In October 1985, during the Soviet invasion of Afghanistan and on the eve of nuclear war, a depressed Rorschach, one of several outlawed vigilante superheroes, begins to investigate why all former masked superheroes are either dead or have declined.
The film begins in 1989 at the offices of the European Organization for Nuclear Research, also known as CERN, where Tim Berners Lee is working on his aspirations for the World Wide Web. He reflects to himself in private that this project could go onto promote "world peace" and also help people "share pictures of kittens". Upon leaving his office, Stephen Fry describes how a short-sighted assistant could have changed the course of humanity if she had accidentally put Tim Berners Lee's research in a waste paper basket. The film then goes on to depict a succession of sketches played out by global tech entrepreneurs in which they are forced to carry out analogue versions of their digital jobs.
The film is a mockumentary which examines the possibility that Adolf Hitler did not die at the end of World War II in 1945. It centers around historian Skule Antonsen of Sweden (Jon Rekdal) who along with film director Idelfonso Elizalde of Spain (Julián Elizalde) investigates Adolf Munchenhauser (Dick Nilsson). Munchenhauser is an individual who bears a striking resemblance to Hitler, and he was taken captive in Berlin in 1945 by the Allies of World War II and was one of 13 men transported on board a U.S. cargo plane who all happen to appear similar in appearance to Hitler. After gaining freedom in 1946 from captivity in a facility called Camp Rebecca located in the Great Basin Desert, Munchenhauser chose to remain in the United States. Skule researches evidence surrounding Munchenhauser's activities in an effort to authenticate whether or not he is indeed Hitler. During the course of his investigation, Skule's research efforts are stymied by unknown individuals.
À la suite de l'échec de l'assassinat de Hirobumi Itō en gare de Harbin en 1909 (assassinat considéré par la Corée comme un acte héroïque déterminant pour son indépendance actuelle), l'Histoire n'est plus la même : l'Empire coréen est devenu territoire japonais, le Japon fut un allié des États-Unis durant la Seconde Guerre mondiale et c'est sur Berlin que la bombe atomique a été lâchée.
Hanté par le souvenir de ses parents transformés en zombies étant enfant, le président Abraham Lincoln accède au poste suprême de président des USA. Alors que la Guerre de Sécession met les USA à feu et à sang, un cauchemar s'ajoute à un autres quand il apprend qu'un virus redonnant vie aux morts se répand sur les champs de bataille des deux camps. Inquiet des conséquences de la contagion sur l'avenir de la nation, Abraham prend les choses en main.
En 1990, Johannesburg accueille de nombreux réfugiés extraterrestres, dont les énormes vaisseaux (plus d'un kilomètres de long) stationnent au dessus de la ville. La population humaine est tout d'abord émerveillée par la technologie avancée des aliens (exosquelettes) et les accueille à bras ouverts. Néanmoins les aliens sont parqués dans des bidonvilles et commettent crimes et délits pour survivre. Composé d'interviews et séquences filmées type reportage, le film montre les tensions croissantes entre les civils et les réfugiés, notamment lorsque les vaisseaux commencent à utiliser l'eau et l'électricité de la ville. Parce que l'action se déroule pendant l'apartheid, les aliens sont obligés de vivre avec la population noire déjà oppressée, provoquant de nombreux conflits.
Setting the stage for a presentation of their views, D'Souza and Sullivan provide counterfactual histories in which George Washington is killed during the Revolutionary War, or the country is divided following civil war, creating a world without America that would be vastly worse off. D'Souza identifies himself as an Indian immigrant who chose America, and has been impressed with what a unique force for good it is, something Americans have traditionally agreed with. He claims modern leftists are “telling a new story”, however, contradicting traditional veneration for America in order to “convince a nation to author its own destruction” and “unmake the America that is here now.” He then challenges several "indictments" made against the country and American exceptionalism, including sociology professor and activist Michael Eric Dyson's claim that “Thievery" was the “critical element” for “American empire” and historian and activist Ward Churchill's assertion that the US is the world's new evil empire, and says that 1960s Chicago radical Saul Alinsky, historian Howard Zinn, and others have promoted guilt and resentment regarding wealth inequality that has helped shape the political careers of Barack Obama and Hillary Clinton.
Saint-Pétersbourg, 1916. La veille de la révolution qui va le briser, le tsar Nicolas II commémore le tricentenaire dynastique dans le faste. Sa mère, l’impératrice douairière Marie, se rend au palais pour joindre la fête. Elle appelle sa petite-fille cadette, la grande-duchesse Anastasia, et lui fait don d’une boîte à musique qui joue sa berceuse préférée. Pour consoler la fillette, qui l’a priée de ne pas retourner en France, la souveraine l'accompagne d'un collier qui dit Ensemble à Paris.
Édouard de Vere, 17e comte d'Oxford, se considère comme l'auteur de toutes les pièces de William Shakespeare, alors qu'un conflit oppose le clan Tudor et le clan Cecil pour la succession d'Élisabeth I d'Angleterre.
Le film se déploie en trois parties de longueur à-peu-près équivalente, « le monde de la surface », « l'appât » et « le monde d'en bas », encadrées par une séquence d'introduction, celle décrite précédemment, et une séquence de conclusion cruellement ironique.
Après que la NASA ait officiellement mis fin au programme Apollo en 1974, une dernière mission sur la Lune aurait été effectuée. Le film, basé sur le tournage récupéré de l’équipage, raconte l’alunissage d’Apollo 18 et les raisons de sa dissimulation. Le capitaine Benjamin Anderson et le major Nathan Walker, ainsi que le lieutenant-colonel John Gray, ont été choisis pour le mener à bien en secret. Cependant, les causes qui ont conduit à l'échec et qui sont capturées dans la bande retrouvée n'ont jamais été rendues publiques par le gouvernement américain, car il s'agissait d'une preuve de contact pour la première fois avec des êtres extraterrestres, dont le ministère de la Défense (DOD) des États-Unis et le gouvernement de l'Union soviétique connaissaient déjà l’existence. Le film révèle ensuite le secret le mieux gardé de l’agence spatiale américaine et explique pourquoi aucune autre mission habitée n'a été envoyée vers la Lune. ll montre également que les astronautes ont trouvé les restes d’une mission soviétique qui avait la même finalité que la leur.
Le film commence par des sous-titres expliquant qu'une grande découverte scientifique faite en 1952 a permis à l'espérance de vie humaine de dépasser les 100 ans. Par la suite, l'histoire est racontée par Kathy H., alors âgée de 28 ans, qui se rappelle son enfance à Hailsham ainsi que sa vie adulte après avoir quitté l'école.
Netaji Subhas Chandra Bose, arrêté par les Britanniques à Calcutta, s’évade et s’échappe par l’Afghanistan, se retrouve en Allemagne puis dans un sous-marin en route pour le Japon. En désaccord avec Gandhi sur les méthodes pour combattre les Anglais, Bose fait le choix très controversé de s’allier avec l’Allemagne pendant la Seconde Guerre Mondiale. Il se retrouva à la tête d’une Armée Nationale Indienne (INA) de 80 000 hommes. Cette reconstitution historique tournée au Ladakh, en Allemagne, Ouzbékistan, Birmanie et Malaisie, nous révèle les multiples visages du héros de la nation qui disparaît dans un mystérieux accident d’avion
L'histoire se déroule dans une uchronie située en 1939. Polly Perkins, journaliste au Chronicle, cherche à élucider la disparition de plusieurs scientifiques de renom. La piste semble aboutir à un certain docteur Totenkopf (« tête de mort » en allemand).