Yoshio, publicitaire de profession, découvre, un matin, le corps de Tatsu, sa vieille mère, inanimé. Se serait-elle suicidée ? Malade, souffrante, Tatsu ne supportait plus son environnement. Toutefois, l'inspecteur chargé de l'enquête soupçonne un meurtre. Ryôsaku, l'époux de Tatsu, se désigne comme coupable.
Des suites d'un accident de la route, Ken Harrison, sculpteur, se retrouve affecté d'une tétraplégie. Il souffre d'autres lésions liées à son accident comme de multiples fractures et une atteinte de différents organes internes, dont ses reins, rendant obligatoires des dialyses toute sa vie. Lors d'un échange mouvementé avec une ergothérapeute il fait un malaise grave pouvant évoquer une dysréflexie autonome pour lequel il est réanimé lorsqu'il revient dans sa chambre des soins intensifs. Il ne saurait survivre sans avoir recours régulièrement à des soins en milieu hospitalier et son espérance de vie est certainement réduite. Lui, si actif autrefois, devient dépendant et sombre vite dans la dépression. Toutefois il reste très souriant et blagueur avec ses soignants, on le voit parfois en colère ou pleurant, mais il reste lucide et très fin dans ses réparties. Il a un humour particulièrement noir, par exemple en se décrivant comme "un pudding de chair". Il envisage l'euthanasie (il souhaiterait mourir par arrêt des soins) mais se retrouve en butte au médecin qui l'a soigné, le Dr Michael Emerson, qui est un farouche adversaire de cette pratique. Il souhaiterait pouvoir sortir de l’hôpital pour pouvoir décider de son propre sort, mais il est maintenu interné par le Dr Emerson afin de l'empêcher de mettre fin à ses jours. Ken Harrison fait alors appel à un avocat afin d'obtenir un jugement pour faire aboutir sa cause. A part dans les premières scènes le film est tourné entièrement en intérieur, principalement dans l’hôpital mais aussi quelques scènes au studio que Ken Harrison partage avec sa compagne danseuse. Ce choix renforce le sentiment de claustration du héros. A son chevet et près de lui alternent différents personnages, principalement des soignants et quelques personnes de l'extérieur comme son avocat, le juge etc. qui ont ainsi l'occasion de présenter différents arguments pour ou contre ses choix. Le second de ses médecins, le Dr Clare Scott, évolue au cours du film. Elle est d'abord opposée à son refus de soin et à son désir de mourir, puis peu à peu elle comprend et accepte sa position. Au contraire d'autres films sur le sujet, la famille de Ken Harrison n'apparaît pas, et bien qu'au début du film sa compagne vienne quotidiennement le voir, il finit par demander à cette dernière de ne plus venir et de rompre. On ne la revoit que lorsque le Dr Scott vient visiter le studio. La rupture survient au bout des 6 premiers mois de son hospitalisation, au moment où on lui propose de commencer de la rééducation. C'est le moment aussi où il révèle sa décision de vouloir ne plus vivre dans cet état de "légume" (le héros a une réplique humoristique quand on lui parle de quitter la réanimation : "c'est ici que vous faites pousser les légumes et ensuite vous les stockez ailleurs"). Ce film ne traite pas uniquement du droit à disposer de sa propre vie mais aussi du pouvoir médical (le héros demande d'ailleurs à l'un de ses médecins : "pourquoi votre morale devrait-elle être supérieure à la mienne ? Juste par ce que vous avez plus de pouvoir ?"). Ken Harrison obtient gain de cause lors du procès qui a lieu dans l'enceinte de l'hôpital. Toutefois, sur proposition du Dr Emerson, il reste à l'hôpital. Le médecin qui n'a pas perdu tout espoir souhaite lui laisser la possibilité de changer d'avis et en tout cas de mourir, le cas échéant, dans un meilleur confort.
