L'histoire suit conjointement une jeune reportrice interviewant un critique de cinéma sur l’existence des fameux « snuff movies » et le calvaire de trois jeunes femmes livrées aux mains d’un tortionnaire brutal et pervers qui prendra un malin plaisir à les torturer sous l’œil de la caméra.
Un détective new-yorkais, Mike Reilly, est confronté à plusieurs morts atroces dues à une nouvelle épidémie. Épaulé par une chercheuse, il découvre un site Internet : Terreur.com. Il apprend que toutes les victimes s'y sont connectées deux jours avant leur décès. La mystérieuse épidémie cacherait donc une série de meurtres, menés par une « veuve noire » qui hante le Web. Mike se connecte sur le site. Il ne lui reste que 48 heures pour trouver et détruire ce mystérieux tueur, sinon il mourra à son tour...
Dans une maison isolée, deux cambrioleurs découvrent un homme sauvagement torturé. Décidant de lui venir en aide, ils tombent dans un effroyable piège. Devenus les proies d'un terrifiant psychopathe associant l'horreur au plaisir, ils d'assurent que personne ne leur viendra en aide. Pour eux, mourir est facile, mais survivre est une torture...
Le Mur est un documentaire réalisé en 2011 par Sophie Robert et produit par la société Océan Invisible Productions, en partenariat avec Autistes sans frontières, une association qui milite en faveur d’une prise en charge comportementale éducative des personnes autistes et contre la prise en charge psychanalytique.
Éric Duvivier, neveu du cinéaste Julien Duvivier, fut très tôt initié au septième art. Après la Seconde Guerre mondiale, il entrepris des études de médecine à Paris qu'il finit par abandonner. Passionné de cinéma, il créa en 1947 le Centre international du film médical qui organisa la même année le premier Congrès international du film médical au palais de la Mutualité à Paris.
La réalisatrice, déjà auteure d'un documentaire sur les psychanalystes produit en 2011, réitère ici « sa déclaration de désamour à l'endroit des freudiens et des lacaniens ». Elle interviewe dans ce documentaire 18 psychanalystes, Richard Abibon, Jacques André, Patrick Avrane, Yann Bogopolski, Emeline Caret, Guidino Gosselin, Jean-Michel Hirt, Eric Laurent, Marie-Christine Lasnik, Christine Loisel-Buet, Aldo Naouri, Claude Parchlinak, Gérard Pommier, Jacqueline Schaeffer, Esthela Solano-Suarez, Alexandre Stevens, Monique Schneider et Jean-Pierre Winter. Le film évoque, selon la documentariste, « la vision sexiste de la psychanalyse », indiquant que , « une valeur centrale [de la psychanalyse] est que le sexe de la femme n’existe pas, c’est simplement un trou ». Sophie Robert, selon Gilles Durand dans 20 minutes, « dénonce les dérives sectaires et la manipulation mentale de certains psychanalystes ».