Le héros de ce conte de fées populaire est un jeune prince qui, après la mort de ses parents, part dans le monde. Au cours de ses voyages, il rencontre un cheval magique qui parle et tombe amoureux de la belle princesse Slavna. Sur les conseils de son cheval, il entre en service comme jardinier muet du château. Selon les sons qu'il émet, ils commencent à l'appeler Bajaja. Cependant, lorsque un dragon apparaît et demande à la princesse ou de détruire tout le royaume, Bajaja met son armure et sauve la princesse sur son cheval. Mais, il tient une promesse qu'il a faite au cheval et s'éloigne de l'endroit. Le chevalier noir en profite et sous la menace, il force la princesse à jurer que c'est lui qui l'a sauvée .
Au début des années 1960, les réalisatrices étaient bien plus nombreuses dans le bloc de l’Est que de l’autre côté du Rideau de Fer, à l’instar de Věra Chytilová, figure de la Nouvelle Vague tchécoslovaque. "Quelque chose d’autre", réunit deux parcours de femmes, l’un fictif et l’autre réel : celui de la gymnaste et future médaillée d’or Eva Bosáková, qui joue ici son propre rôle.
L’ingénieur Jindřich Beránek travaille au sein de la société Elektrojeřáby alors que sa femme Růžena, autoritaire et énergique, voire tyrannique, travaille dans un institut de recherche. La professeure Beránková invente ainsi un procédé qui supprime les rêves désagréables. Elle reproduit l’expérience avec une vache au cours d’une conférence, qui voit disparaitre un taon du rêve de la vache (les rêves étant retransmis… sur un écran de télévision). Mais le taon réapparait alors dans la salle, et échappe à l’attention des protagonistes. Jindřich Beránek trouve quant à lui une série de bandes dessinées, où la ravissante héroïne Jessie échappe à ses poursuivants en utilisant des gants anti-gravité. L’idée lui vient alors de mettre au point un procédé identique.
Le film a pour sujet la bataille de Stalingrad pendant la Seconde Guerre mondiale. La première partie montre l'attaque des Allemands en 1942, et la deuxième partie est consacrée à la contre-offensive des Russes jusqu'à la victoire en février 1943.
La trame du film a été reconstituée comme suit en 38 séquences par l'historien Karel Margry. La majeure partie en représente des activités récréatives et seulement douze des scènes de travail, l'ensemble produisant une impression de « fête continue » :
Milos travaille dans une petite gare de Tchécoslovaquie pendant l'occupation, lors de la Seconde Guerre mondiale. Tourmenté par sa timidité, il n'arrive pas à séduire la jolie contrôleuse qui pourtant s'offre à lui. Devant cet échec, et désespéré de pouvoir prouver qu'il est un homme, il tente de se suicider.
Un général SS visite le camp de concentration de Terezín (Theresienstadt, près de Prague). Un film documentaire dont le sujet est « la ville qu'offre Hitler aux Juifs » détenus dans ce camp y est justement en cours de tournage. Cependant l'officier remarque une pancarte portant l'inscription « Mort au fascime !». En représailles, il décide de constituer un convoi à destination d'Auschwitz-Birkenau. Le chef du Judenrat du ghetto s'oppose à cette décision, mais le convoi partira finalement.
Cendrillon vit sous le même toit que sa belle-mère et sa fille qui la maltraite et l'oblige à faire des tâches ingrates. Elle commence à en avoir assez de cette vie, et un jour, dans un bois, elle rencontre un prince…
Lemuel Gulliver, après avoir subi un accident de voiture, découvre un lapin mort habillé en homme et lui prend sa montre à gousset. Il se retrouve à Balnibarbi, un pays où tout est mystérieux, survolé par l'île de Laputa. Il assiste à une exécution capitale orchestrée comme un numéro de cirque par un bourreau si gentil.