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Barbara Stanwyck est une Actrice et Scénariste Américaine née le 16 juillet 1907 à New York (Etats-Unis)

Barbara Stanwyck

Barbara Stanwyck
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Nom de naissance Ruby Catherine Stevens
Nationalité Etats-Unis
Naissance 16 juillet 1907 à New York (Etats-Unis)
Mort 20 janvier 1990 (à 82 ans) à Santa Monica (Etats-Unis)

Barbara Stanwyck (née Ruby Catherine Stevens) est une actrice américaine, née le 16 juillet 1907 à New York et morte le 20 janvier 1990 à Santa Monica en Californie.

D’une enfance difficile, Barbara Stanwyck a tiré une force et une volonté hors du commun.
Elle commence au cinéma dès la fin du muet et est propulsée par le metteur en scène Frank Capra qui lui donne des rôles importants. Elle atteint des sommets en incarnant les stéréotypes de l’héroïne du film noir. Elle excelle dans les genres cinématographiques les plus variés : le mélodrame, le western, le film policier, le film noir, la comédie, le film social.
Nominée quatre fois pour un Oscar, elle n'en reçut aucun. Elle recevra en 1982, un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière.

Biographie

Une volonté de fer

Ruby Stevens naît en 1907 à New York, dans le quartier de Brooklyn. Issue d’un milieu pauvre, elle est d'ascendance écossaise et irlandaise. Elle n’a que quatre ans lorsque sa mère meurt accidentellement, poussée par un ivrogne à la sortie d’un tramway. Deux semaines après les funérailles, son père partira travailler à la construction du canal de Panama et ne donnera plus signe de vie. Ruby, cadette de cinq enfants, est maintenant élevée par sa sœur aînée et par des familles d’accueil. Elle commence dès l’adolescence à travailler, notamment comme emballeuse puis comme standardiste. D’un caractère tenace et surtout dotée d'une volonté de réussir, elle tente sa chance dans le milieu du spectacle. Elle chante et danse dès l’âge de quinze ans dans des cabarets et des music-halls, avant d’obtenir un engagement comme chorus girl dans les Ziegfeld Follies en 1923.

Puis elle apparaît sur les scènes de Broadway dans des premiers rôles, notamment à l'Hudson Theatre dans The Noose en 1926 et dans Burlesque en 1927 où elle obtient un gros succès et de bonnes critiques.
Willard Mack, imprésario à l’origine de ses débuts à Broadway dans The Noose, changea également son nom en Barbara Stanwyck, argumentant que celui de Ruby Stevens faisait vraiment « trop strip-teaseuse ».

Dans cette période, son ami Oscar Levant, auteur-compositeur, rencontré lorsqu’elle était chorus girl, lui présente Frank Fay acteur célèbre de New York spécialisé dans le vaudeville. La jeune actrice est séduite et se marie avec lui le 26 août 1928. Elle avouera plus tard qu’il était comme le père qu’elle n’avait jamais eu. Barbara ne pouvant pas avoir d’enfant, le couple adopte le 5 décembre 1932, Dion Anthony, né en février 1932.

Parallèlement à sa carrière théâtrale, elle se lance au cinéma dans un film muet, Broadway nights (1927), grâce à l'appui de son mari. Elle sera également remarquée grâce à ses succès théâtraux par le producteur Joseph M. Schenck qui l’engage pour Le Signe sur la porte dont le tournage a lieu à New York. Mais ces premiers films sont des échecs.

Frank Fay ayant obtenu un rôle pour The Show of Shows, le couple se rend à Hollywood. Là-bas, Fay présente et vante les mérites de sa femme à Harry Cohn, directeur de la Columbia, ce dernier propose alors à l’actrice de faire un film de série B, Mexicali Rose. Dès lors, Barbara Stanwyck ne cessera plus de tourner.


Une gloire immédiate

Mais c’est la rencontre avec Frank Capra qui va lancer sa carrière. Le réalisateur impose, contre l’avis des studios Columbia, Barbara Stanwyck en 1930 dans Femmes de luxe (Ladies of Leisure).

C’est en visionnant un bout d’essai que l'actrice a fait pour la Warner que Capra l’engage.
«… Au bout de trente secondes seulement, j’avais le cœur serré comme dans un étau. Elle suppliait le gouverneur de gracier son mari emprisonné. Jamais de ma vie je n’avais vu ou entendu une telle sincérité dans l’expression des sentiments humains. J’avais les larmes aux yeux lorsque la lumière revint. J’étais comme foudroyé. »

Capra est conquis par la personnalité de l’actrice, il l’aidera à adoucir son image un peu trop abrupte et va lui ouvrir de nouveaux horizons à Hollywood.
Le réalisateur lui fait signer un contrat non exclusif avec la Columbia, ce qui permettra à l’actrice de tourner également pour les studios Warner Bros. ainsi qu’avec toutes les principales compagnies hollywoodiennes, de la RKO à la 20th Century Fox.

