Vivant paisiblement dans leur monde, les Looney Tunes sont attaqués par des extraterrestres voulant en faire leurs esclaves pour leur divertissement. Acculés, les Looney décident de parier leur liberté dans un match de basket-ball : s'ils gagnent, les extraterrestres doivent repartir et les laisser en paix ; sinon les Toons accepteront d'être asservis. Détail imprévu : les Martiens utilisent leurs pouvoirs pour voler le talent et la force des meilleurs joueurs de la planète, devenant ainsi des monstres géants implacables. Paniqués, Bugs Bunny et Daffy Duck font venir dans leur monde le champion Michael Jordan pour entrainer les toons et les aider à gagner le match.
Bugs Bunny et Daffy Duck travaillent pour la Warner mais le canard, jaloux des traitements de faveur du studio envers le lapin, se fait renvoyer par la productrice Kate Houghton.
Cinquante-huit ans après Fantasia, ce film est composé de huit séquences illustrant huit morceaux de musique classique, interprétés pour la plupart par l'Orchestre symphonique de Chicago sous la direction de James Levine. Chaque séquence est précédée d'une courte présentation par des artistes ayant travaillé pour les studios Disney.
Howard T. Duck est un canard humanoïde qui vit sur une planète peuplée de canards comme lui. Mais un jour, alors qu'il se prélasse sur son fauteuil, il se retrouve aspiré dans l'espace et atterrit sur la planète Terre. Il est recueilli par une rockeuse, Beverly, qui le présente à un de ses amis : le jeune laborantin Phil Blumburtt. Après avoir fait son enquête, Phil découvre ce qui a fait venir Howard de sa planète jusqu'à la Terre : un laboratoire d'astrophysique, « Dynatechnics », a créé un nouveau canon spectroscope à laser et l'a essayé mais le rayon émis par le canon a touché le salon de Howard sur sa planète ce qui l'a transporté sur Terre. Lors d'un autre essai qui tourne mal aussi, les savants font venir sur Terre un monstre venu d'une planète encore plus lointaine : Nexus de Sominus. Le monstre entre dans le corps d'un savant, le Dr Jenning, pour se cacher et commence à répandre la terreur sur son passage. Beverly ayant été prise en otage par le monstre, Howard et Phil s'unissent pour l'éliminer.
Le soir de Noël, l'égoïste et acariâtre Ebenezer Scrooge reçoit la visite du fantôme de son ancien associé, Jacob Marley. Celui-ci tente de le convaincre de l'immoralité de son métier d'usurier. Jacob lui-même, qui « escroquait les veuves et grugeait les pauvres », montre à Ebenezer les lourdes chaînes qu'il est condamné à porter « pour l'éternité… et peut-être même au-delà ». Jacob menace Ebenezer de la damnation s'il ne revient pas à une conduite plus morale.
Le film est constitué de trois histoires courtes, qui se déroulent au moins en partie dans une même ferme et ont en commun certains personnages. Les différents segments sont reliés entre eux par des scènes de transition qui ont lieu sur une scène de théâtre, où un renard s'adresse au public pour présenter les différentes pièces que la troupe d'animaux va interpréter.
L'action commence dans le désert égyptien dans l'avion fou que pilote le maladroit Flagada Jones. Picsou, ses 3 neveux et Zaza se rendent sur un champ de fouilles archéologiques où une chambre secrète a été mise au jour, contenant peut-être le trésor de Cali Baba que Picsou cherche depuis 40 ans. Une fois l'avion "posé", ils se rendent compte que le coffre déterré ne contient que de vieux vêtements, mais aussi une carte.
Les œufs éclosent, six poussins et un petit canard sortent du nid de la poule. Le canard est rejeté par la mère et par les poussins. Jusqu'à ce qu'une tempête éclate et que le canard courageux sauve ses frères de la noyade, obtenant ainsi l'affection de la poule.
Une mère poule et ses poussins recherchent de l'aide pour planter un champ de maïs, mais les deux voisins, le canard Donald Duck et le cochon Pierre le Cochon, font tout pour éviter le travail. Elle parvient à leur donner une leçon à la fin du dessin animé.
Porky Pig veut chasser le canard avec son chien appelé Jim. En guise de démonstration, il braque son fusil sur le chien. Le chien prend peur et se réfugie dans un meuble de la maison. Porky le rassure en disant que le fusil n'est pas chargé. Malheureusement, il se trouve qu'il l'est. Et en tirant en l'air, il touche un homme à travers le plafond, homme qui se venge d'un coup de poing rageur à la figure de Porky. Peu après, Porky sort avec son chien et repère enfin un canard sur le lac. Mais alors qu'il s'apprête à le tirer, une multitude de chasseurs en font autant… sans toutefois réussir à le tuer. Un chasseur frappé d'un strabisme cherche aussi à faire feu sur le canard (avec un fusil dont les canons divergent), mais il abat deux avions au sol à la place.
Une succession de vedettes d'Hollywood défile sur des variations de Mother Goose Rhymes (d'anciennes chansons enfantines populaires de la culture anglo-saxonne, dont les thèmes s'apparentent à ceux des Contes de ma mère l'Oye de Charles Perrault) : Katharine Hepburn et Spencer Tracy, les Marx Brothers, Laurel et Hardy, Greta Garbo, Clark Gable, Fred Astaire, Edward G. Robinson, W. C. Fields, Wallace Beery, Fats Waller, Cab Calloway… Parmi elles, Donald Duck fait une apparition.
Donald rêve qu'il est un citoyen de l'Allemagne nazie, et qu'il travaille dans une usine de munitions à Nutziland, s'épuisant à répondre aux demandes exagérées du Führer. Le dessin animé montre sa journée :
La chasse aux canards est ouverte. Daffy vole paresseusement dans le ciel et se moque des chasseurs qui le rate (« tir loupé »). Mais après une ultime bravade, il se fait tirer sur le croupion. Il joue le mourant, puis tombe comme un avion en flammes pour s'écraser au sol. Le chien d'Elmer, Laramore, veut le ramener à son maître. Soudain, Daffy se réveille alors que le chien le prend dans sa gueule. Daffy lui reproche sa brutalité et lui rend la pareille : il prend violemment le chien à son tour dans son bec. Après cette leçon, il ouvre la gueule du chien et s'y place de lui-même. Laramore rapporte le canard à Elmer, qui se félicite d'être un grand chasseur « sportif ». Daffy se révolte contre cette affirmation. Il commence par faire pleurer Elmer sur son sort de pauvre canard sans défense, puis lui reproche de manquer de fair-play. Il échange les rôles, lui prend son fusil, puis ses vêtements. Emporté dans sa verve à démontrer qu'il est sans défense face au chasseur, il « ouvre » ses plumes, mais on s'aperçoit qu'il porte un gilet pare-balles dessous ! Malgré cela, Daffy défit Elmer en un « vrai » sport fair-play : un match de boxe. Ce match est en fait organisé par tous les canards du lac amis de Daffy et est complètement truqué. Le chien, seul supporter d'Elmer, se fait copieusement lapider par la foule des canards qui huent son maître Elmer. L'arbitre, un gros canard soi-disant impartial, se moque d'Elmer et glorifie Daffy. Sous prétexte de montrer les coups interdits dans le règlement, il bourre Elmer de ces coups, et Daffy fait de même. Daffy joue au jeu de la devinette avec son opposant, et Elmer y « gagne » un coup de masse sur la tête. L'arbitre en profite pour déclarer Daffy vainqueur. Elmer, encore sous le choc, se venge cependant en reproduisant l'arnaque des « coups interdits » sur Daffy et l'arbitre.