les traits de Al Jolson et reprend brièvement son titre « Mammy », transformé pour l'occasion en « Sammy » (l'Oncle Sam). Porky Pig (en marin) et Elmer Fudd (en fantassin) rejoignent Bugs, chantent et dansent avec lui devant le public. L'image de la publicité pour ces bons vient clore le film.
Au XIX siècle, en Camargue, le charmant Frédéri, jeune fils chéri d'exploitants aisés du mas du Castelet, est follement amoureux d'une belle Arlésienne et ne songe qu'à l'épouser. Mais la famille apprend qu'elle a déjà eu une aventure avec un gardian. Frédéri est profondément affecté par cette révélation qui anéantit tous ses rêves. Les efforts de son entourage pour lui faire oublier son Arlésienne en l'incitant à se marier avec la gentille Vivette resteront vains : Fréderi finira par se suicider.
Un clochard, qui vient de gagner une forte somme à la loterie, est la cinquième victime d’un mystérieux assassin qui signe ses crimes d’une carte de visite au nom de Monsieur Durand. Le commissaire Wenceslas Vorobeïtchik, appelé par tous Wens, se voit donner deux jours pour l’arrêter. Mila Malou, son amie, veut être engagée par un imprésario, qui lui fait comprendre que si elle avait son nom dans le journal, comme Monsieur Durand, il l’engagerait. Elle a alors l’idée d’arrêter celui-ci. L’assassin tue encore. Mila est arrêtée alors qu’elle est en chasse de Monsieur Durand et finit par demander qu’on appelle Wens. Un agent veut arrêter un homme ivre, perché sur un bec de gaz, qui vient de l’injurier. Il tire sur ses habits, pour le faire descendre. Il déchire ainsi la poche de sa veste d’où tombe, sans qu’il ne s’en rende compte, un lot de cartes au nom de Monsieur Durand. Au commissariat, Wens reconnaît l’homme, Turlot, à qui il a déjà eu affaire. Il lui apporte l’adresse de Monsieur Durand, une pension au 21 avenue Junot. Cette adresse, il l'a découverte grâce aux cartes, que Wens a ramassées, et qu'il sort d’un chiffonnier qu'il a récupéré à la pension. Wens laisse à Mila une lettre à remettre au préfet, sous deux jours, et lui révèle qu’il espère arrêter Monsieur Durand.
Ce dessin animé est une parodie de l'histoire bien connue des Trois Petits Cochons, produit dans le ton de la propagande anti-nazis de la Seconde Guerre mondiale. Dans ce dessin animé, les cochons partent en guerre contre Adolf le Loup (sous les traits d’Adolf Hitler), qui menace d'envahir Cochonland (Pigmania dans la version américaine). Les deux cochons qui construisent leurs maisons en paille et en bois déclarent qu'ils n'ont pas besoin de prendre des précautions contre le loup puisqu'ils ont signé un Pacte de non-agression avec lui. Le cochon qui construit sa maison en pierre, le Sergent Pur Porc (Sergeant Pork dans la version américaine) prend ses précautions et renforce sa maison avec un puissant dispositif de défense composé de barbelés, de bunkers, d'obusiers et de tranchées.
Anxious to help boost the career of her aspiring actress sister Eileen, reporter Ruth Sherwood of the Columbus Courier writes a rave review about her performance in a local play before it opens. When Eileen is replaced on opening night and the newspaper mistakenly runs the inaccurate review, Ruth is fired.
Odette Joyeux incarne une jeune aristocrate excentrique, surnommée « Chiffon », qui a du mal à se plier aux conventions sociales de son milieu. Veuve, sa mère (Suzanne Dantès) voudrait la marier avec un riche militaire noble, le duc d'Aubière. Sans s'en rendre compte, Chiffon est amoureuse de son oncle, pionnier de l'aviation ruiné…
Une ravissante cadre publicitaire suscite la jalousie de ses clients. Elle embauche un artiste fauché pour qu'il tienne le rôle de son assistant et fiancé officiel, et ne tarde pas à tomber amoureuse de lui.
Dans le nid d'une famille de vautours, une maman vautour s'adresse à ses 4 petits afin de ramener de la nourriture. Elle leur assigne à chacun un animal à chasser (successivement un cheval, un bœuf, un élan et une vache). Tous partent sauf le dernier, « Killer » Beaky, qui est un grand timide malhabile et balbutiant. La mère vautour propulse d'un coup de patte hors du nid ce petit un peu immature et l'oblige à ramener au minimum un lapin. Il va prendre alors pour cible Bugs : il fonce sur lui comme un avion. Bugs se fait passer pour la tour de contrôle, mais en le guidant, il le fait s'écraser au sol. Le lapin se présente comme à son habitude et lui demande ce qu'il chasse. Beaky cherche un moment avant de se rappeler que c'est un lapin. Bugs lui demande alors de bien vouloir le laisser se laver avant d'être capturé. Le vautour attend longtemps pendant que Bugs chante dans son terrier. Sentant qu'il se fait avoir, il veut plonger la tête dans le terrier et découvre Bugs déguisé en séduisante dame qui sort de son bain. Le jeune vautour se détourne, rougit de honte. Bugs en profite pour le frapper avec sa serviette de bain enroulée, et se cache derrière un rocher. Alors que le vautour le cherche, Bugs taquine la pomme d'Adam proéminente de Beaky et s'enfuit juste après : d'abord par petits bonds, puis à la manière d'un patineur sur glace. Il ne se rend pas compte au début que Beaky, en vol, l'attrape par les oreilles. Bugs chatouille l'oiseau avec une de ses plumes pour lui faire lâcher prise. Le lapin tombe brutalement derrière un squelette d'animal. D'abord horrifié en voyant son corps sous la forme d'un squelette, il pleure, pense être mort. Cela ne l'empêche pas de faire des apartés avec le public : il s'exclame hors de propos « Horrible, hein ? » puis découvre qu'il est toujours vivant et rit comme un fou avant de confier effrontément au spectateur « J'étais au courant depuis le début ! ». Bugs se fait attraper à nouveau par le vautour. La bataille qui s'ensuit tourne à la danse entre les adversaires, avec Bugs qui reprend son rôle de séductrice. Au cours de la danse, Bugs fait tourner Beaky comme une toupie, toupie qui s'enfonce dans le sol devant le squelette. Beaky prend peur comme Bugs, appelle au secours. La mère vautour arrive à tire-d'aile. Face à l'ardeur meurtrière de la mère, Bugs Buny remet Beaky debout. Voyant que son petit est finalement sauf, elle finit par entourer Bugs de son aile et lui dit « Toi, toi, mon héros », puis l'embrasse d'un baiser passionné d'où apparaît un cœur. Bugs rougit, prend la forme du bec de Beaky et se met à balbutier comme lui.