À cette époque des premiers films, la coutume est que les concurrents s'inspirent sans vergogne de tout sujet nouveau filmé par l'un ou l'autre des cinéastes primitifs. Comme ces films ne développent aucune construction dramaturgique, ils échappent à toute plainte en violation de droit d'auteur. Ainsi, l'un des films réalisés pour Thomas Edison en 1893 par le premier réalisateur du cinéma, William Kennedy Laurie Dickson, Blacksmith Scene est-il repris en 1895 par Louis Lumière sous le titre Les Forgerons, et plus tard, en 1896, par Georges Méliès, sous le même titre : Les Forgerons. De même, Georges Méliès reprend l'argument de L'Arrivée d'un train en gare de La Ciotat pour tourner son Arrivée d'un train gare de Joinville et aussi Arrivée d'un train gare de Vincennes. D'ailleurs, tous ses premiers films — la plupart malheureusement perdus — reprennent systématiquement un sujet tourné un an auparavant par Louis Lumière : Une partie de cartes, L'Arroseur, Baignade en mer, Barque sortant du port de Trouville. Par prudence, cependant, et surtout pour être original, Méliès se gardait de tourner dans la même ville que Louis Lumière.
La danseuse Annabelle, vêtue de voilages légers, coiffée d'antennes fantaisistes, reprend le type de danse qu’avait popularisé Loïe Fuller trois ans auparavant, et qui privilégie les mouvements amples des bras, entraînant les voilages qui tournoient et se gonflent d’air.
La championne de tir Annie Oakley, invitée à 24 ans par Thomas Edison dans le premier studio de cinéma, le Black Maria, à Orange, dans le New Jersey, fait une démonstration de tir sportif rapide sur des boules de verre accrochées à un porte-cible, saisit ensuite une autre arme, la première étant déchargée, pour tirer sur des « pigeons » d'argile.
Un cycliste américain déclenche sans le vouloir un scandale d'envergure internationale lorsqu'un expert russe laisse échapper des détails sur une affaire de dopage.
Le documentaire retrace le déroulement des guerres médiques, un important conflit de l'Antiquité qui oppose les Grecs aux Perses de l'empire achéménide au début du Ve siècle av. J.-C. Le téléfilm fait alterner des entretiens avec des historiens de l'Antiquité et des séquences de reconstitution où les acteurs parlent en grec ancien et en persan. La première partie, « Vaincre à Marathon », retrace les grandes étapes de la première guerre médique, qui oppose l'armée du roi perse Darius Ier aux cités de Grèce centrale, en particulier Athènes. Elle détaille notamment la victoire grecque au cours de la bataille de Marathon. La seconde partie, « Divine Salamine », retrace la seconde guerre médique au cours de laquelle le roi Xerxès Ier tente à son tour d'envahir la Grèce, en détaillant notamment la victoire des Athéniens lors de la bataille de Salamine.