Sir Wilfrid, un brillant et expérimenté avocat spécialiste des causes perdues, sort d'un séjour prolongé à l'hôpital et doit, pour des raisons de santé, renoncer à s'occuper d'affaires criminelles trop stimulantes. C'est à ce moment que Leonard Vole, accusé du meurtre de madame French, vient lui demander son aide. Bien que l'affaire paraisse passionnante, Sir Wilfrid refuse de s'en occuper pour préserver sa santé et conseille un autre avocat, Brogan-Moore, un de ses anciens élèves. Après le départ de Leonard Vole du bureau de Wilfrid, Christine Vole, la femme de Leonard, fait son apparition. Elle est son seul alibi pour le soir du meurtre. Son attitude très froide et désinvolte, ainsi que son rôle crucial dans l'affaire font changer Wilfrid d'avis, qui décide malgré les recommandations des médecins de s'occuper de cette affaire qui le fascine.
In The Gambia, West Africa, in 1750 Kunta Kinte is born to Omoro Kinte (Thalmus Rasulala), a Mandinka warrior, and his wife, Binta (Cicely Tyson). When Kunta (LeVar Burton) reaches the age of 15, he and a group of other adolescent boys take part in tribal manhood training, ending with a ceremony, after which they become recognized as men and Mandinka warriors. While trying to carry out a task to catch a bird and take it home unharmed, Kunta sees white men carrying firearms, along with their black collaborators. Later, while fetching wood outside his village to make a drum for his younger brother, Kunta is captured by black collaborators under the direction of white men. He is then sold to a slave trader and placed aboard a ship under the command of Capt. Thomas Davies (Edward Asner) for a three-month journey to Colonial America. During the voyage a group of rebels among the human cargo try but fail to stage a mutiny and to take over the ship.
Vienne, novembre 1823. Au cœur de la nuit, un vieil homme égaré crie : « Pardonne, Mozart, pardonne à ton assassin ! ». Sa chambre étant verrouillée, ses serviteurs tentent de l’allécher avec des friandises mais n’entendent que des sons étouffés suivis d’un cri tranchant. La porte enfoncée, ils tombent sur un vieil homme noyé dans une mare de sang. Cet homme n'est autre qu'Antonio Salieri, jadis musicien réputé et compositeur de la Cour.
Dans un futur proche, les États-Unis ont développé ce qui est appelé le « rêve partagé », une méthode permettant d'influencer l'inconscient d'une victime pendant qu'elle rêve, donc à partir de son subconscient. Des « extracteurs » s'immiscent alors dans ce rêve, qu'ils ont préalablement modelé et qu'ils peuvent contrôler, afin d'y voler des informations sensibles stockées dans le subconscient de la cible. C'est dans cette nouvelle technique que se sont lancés Dominic Cobb et sa femme, Mal. Ensemble, ils ont exploré les possibilités de cette technique et l'ont améliorée, leur permettant d'emboîter les rêves les uns dans les autres, accentuant la confusion et donc diminuant la méfiance de la victime. Mais l'implication du couple dans ce projet a été telle que Mal a un jour perdu le sens de la réalité ; pensant être en train de rêver, elle s'est suicidée, croyant ainsi revenir à sa vision de la réalité. Soupçonné de son meurtre, Cobb est contraint de fuir les États-Unis et d'abandonner leurs enfants à ses beaux-parents. Il se spécialise dans l'« extraction », en particulier dans le domaine de l'espionnage industriel ; mercenaire et voleur, il est embauché par des multinationales pour obtenir des informations de leurs concurrents commerciaux.
Dr. Horrible's Sing-Along Blog est une web-série réalisée sous forme de comédie musicale, destinée à être diffusée exclusivement sur internet, écrite et réalisée par le réalisateur et scénariste Joss Whedon. Cette série raconte de façon humoristique l'ascension d'un grand méchant, le Dr Horrible, aux prises avec son ennemi juré, Captain Hammer.
