Fabio, un étudiant en architecture, militant de Lotta Continua, formation de l'extrême-gauche italienne, participe à une manifestation. Celle-ci dégènère en affrontement sanglant entre forces de l'ordre et jeunes contestataires. Au cours de cet événement, un étudiant est tué d'une balle de calibre 7,65. Fabio est lui-même violemment malmené. Il s'empare alors d'un poing américain, trouvé au sol, et blesse mortellement un agent de police. Alors qu'un de ses compagnons, Massimo Trotti, est inculpé pour ce meurtre, Fabio veut se constituer prisonnier mais son responsable politique l'en dissuade. Le juge Aldo Sola, le propre père de Fabio, est chargé d'enquêter sur les deux assassinats. Les premiers interrogatoires ne donnent pas de résultats fiables : les culpabilités respectives n'ont guère été formellement établies. Afin de prouver l'innocence de Massimo, Fabio subtilise dans le bureau de son père les procès-verbaux d'instruction et transmet les copies au journal La Cause du Peuple, organe de Lotta Continua, qui publie en titre : « La magistrature accumule de fausses preuves contre Trotti ». Désormais, la confrontation entre un père et son fils s'avère inévitable.
Le film est consacré à l'Insurrection de Varsovie de 1944 et retrace les actions menées par le lieutenant-colonel Jan Mazurkiewciz, nom de guerre "Radosław", et de son groupe du même-nom le Groupe Radosław (polonais : Grupa Radosław) durant les soixante-trois jours que dura l'Insurrection.
Vaincu par Octave à la bataille navale d'Actium, Marc-Antoine se réfugie à Alexandrie. Il espère que ses légions, alliées à celle de Cléopâtre, pourront rétablir la république à Rome.
La campagne des élections municipales de 1971 à Arras : à la tête d'une liste d'Union de la Gauche, Guy Mollet - maire de la ville depuis 1945 - affronte le candidat présenté par l'UNR, Francis Jacquemont, dans un contexte marqué par le développement du marketing politique.
Mexico, années 1920. Le caudillo militaire à la tête du pays annonce la fin de son règne. Son candidat favori pour lui succéder est l'actuel Chef du gouvernement. Mais, à l'intérieur de son propre parti et à la Chambre des députés, d'autres hommes politiques soutiennent le ministre de la Guerre, le général Ignacio Aguirre. Ce dernier, afin de ne pas entrer en conflit avec le caudillo, donne sa démission. Malgré les pressions de ses partisans, il hésite à postuler sa candidature. Après l'attentat commis contre l'un de ses amis député et une violente altercation avec le général Jiménez, Chef du gouvernement, il modifie sa position. Ce qui lui vaut bientôt d'être arrêté par les fidèles du caudillo. Le général Elizondo, un de ses soutiens, organise son évasion. Toutefois, Aguirre finira par être trahi et sera assassiné sur la route de Toluca.
Octobre 1917. Lénine, un moment contraint, comme d'autres de ses compagnons, à l'exil en Finlande, rentre en Russie pour prendre la direction du Parti bolchevik. À la séance du Comité central du Parti, le 10 octobre, la majorité des participants se prononcent pour le déclenchement d'une insurrection armée. Le gouvernement provisoire, dirigé par Alexandre Kerensky, tente d'éliminer Lénine et charge un tueur à gages, Filimonov, d'exécuter cette tâche. L'ouvrier Vassili, responsable de la sécurité du leader bolchevik, l'aide à échapper au danger. Le 25 octobre (7 novembre), Lénine dirige à Smolny, le soulèvement et la prise du Palais d'hiver. Le jour suivant, Lénine proclame la victoire de la révolution au IIe Congrès panrusse des Soviets.
Le docteur Karl Rodern, médecin d'Hitler, vient de lui diagnostiquer une laryngite, et de lui conseiller de faire moins de discours. Quand il rentre chez lui, il retrouve son épouse Irena et son beau-frère Otto, qui regarde avec admiration les troupes marchant dans la rue. Plus tard, à une réunion d'anciens étudiants, il apprend que son ami juif Heini a été convoqué par la Gestapo. L'année suivante, il apprend que cette réunion d’anciens est interdite par les Nazis. Plus tard, une messe est interrompue par les Nazis et le prêtre, un ami de Karl, est attaqué et tué.
Hanna Heyt est une femme pleine de vie. Lorsque son mari, le professeur Thomas Heyt, l'appelle au téléphone pour lui dire qu'il a obtenu un poste de directeur d'institut à Munich, elle prépare une fête avec ses amis et ses collègues. Mais elle tombe inexplicablement dans l'escalier de la maison. Lorsqu'elle joue du piano pour les invités, elle sent une crampe à la main et ne peut plus jouer. Mais l'engourdissement ne disparaît pas le lendemain matin, son mari l'envoie auprès du Dr Lang, un vieil ami du couple. Après des examens, celui-ci lui diagnostique une sclérose en plaques. Il révèle ses soupçons à Thomas qui, effondré, demande l'avis d'un spécialiste. Ce dernier lui explique que la maladie est incurable et conseille de ne rien dire à Hanna pour qu'elle soit toujours optimiste et ne perde pas la foi en une guérison. Maintenant, après son travail, le professeur reste des heures dans son laboratoire pour découvrir l'agent pathogène de la maladie et les moyens de la guérir.
The New Spirit s'ouvre avec Donald en train d'écouter la radio, une radio qui déclare sérieusement : « Nos propres côtes ont été attaquées ». C'est ainsi que Donald apprend qu'il doit jouer son rôle de citoyen en devant payer 13 dollars d'impôt qu'il doit sur son revenu de 2900 dollars. Donald, impatient de servir son pays, remplit le formulaire et porte son argent lui-même à Washington en traversant tous les États-Unis depuis la Californie !
Le film traite de l’amitié entre deux soldats, Arkady Dzioubine, joyeux gars originaire d’Odessa (interprété par Mark Bernes) et Sacha Svintsov, dit « Sacha d’Ouralmash », un gars de l’Oural, joué par Boris Andreïev. Le film exprime, avec un grand réalisme, la vie au front. Il est devenu une référence du genre, et a joui d’un immense succès durant plusieurs décennies.