Joe Bonham (Timothy Bottoms) est un jeune Américain plein d'enthousiasme. Il décide de s'engager pour aller combattre sur le front pendant la Première Guerre mondiale. Au cours d'une mission de reconnaissance, il est grièvement blessé par un obus et perd la parole, la vue, l'ouïe et l'odorat. On lui ampute ensuite les quatre membres alors qu'on croit qu'il n'est plus conscient. Allongé sur son lit d'hôpital, il se remémore son passé et essaie de deviner le monde qui l'entoure à l'aide de la seule possibilité qui lui reste : la sensibilité de sa peau. Une infirmière particulièrement dévouée l'aide à retrouver un lien avec le monde extérieur. Lorsque le personnel médical comprend que son âme et son être sont intacts sous ce corps en apparence décédé, ils doivent prendre une décision médicale selon les valeurs et les croyances de l'époque.
Un médecin radié de l’ordre pour euthanasie est appelé par un homme pour aider son fils dépressif depuis le suicide de sa compagne. Mais dans le sac à main de la défunte, une pellicule non développée est découverte par le médecin qui décide d’enquêter sur le prétendu suicide de la jeune femme.
Dr. Guy Montford moves back to his seaside Massachusetts hometown at the request of old friend Larry McFie, who is dying of cancer. Over the objections of Larry's father, hospital administrator Dr. Sol Kelsey puts the patient in Guy's personal care.
Le directeur d'un grand cirque américain, Brad Braden, doit faire face à des difficultés financières, et ses investisseurs refusent d'assurer une tournée complète cette année : ils préfèrent se contenter des grandes villes, et faire une tournée de dix semaines. Pour les convaincre qu'il va réussir à équilibrer le budget, Braden les informe qu'il a engagé le "grand" Sébastian, un trapéziste de renom. Ses investisseurs le préviennent qu'en plus d'avoir du succès auprès des spectateurs, celui-ci a également beaucoup de succès auprès des dames, ce qui fait qu'il crée autant de problèmes qu'il attire la renommée. De son côté, le truand Henderson a bien l'intention de profiter de la caravane du cirque pour arnaquer certains visiteurs. Il confie cette tâche à Jack Lawson, à qui il conseille de se faire discret : il ne tiendrait pas face à Braden.
Marina est une prostituée dont la vie est assez difficile. Son beau-père est arrêté par la Gestapo, sa mère trompe son mari et elle-même tombe sous le charme de son demi-frère. Par la suite elle assiste à l'assassinat de sa meilleure amie. Elle tombe alors amoureuse d'un peintre qui, malheureusement, est gravement malade : il a une tumeur au cerveau. Pour financer les frais de l'opération, Marina se voit contrainte de reprendre son ancien « travail ». Les deux amoureux partent alors pour l'Italie, où ils trouvent de quoi se divertir et se détendre. Finalement l'opération a lieu mais n'apportera pas de guérison définitive. Ils retournent en Autriche et passent quelques jours à Vienne. Marine aidera ensuite son ami, devenu aveugle, à mourir à l'aide de somnifères, car ses souffrances sont telles qu'il ne peut plus les supporter. Après cela, elle se suicide à son tour.
Hanna Heyt est une femme pleine de vie. Lorsque son mari, le professeur Thomas Heyt, l'appelle au téléphone pour lui dire qu'il a obtenu un poste de directeur d'institut à Munich, elle prépare une fête avec ses amis et ses collègues. Mais elle tombe inexplicablement dans l'escalier de la maison. Lorsqu'elle joue du piano pour les invités, elle sent une crampe à la main et ne peut plus jouer. Mais l'engourdissement ne disparaît pas le lendemain matin, son mari l'envoie auprès du Dr Lang, un vieil ami du couple. Après des examens, celui-ci lui diagnostique une sclérose en plaques. Il révèle ses soupçons à Thomas qui, effondré, demande l'avis d'un spécialiste. Ce dernier lui explique que la maladie est incurable et conseille de ne rien dire à Hanna pour qu'elle soit toujours optimiste et ne perde pas la foi en une guérison. Maintenant, après son travail, le professeur reste des heures dans son laboratoire pour découvrir l'agent pathogène de la maladie et les moyens de la guérir.