Le film, tourné en 2017 sur huit mois, avec toutes les autorisations, à Lourdes (Hautes-Pyrénées), évoque les pèlerinages au sanctuaire de Lourdes, presque uniquement à partir du vécu des personnes, sans commentaire, avec montage.
Chaque semaine, une équipe de bénévoles du Mémorial de la Shoah à Paris recueille des témoignages et collecte les archives personnelles des déportés et de leurs familles. J’aimerais qu'il reste quelque chose, va à la rencontre de ceux qui racontent et donnent et de ceux qui écoutent et reçoivent pour sauvegarder et transmettre la mémoire des victimes de la Shoah.
Le film fait partie d'un projet transmédia global combinant journalisme d'investigation et activisme, visant à mettre fin à l'impunité apparemment totale des violences sexuelles dans les conflits armés actuels en présentant, comme source d'inspiration, des victimes du monde entier qui ont le courage de rompre le silence. Rejoignez le mouvement !
Chanteur de Taxi-girl, groupe culte des années 1980 à l’aura sombre et romantique, Daniel Darc allait rapidement susciter toutes sortes de légendes urbaines. Les années 1990 passent et sa trace se perd… Il faudra attendre 2004 et le miraculeux retour avec Crèvecoeur pour qu’il retrouve le succès, jamais démenti, jusqu’à sa disparition prématurée, ce 28 février 2013. À travers des images inédites et intimes filmées pendant 25 ans, Daniel Darc - Pieces Of My Life témoigne de sa façon de vivre, avec ses moments de fulgurances et d’excès, ses solitudes, ses errances et ses abîmes.
En 2017, à l'occasion du vingt-cinquième anniversaire des attentats de Capaci et de via D'Amelio, où la mafia sicilienne a assassiné les juges antimafia Giovanni Falcone et Paolo Borsellino, le réalisateur Franco Maresco se demande ce qui reste en Italie et plus particulièrement en Sicile de leurs idéaux et luttes, en se penchant sur les relations de la population avec la Mafia au travers d'un documentaire « anthropologique » à la fois comique et sombre, sa marque de fabrique.
Ce documentaire a la particularité « de confronter directement des victimes de prêtres pédophiles, en caméra cachée, avec leurs agresseurs ». Il « met en cause la hiérarchie épiscopale dans la faiblesse — voire l’absence — des sanctions dans les cas de pédophilie », dénonçant l'hypocrisie de l'église polonaise et l'impunité des prêtres agresseurs.
Le groupe Justice délivre une performance live unique filmée spécialement pour le cinéma. Adaptation du live-show "Woman Worldwide", largement considéré comme un des plus grands concerts électro jamais créé, Iris : A Space Opera by Justice est une expérience visuelle et sonore totalement immersive. Le film du concert est précédé d’un documentaire sur les coulisses de la création de ce show hors normes.
Le documentaire fait état des des recherches des dix dernières années de l'historien Yannick Gendron sur l'identité du véritable fondateur de la ville de Trois-Rivières. Il met en lumière la vie et la carrière de Théodore Bochart du Plessis qu'il identifie comme l'un des principaux responsables de la fondation du fort de Trois-Rivières en 1634. Il retrace ses rencontres avec l’historien québécois Mathieu D’Avignon, le professeur Frank Lestringant de l’Université Paris-Sorbonne et l’historien français Mickaël Augeron.
The program consists mostly of "film promos" around the song selection, interspersed with occasional slices of Lennon and Ono's life together, and also fantasy and "gag" sequences. In one of these, a succession of men (ranging from Lennon and Ono's assistants to celebrities including Fred Astaire, Jack Palance, Dick Cavett, and even George Harrison) escort Ono over and over through a doorway; in another, John and Yoko lose each other on the Tittenhurst grounds, and go looking.
Le documentaire relate l'histoire du pays, de l'État libre du Congo à la RDC et présente la plupart des personnages clés qui ont joué un rôle dans son histoire, tels que le roi belge Léopold II, Patrice Lumumba, Joseph Kasa-Vubu, Joseph Mobutu, Moise Tshombe et Laurent Désiré Kabila.
The film is an in-depth look at Claremont's run on The X-Men (later The Uncanny X-Men) series, which he wrote from 1974 to 1991. In interviews with Claremont, Simonson, Nocenti, Adams, and Shooter, the film tells the story of how Claremont's writing revived Marvel's failing X-Men title and rebuilt it into a successful franchise. Chris Claremont's X-Men explores Claremont's contributions to the X-Men, including his development of popular characters Wolverine, Phoenix, and Storm.