Le film est une captation d'une représentation des Bacchantes d'Euripide par la troupe théâtrale Performance Group, mise en scène par Richard Schechner. L'écran est divisé en deux par le système de l'écran divisé, montrant d'un côté la scène, de l'autre le public qui assiste à la représentation.
Il s'agit d'une visite guidée montrant les ressources des musées belges, avec le concours du quatuor vocal de Bruxelles et de l'orchestre des Concerts de midi, le musée instrumental du Conservatoire royal de musique à Bruxelles, les établissements Léon Dubois à Trazegnies, le Musée de Mariemont, la Maison d'Érasme à Anderlecht, le musée de la Céramique à Raeren, le musée ducal à Bouillon, ...
Cherchant à percer le mystère de la création, le cinéaste se dit : «Pour savoir ce qui se passe dans la tête d'un peintre, il suffit de suivre sa main». Un habile stratagème lui permet de réaliser son projet insensé : par transparence, chaque trait tracé par la main du célèbre artiste apparaît dans l'espace. Mais l'exécution, par Pablo Picasso, de dessins et de tableaux, ne fait que gonfler davantage le mystère qui plane autour de lui : en effet, chacun des traits qu'il effectue étonne et déconcerte. Des toreros blessés et des nus sont ainsi créés, comme par magie, fruits d'un travail acharné qui connaît parfois quelques échecs.
Portrait intime d'André Gide, illustré d'archives personnelles de Gide, mais qui retrace aussi l'œuvre de Gide, ses rencontres (Jean-Paul Sartre, Antoine de Saint-Exupéry, etc.), la NRF...