Aux États-Unis, douze hommes forment le jury d'un procès criminel. Ils doivent statuer, à l'unanimité, sur le sort d'un jeune homme accusé de parricide. S'il est déclaré coupable, la chaise électrique sera la sentence. S'il est déclaré innocent, il sera libre.
The episode begins with Cartman directing the other boys through a forest in search of a leprechaun. A skeptical Kyle is there, having made a bet that if Cartman can prove leprechauns exist, Kyle will suck Cartman's balls, but if not, Cartman will owe Kyle $10. To Kyle's shock, they do spot a leprechaun and give chase. They eventually and successfully catch it in a trap. The leprechaun says he was sent to warn of a terrorist attack, and that being chased by the boys has made him late, before vanishing. A triumphant Cartman declares that Kyle must now suck his balls, but Kyle initially refuses, asking why a leprechaun would be warning of a terrorist attack and insisting that there has to be a logical explanation. The next day, as Kyle is conversing with Stan, Kenny, Jimmy and Butters, a strange man suddenly appears, asking them if they have seen the leprechaun. When Kyle argues that leprechauns are just imaginary, the man tells him that just because something is imaginary doesn't mean it is not real. He then invites the boys for a ride in his magical "Imagination Flying Machine" while he serenades them with "The Imagination Song" (consisting simply of the word 'imagination' sung repetitively in various tonal inflection).
The story begins in 1958 when Otis Williams, a black teenager living in Detroit, Michigan, is running to meet his friend Elbridge "Al" Bryant at a musical performance by The Cadillacs, where Otis and the singer lock eyes, which he credits as the moment he devoted his life to music. Otis' stepfather Edgar is less than pleased with Otis' plans to become a singer instead of an assembly line worker, but his mother Haze is supportive.
« JO: Made in America » retrace l'histoire de la race au cours des dernières décennies à travers la lentille de la montée et la chute de OJ Simpson. Il est peut-être la définition histoire culturelle de l'Amérique du 20e siècle, qui se concentre autour de deux des plus grands de notre pays fixations: race et célébrité. « JO: Made in America » explorera ces thèmes en traçant un parcours personnel, de la façon dont Orenthal James Simpson premier est devenu une star de football, la raison pour laquelle le pays est tombé en amour avec lui en dehors du terrain, à son être accusé du meurtre de son ex femme et son acquittement subséquent et pourquoi il est maintenant assis en prison 20 ans plus tard pour un autre crime.
On pourra légitimement s'étonner de la parution d'un live du Boss, si peu de temps après son (magnifique) DVD de "réunion" à New-York. D'autant que les anciens fans s'en rappelleront : il a fallu lui tirer les vers du nez, à Bruce, pour qu'il daigne sortir son premier live en 1986 ! La surprise est d'autant plus grande que la setlist, à première vue, a quand même certains points communs avec le live de 2001. D'où vient alors la différence? Elle vient naturellement de "The rising", ce fameux nouvel album enregistré avec tout le E Street Band, le premier depuis 1987. Ce genre de réunion à l'arrachée de vieux line-ups, en général, ce n'est pas toujours pour le meilleur ; mais ici c'est du Boss qu'on parle. Et l'homme sait depuis belle lurette comment bien faire les choses.
The film focuses on the changed lives of New Orleans residents after Hurricane Katrina hit. The film shows residents in the midst of disaster dealing with death, devastation and disease. Spike Lee said about the film:
1947. Andy Dufresne, un banquier américain, est jugé coupable du meurtre de sa femme et de l'amant avec qui elle le trompait. Pour ce double meurtre, et bien qu'il ait clamé son innocence depuis le début, il est condamné à deux peines de prison à vie consécutives. Il est ensuite emprisonné au pénitencier fédéral de Shawshank dans l'État du Maine où il est « accueilli » avec les autres nouveaux détenus par Samuel Norton, le directeur de la prison. Norton, un homme ambitieux et pétri de valeurs religieuses traditionnelles, est épaulé par un gardien-chef brutal et sans pitié, le capitaine Byron Hadley qui ne craint pas de recourir à une violence aveugle (jusqu'à la mort de détenu, si nécessaire) afin de faire respecter la discipline.
En 1945, à New York, les Corleone sont une des cinq familles de la mafia. Don Vito Corleone, "parrain" de cette famille, marie sa fille à un bookmaker. Sollozzo, " parrain " de la famille Tattaglia, propose à Don Vito une association dans le trafic de drogue, mais celui-ci refuse. Sonny, un de ses fils, y est quant à lui favorable.
Afin de traiter avec Sonny, Sollozzo tente de faire tuer Don Vito, mais celui-ci en réchappe. Michael, le frère cadet de Sonny, recherche alors les commanditaires de l'attentat et tue Sollozzo et le chef de la police, en représailles.
Michael part alors en Sicile, où il épouse Apollonia, mais celle-ci est assassinée à sa place. De retour à New York, Michael épouse Kay Adams et se prépare à devenir le successeur de son père.