Pendant les années 1950 et 1960, Zula, une jeune chanteuse polonaise, vit avec Wiktor, musicien, des amours compliquées entre Est et Ouest, sur fond de guerre froide.
Pologne, 1962, sœur Anna, orpheline très pieuse, s'apprête à prononcer ses vœux définitifs. La Mère supérieure l'incite à sortir quelques jours de l'austère couvent où elle vit une existence de silence depuis qu'elle y a été recueillie enfant, afin de retrouver une tante inconnue, Wanda, sa seule famille.
Le film nous présente le massacre de Katyń du point de vue des vivants, c'est-à-dire du point de vue des épouses et des mères qui ont attendu des années avant de savoir ce qu'étaient devenus les officiers polonais arrêtés par l'armée soviétique en 1940. Il s'arrête aussi sur l'après-guerre, montrant l'entreprise de falsification de l'histoire menée par le pouvoir communiste et les tentatives de certains proches des victimes pour défendre la vérité. Ce n'est que dans la dernière scène que Wajda met un terme à toutes altérations de l'histoire en montrant les assassinats du point de vue des victimes.
Ce film décrit les manipulations de prêtres et hauts-prêtres conservateurs à l'encontre du nouveau monarque Ramsès XIII, trop progressiste à leurs yeux, et qu'ils finiront par éliminer en jouant de la crédulité populaire.
Daniel est un jeune de 20 ans dans un centre éducatif surveillé en semi-liberté qui accueille des délinquants souvent violents. Il est attiré par la prêtrise, mais il n'a pas achevé sa scolarité secondaire et en outre son casier judiciaire lui ferme la porte du séminaire. Envoyé pour un emploi dans une scierie, il se retrouve empêtré dans un mensonge non-prémédité où il prétend en discutant avec une jeune fille rencontrée dans une église être prêtre. Le curé qui l'accueille sans connaître la vérité, devant quitter sa paroisse pour un traitement contre son alcoolisme, lui confie son intérim sans en informer l'évêché. Daniel pris à son propre piège n'ose pas reconnaître son mensonge et assure les responsabilités du prêtre : messes, contacts avec les paroissiens et avec le maire du village, qui se trouve être le propriétaire de la scierie où il devait travailler, apparemment la principale entreprise locale, etc. Un tragique événement avait endeuillé la commune l'année précédente, un accident provoqué par une collision entre deux véhicules qui avait provoqué la mort de six jeunes dont la voiture avait été percutée frontalement par celle d'un autre automobiliste vivant dans le même village, décédé également. Depuis, les familles des victimes s'opposent à l'inhumation du chauffeur impliqué et persécutent sa veuve par des lettres anonymes d'injures et des inscriptions sur la façade de sa maison. Daniel s'attache à trouver une solution pour faire tomber le vindicte dont la veuve est victime. Dans ses homélies, inspirées notamment de celles prononcées par l’aumônier de son centre éducatif, il tient un langage moins stéréotypé que le curé en congé et plaît à la majorité des paroissiens. Le maire est plus sévère à l'égard de ce jeune prêtre qui critique sévèrement la course à l'enrichissement lors l'inauguration de nouveaux bâtiments de la scierie. À l'occasion de cette cérémonie, un de ses anciens camarades du centre éducatif le reconnaît et veut le faire chanter, allant jusqu’à mettre le feu à une annexe du presbytère. Parallèlement, Daniel, sans avouer sa situation réelle, a une relation amoureuse avec la jeune fille rencontrée dans l'église du village à son arrivée.
Durant la Seconde Guerre mondiale, Leopold Socha, employé municipal de la ville de Lvov chargé de l'entretien du réseau d'égouts, va être amené à exploiter puis protéger un groupe de juifs de la ville.
Adam, jeune prêtre charismatique rejoint une paroisse rurale et s’occupe d’un foyer accueillant de jeunes adultes.
Par son implication, il suscite rapidement l’admiration de tous. Mais peu à peu, son attirance pour l’un des garçons du centre se transforme en véritable chemin de croix.
Habité par une foi véritable mais rongé par la culpabilité, il tente en vain de lutter contre cet amour naissant…
En 1564, alors que les Flandres subissent l’occupation des Espagnols, Pieter Bruegel l’Ancien achève son chef-d’oeuvre Le Portement de Croix. Le film plonge le spectateur au coeur du tableau, en dévoile l’architecture et redonne vie pour une journée à ses personnages - auxquels viennent s’ajouter Bruegel lui-même et le collectionneur Nicholas Jonghelinck -, restituant ainsi une époque marquée par la pauvreté, la violence et la mort.
Deux sœurs sirènes, Or et Argent, intègrent une famille de musiciens et s'impliquent dans le monde des humains. L'une d'entre elles, Argent, tombe amoureuse d'un bel homme. Mais si le garçon tombe amoureux d'une autre, elle devra le dévorer pour ne pas se transformer en écume.
Au début du XIX siècle, en Espagne, pendant les guerres napoléoniennes, un soldat et un officier découvrent un vieux manuscrit qui, curieusement, relate l’histoire d’Alfonse van Worden, capitaine de la garde wallonne et grand-père de l’officier. Le récit commence alors qu’Alfons cherchait un raccourci pour traverser une redoutable montagne : la Sierra Morena. Voici la trame du manuscrit :
Varsovie de nos jours. Après vingt ans de mariage, la relation entre Nina et son mari Wojtek ne mène nulle part, en partie à cause de leur difficulté à avoir un enfant. Lorsque le couple rencontre une jeune femme, Magda, ils lui demandent de devenir leur mère porteuse. Les choses se compliquent lorsque Nina commence à se sentir attirée par Magda.