Après 57 ans de dérive dans l'espace, Ellen Ripley est secourue par la corporation Weyland-Yutani. Malgré son rapport concernant l’incident survenu sur le Nostromo, elle n’est pas prise au sérieux par les militaires quant à la présence de xénomorphes sur la planète LV-426 où se posa son équipage… planète où plusieurs familles de colons ont été envoyés en mission de "terraformage". Après la disparition de ces derniers, Ripley décide d'accompagner une escouade de marines dans leur mission de sauvetage... et d’affronter à nouveau la Bête.
Autrefois, Imelda Rivera était mariée à un musicien talentueux. Ce dernier avait quitté sa femme et sa fille, Coco, pour poursuivre sa carrière musicale. En représailles, Imelda avait banni toute musique dans sa famille et créé une entreprise de cordonnerie, transmise de génération en génération. Dans le présent, son arrière-arrière-petit-fils, Miguel, âgé de 12 ans, vit avec sa famille, et Coco, son arrière-grand-mère, dans le petit village mexicain de Santa Cecilia. Il rêve de devenir un musicien comme Ernesto de la Cruz, vedette de la chanson et du cinéma, de la même génération qu'Imelda (ce dernier est mort lors d'une représentation, quand une énorme cloche lui est tombée sur la tête). Lors des préparatifs de la Fête des Morts, Miguel casse accidentellement le cadre de la photographie d'Imelda, au centre de l'autel, et découvre que son mari (dont la tête a été arrachée de la photographie) tenait la célèbre guitare blanche d'Ernesto. Plus tard dans la soirée, quand Miguel fait part à sa famille de son intention de participer au concours de talents du Jour des Morts, sa grand-mère Elena détruit sa guitare. Furieux, il quitte la maison et se dirige vers le cimetière de la ville.
Samsara est un mot sanskrit qui signifie « ensemble de ce qui circule » et « courant des renaissances successives ». Dans l’hindouisme, samsara représente la ronde des naissances, des morts et des réincarnations. Cette « roue de la vie » est le point de départ du film, qui emmène le spectateur à la découverte de lieux sacrés, de zones sinistrées, de complexes industriels et de paysages spectaculaires. En se passant d’explications et de descriptions en voix-off, Samsara s’affranchit des codes traditionnels du documentaire. Le spectateur construit sa propre interprétation à partir des images et de la bande-son, qui opère une fusion entre musique ancestrale et musique contemporaine.
Le film suit les pérégrinations de Ric O'Barry, ancien dresseur de dauphins devenu activiste, qui enquête sur la chasse au dauphin à Taiji (Wakayama) au Japon.
The film begins with scenes showing the day-to-day life of a construction contractor by the name of Eddie Lama. Footage shows Lama discussing a construction job with one of his employees, and Lama also talks about how various different racial and ethnic groups who work at his firm are able to get along together. A scene is shown with Lama petting two dogs, and there is also footage showing that Lama keeps multiple cats in his office.
The film chronicles the growth of a large community in the western American desert. It brought abundance and the legacy of risk it has created in the United States and abroad.
Fraîchement transféré à la brigade criminelle de New York, le policier David Mills doit faire équipe un temps avec celui qu'il va remplacer : William Somerset, un officier de police judiciaire affecté aux homicides, bientôt à la retraite.
The Gate of Heavenly Peace is a three-hour documentary film about the 1989 protests at Tiananmen Square, which culminated in the violent government crackdown on June 4. The film uses archival footage and contemporary interviews with a wide range of Chinese citizens, including workers, students, intellectuals, and government officials, to revisit the events of “Beijing Spring.” From the beginning of the protests in mid-April to the night of June 3–4, the film provides a “meticulous day-by-day chronicle of the six-week period… This unglamorous but absorbing film interweaves videotaped scenes of the demonstrations and conversations with leaders and participants with an explanatory narration into an account that is as clear-headed as it is thorough and well-organized.”
Gigantesque, arty, stylée : la tournée de la sulfureuse Lady Gaga, baptisée «Monster Ball Tour», est considérée comme l'une des plus importantes jamais réalisées par une artiste. Décrit comme le tout premier opéra électro-pop, ce show époustouflant explore l'univers torturé, sensuel, esthétique et pop de la chanteuse. Lady Gaga semble repousser les limites dans une mise en scène qui cumule tenues invraisemblables et excentriques, effets pyrotechniques spectaculaires, chorégraphies soignées et décors démesurés.