Ce film documentaire montre plusieurs paysages à travers les océans, grâce à des techniques modernes pour des prises de vues spectaculaires. La nature est imprévisible. Il a donc fallu environ 5 ans pour tourner ce film (sans compter la série).
Lorsque son quatrième fils naît en 2005, Emad Burnat, un cameraman palestinien autodidacte, achète sa première caméra. Au même moment, dans son village de Bil'in, une barrière de séparation est construite et les villageois commencent à résister.
In Palestine during the Roman Empire, Jesus Christ of Nazareth travels around the country with his disciples preaching to the people about God and salvation of their souls. He claims to be the son of God and the Christ. He is arrested by the Romans and crucified. He rises from the dead after three days.
Quatre jeunes garçons originaires du Soudan embarquent pour un voyage aux États-Unis après des années de dérive en Afrique sub-saharienne à la recherche de sécurité.
Le film montre cinq exemples de travail physique intense dans des conditions extrêmes dans différents lieux dans le monde. Il est divisé en cinq épisodes qui se déroulent en Ukraine, en Indonésie, au Nigeria, au Pakistan et en Chine. Les personnes filmées parlent dans leurs langues d'origine : pachto, yoruba, allemand, anglais, igbo, indonésien, javanais, mandarin, russe.
Bouncing Cats is the story of one man's attempt to create a better life for the children of Uganda using the unlikely tool of hip-hop with a focus on b-boy culture and breakdance. Abraham "Abramz" Tekya, a Ugandan b-boy and an AIDS orphan creates a free workshop teaching youth b-boy culture to 300 disenfranchised kids living in precarious conditions in Kampala in 2006, and in Gulu in North Uganda. Uganda is often referred to as one of the worst places on earth to be a child.
En avril 2009, un esquif embarquant quatre pirates somaliens, aborde, après une première tentative ratée, le porte-conteneurs américain MV Maersk Alabama qui navigue au large de la corne d'Afrique. L'équipage se cache dans la salle des machines et parvient à rendre le bateau inopérable. Le chef des pirates part à sa recherche mais se fait neutraliser. Cependant, les trois autres pirates à bord détiennent le capitaine. Un marché est alors conclu : les pirates qui ont perdu leur esquif peuvent repartir dans le canot de survie et avec trente mille dollars en liquide. Mais au moment de l'échange du chef des pirates contre le capitaine, ce dernier se fait piéger dans le canot : il est de nouveau pris en otage. Le porte-conteneurs se met à suivre le canot, rejoint plus tard par un navire de la marine de guerre des États-Unis. Les preneurs d'otages espèrent atteindre la côte de la Somalie. Une équipe SEAL (des forces spéciales de la marine américaine) arrive à son tour, et prend la direction de l'opération. Le chef des pirates monte alors sur un navire de la Navy pour négocier. Pendant ce temps, des tireurs d'élite attendent d'avoir la possibilité d'abattre les trois pirates restants en même temps. Lorsque l'occasion se présente, l'ordre de tirer est donné. Les trois pirates s'écroulent, le capitaine est rapatrié sur le navire militaire, le chef des pirates est arrêté.
Héros ou Salopards raconte le procès de trois soldats australiens, officiers des "Bushveldt Carbineers" en Afrique du Sud. Harry "Breaker" Morant, Peter Handcock et George Witton sont accusés du meurtre de prisonniers boers. Morant et Handcock sont accusés d'avoir tiré sur un missionnaire allemand, le révérend CAD Heese. Leur avocat, le major JF Thomas, a seulement un jour pour préparer leur défense.
Jérusalem, au I siècle. Judah Ben-Hur est condamné, ainsi que sa famille, par son ami Messala, pour avoir refusé de collaborer avec l'occupant romain. Il sera adopté par un soldat romain, Quintus Arrius.
Le film est construit autour du discours d'un cameraman fictif, Sandor Krasna, rédacteur de lettres lues tout au long du film par Florence Delay. Dans ses écrits, il va traiter successivement du temps, de la mémoire, de la fragilité humaine face aux séismes du Japon ou encore face à la famine, menace constante au Cap Vert ou en Guinée-Bissau. Le cinéaste voyage alors aux « deux pôles extrêmes de la survie » tel qu'il le dit lui-même. Il montrera non pas les difficultés pour ces sociétés à s'en sortir, mais plutôt leur façon de vivre et d'exister au-delà de ce qui peut leur coûter la vie. Car comme il l'annonce : « Moi, ce que je veux vous montrer, ce sont les fêtes de quartier ».
Rwanda, 1994. Le film raconte, jour après jour, la vie d'une famille rwandaise. Le mari est hutu, la femme et les deux enfants tutsi. Lors de la mort du président, tous les hommes hutu sont réquisitionnés pour éradiquer la population tutsi. Parmi eux Augustin Muganza, un hutu modéré qui sert dans l'armée rwandaise, et son frère Honoré, animateur de la tristement célèbre Radio Télévision Libre des Mille Collines.
En 1984, une mission américano-israélienne, l'opération Moïse, transporte de nombreux Juifs d'Éthiopie (souvent appelés Falashas), réfugiés au Soudan, pour les amener en Israël.