En 1943, durant la Seconde Guerre mondiale, un avion s'écrase en mer. Huit membres de l'équipage meurent et seulement trois, dont l'athlète olympique américain Louis Zamperini, survivent durant 47 jours sur un canot de sauvetage. Ils sont ensuite capturés par la marine impériale japonaise et envoyés dans un camp de prisonniers de guerre, à Ōmori où ils sont soumis à des travaux forcés.
Derice Bannock a un rêve dans la vie : aller aux Jeux Olympiques et faire aussi bien que son père, Ben Bannock, célèbre sprinter jamaïcain et champion olympique du 200 mètres à Mexico, en 1968. Pour cela, Derice s'entraîne dur tous les jours et peut compter sur le soutien de sa femme et de son ami de toujours, Sanka Coffie, un bon vivant insouciant, possédant des royales rasta dreadlocks sept fois champion de push cart. Le jour des sélections sur 100 mètres, Derice est considéré comme le favori, mais à mi-course, son concurrent Junior Bevil, fils d'un riche bourgeois de Kingston, qui court contre l'avis de son père, l'entraîne dans sa chute, ainsi qu'un troisième athlète : Yul Brenner. Malgré les réclamations, le président de la Fédération jamaïcaine refuse de faire recourir la course.
Le film s'inspire librement de l'histoire vécue de deux athlètes britanniques concourant aux Jeux olympiques d'été de 1924 à Paris. L'Anglais Harold Abrahams (interprété par Ben Cross), juif, surmonte l'antisémitisme et la barrière de classe pour pouvoir se mesurer à celui que l'on surnomme l'Écossais volant, Eric Liddell (Ian Charleson) au 100 mètres. Liddell, fervent pratiquant protestant presbytérien, déclare cependant forfait car ses convictions lui interdisent de courir un dimanche. À la place, Liddell est autorisé à prendre le départ du 400 mètres, un jeudi.
Cinq ans après avoir quitté sa fiancée enceinte le jour de leur mariage un homme décide de la reconquérir en courant pour la première fois un marathon, le Marathon de Londres.
Ce film retrace l'histoire vraie de l'athlète indien Milkha Singh. Il a été inspiré du livre autobiographique de l'athlète intitulé The Race of My Life.
En 1934, en pleine période de ségrégation raciale, Jesse Owens arrive à l'université d'État de l'Ohio pour travailler avec les meilleurs entraîneurs de l'époque. Ce petit‐fils d’esclave va y développer une relation étonnante avec un entraîneur blanc, Larry Snyder. Devenu entraineur d’avant‐garde, obsédé par la réussite, il ne fait aucune distinction de couleur entre ses protégés, contrairement à ses collègues. Les deux athlètes n'ont qu'un objectif : les Jeux olympiques d'été de 1936 à Berlin.
Nanou, un jeune homme blanc, élevé par la population indigène après la mort de ses parents missionnaires est découvert par deux entraîneurs universitaires américains qui voient en lui un incroyable athlète. Ils le poussent à participer à une compétition d'athlétisme à Los Angeles...
En mai 1915, durant la Première Guerre mondiale, deux amis australiens s'engagent pour aller combattre sur le Front européen aux côtés des Alliés. Ils se retrouvent à Gallipoli, en Turquie, et y découvrent les horreurs de la guerre au cours de la Bataille des Dardanelles. Les hommes de troupe, notamment, doivent composer avec un commandement borné et incompétent qui les envoie sciemment à la mort.
La jeune sprinteuse Chris Cahill a du mal à atteindre son potentiel en tant qu'athlète, jusqu'à ce qu'elle rencontre la star de l'athlétisme établie Tory Skinner. Alors que Tory et son entraîneur aident Chris dans son entraînement, les deux femmes nouent une amitié qui se transforme en relation amoureuse. Leur intimité se complique cependant lorsque l'amélioration de Chris les amène à devenir des concurrents pour l'équipe olympique.
The films starts in 1987 with the doctors struggling to protect a woman and her baby. Meanwhile, the woman's husband prays to his native deity that if his wife delivers his baby successfully, he would name the baby with the name of the deity. The baby is born without any problems and as per the wish, they name the baby, Kunjithapadham (Sivakarthikeyan).
Un père de famille divorcé dont la vie professionnelle vacille se fixe comme objectif ultime de disputer le marathon se déroulant durant les Jeux olympiques.
Biographie de Jim Thorpe, héros malheureux des Jeux olympiques de 1912 qui remporta deux médailles d'or dans les épreuves combinées d'athlétisme. Jim Thorpe s'illustra également en football américain.