When a Hartford couple turns to psychiatry for help with their marriage, things quickly spiral out of control. Couples counseling, individual and group therapy and 24-hour marathon sessions ensue. Their four children suffer and are given their own psychiatrists. Pills are prescribed, people are institutionalized, shock-therapy is administered. This is an intimate story in the family’s own words, from an extraordinary collection of audio recordings and home movies, illuminating a difficult and extraordinary time.
Le film est basé sur le livre Sybil de Flora Rheta Schreiber paru en 1973. Sybil Dorsett est une jeune femme diplômée qui souffre d'étranges absences et demande de l'aide à une psychiatre : le Dr Cornelia Wilbur. On suit la longue psychothérapie de Sybil, au cours de laquelle la thérapeute va mettre en évidence un trouble de la personnalité multiple, en l'occurrence, chez Sybil, ce sont dix-sept personnalités différentes qui prennent le contrôle d'elle-même. Certaines sont psychotiques et veulent la tuer. Ces troubles sont liés à des abus sexuels durant l'enfance. La thérapie va mener à la réintégration progressive de ces personnalités en une seule.
Lors d’une inspection, des agents des douanes découvrent le cadavre d'une jeune femme dont la chevelure continue de croître. Cet étrange phénomène n’échappe pas au gardien de la morgue qui entreprend de fabriquer des extensions pour les revendre aux salons de coiffure. Mais tous ignorent que ces extensions, douées d’une vie propre, sont muées par des pulsions meurtrières. Accompagnée de sa nièce, une apprentie coiffeuse va tenter de démêler le mystère avant que d'autres décès ne surviennent ...
Milan (A.J. Saudin) is an 11-year-old boy who dreams about escaping a violent home life. When his parents fight or take drugs, or when bullies pick on him in school, he finds peace in contemplating a postcard with an idyllic picture of the island of Aruba, and imagines himself in that faraway place as a way to survive.
Prêtre catholique irlandais venu en Californie, Oliver O'Grady, ou Ollie, a violé des dizaines d'enfants des années 1970 aux années 1990. Le film suit chronologiquement son histoire, par le témoignage de trois de ses victimes, deux femmes et un homme, de parents de victimes, d'Oliver O'Grady lui-même, et de plusieurs autres personnes, dont le père Thomas Doyle, prêtre qui s'attache à ce que l'Église fasse face à ses responsabilités dans ce domaine.
In the spring of 2003, Jason Russell, Bobby Bailey, and Laren Poole traveled to Africa to document the War in Darfur. Instead, they changed their focus to the conflict in northern Uganda, Africa's second longest-running conflict after the Eritrean War of Independence. The documentary depicts the abduction of children who are used as child soldiers by Joseph Kony and his Lord's Resistance Army (LRA). This film centers around a group of Ugandan children who walk miles every night to places of refuge in order to avoid abduction by the LRA.
The night before Easter, a lowlife named Remington dons an Easter Bunny mask, and robs a convenience store with a shotgun, shooting the clerk in the mouth. Remington is then revealed to have charmed his way into the life of widow Mindy Peters, a nurse who lives with her cerebral palsy-afflicted son Nicholas, who Remington torments when Mindy is not around. While taking out the garbage, Nicholas befriends a disfigured vagrant who gives him a rabbit he claims is an Easter Bunny. Nicholas decides to keep the rabbit a secret, but it is discovered by Remington, who threatens to kill it if Nicholas says anything bad about him to Mindy.
Ditsi Carolino received the Best Director award for the documentary film Bunso (The Youngest) at the OneWorld 2005 documentary films festival held in Prague, Czech Republic.
Dans les années 1910, à Sainte-Philomène de Fortierville, Aurore Gagnon, six ans, vit dans une famille unie et heureuse. En 1918, sa mère, Marie-Anne Caron, décède de la tuberculose. Fraîchement veuf, son père, Télesphore Gagnon, épouse discrètement sa belle-cousine, également veuve récente, Marie-Anne Houde, mère de deux enfants qui est originaire du village voisin : Sainte-Sophie-de-Lévrard. Après la mort inexpliquée de deux enfants de Télesphore, Joseph et Lucina Gagnon, la marâtre s'en prend à Aurore, maintenant âgée de dix ans, qui est martyrisée avec la complicité et l'aide occasionnelle de son père.
Film choc au style pamphlétaire, le documentaire brosse un portrait critique de la protection de la jeunesse au Québec. Il utilise des chiffres alarmants comme le nombre de signalements à la Direction de la protection de la jeunesse, les estimés du nombre de bébés victimes d’infanticide, le nombre d’enfants placés, etc. pour questionner la responsabilité citoyenne et institutionnelle face aux enfants en besoin de protection. Avec des extraits d’entrevues de victimes, il réfère à des exemples de situations graves et très médiatisés de maltraitance ou d’abus sexuels, comme ceux de Nathalie Simard ou celui du « Bourreau de Beaumont », qui a aussi fait les manchettes et qui a été l’objet d’une enquête de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse dans ce questionnement. Vingt-cinq ans après l’avènement de la Loi sur la protection de la jeunesse, le documentaire critique le système de protection de la jeunesse pour sa grosseur, ses lourdeurs administratives et certaines de ses pratiques.