Capra et Stanwyck enchaîneront avec The Miracle Woman en 1931 dont le sujet est inspiré de la vie d’Aimee Semple McPherson, célèbre prédicatrice qui, en exploitant la crédulité des gens dans leur foi, se bâtit une fortune au milieu des années 1920 aux États-Unis.
Mais c’est le troisième film avec Capra, Amour défendu (Forbidden) (1932), qui la révèle au grand public.
Le réalisateur tournera encore deux films avec elle : La Grande Muraille (The Bitter Tea of General Yen) (Jean-Pierre Coursodon et Bertrand Tavernier écriront à propos de Capra : « L’une des réussites les plus personnelles de cette période nous semble être The Bitter Tea of General Yen, dont l’atmosphère à la Sternberg est contrebalancée par une direction fluide, nuancée, dans laquelle Barbara Stanwyck se révèle prodigieuse et d’une sensibilité très moderne… »), et huit ans plus tard, L'Homme de la rue (Meet John Doe) (1941) avec Gary Cooper.

Projetée au firmament des stars, elle est classée parmi les plus grandes du moment : Greta Garbo, Marlene Dietrich, Katharine Hepburn, Joan Crawford et Bette Davis.



Elle incarne les femmes combatives et indépendantes dans l’Amérique en crise du début des années 1930 à l’ère du Pré-Code, dans des films aussi divers que Illicit (1931), Toujours dans mon cœur (Ever In My Heart) (1933) et Franc Jeu (Gambling Lady) (1934), tous trois signés Archie Mayo, Ladies They Talk About (1933) de Howard Bretherton, Liliane (Baby Face) (1933) de Alfred E. Green, Mariage secret (The Secret Bride) (1935) de William Dieterle ou La Dame en rouge (The Woman in Red) (1935) de Robert Florey.

Elle fait une composition remarquée spécialement dans Liliane (1933), d'après une histoire du producteur Darryl F. Zanuck, où elle use de ses charmes pour se retrouver au sommet de l’échelle sociale sans se soucier de briser des carrières ou de provoquer des suicides. Le scénario, par trop sulfureux, eut des problèmes avec la censure. Jack Warner, directeur de la Warner Bros., effectua quelques édulcorations et imposa une fin plus conforme à la morale de l’époque.

William Wellman lui offrira également de beaux rôles dès le début des années 1930 dans L'Ange blanc (Night Nurse) (1931), Mon grand (So Big) (1932), The Purchase Price (1932), plus tard dans L'Inspiratrice (The Great Man's Lady) (1942) et L'Étrangleur (Lady of burlesque) (1943).

Outre Capra, Wellman et Dieterle, elle tourne avec de grands réalisateurs : John Ford pour Révolte à Dublin (1936), Cecil B. DeMille pour Pacific Express (1939), un hymne dédié aux pionniers du chemin de fer des États-Unis dont le souffle épique sera rarement égalé, Rouben Mamoulian dans L'Esclave aux mains d'or (Golden Boy) (1939) : elle y rencontre un tout jeune débutant encore hésitant, William Holden, qu’elle défendra en menaçant de quitter le tournage à l’instant où on menace de le renvoyer. Holden déclara bien plus tard qu’il lui devait sa carrière.



Elle est encore remarquable dans le bouleversant mélodrame de King Vidor grâce à qui elle obtient sa première nomination aux Oscars pour son rôle dans Stella Dallas (1937), où elle incarne un personnage de femme élevant seule son enfant et qui finira par sacrifier son amour maternel pour le bonheur de sa fille.

Entre-temps ses relations avec son mari se sont dégradées car, contrairement à celle de Barbara, la carrière de Frank Fay est au point mort, il se met à boire et devient violent. Ils finiront par divorcer en 1935 et se déchirer la garde de leur fils adoptif. Certains historiens prétendent que leur relation a inspiré le film de William A. Wellman, Une étoile est née.

Elle rencontre, en 1936, sur le plateau de La Fièvre des tropiques un des jeunes premiers les plus séduisants d' Hollywood, Robert Taylor. Une liaison s’instaure qui se concrétisera trois ans plus tard par un mariage en 1939 organisé par Metro-Goldwyn-Mayer, pratique courante autrefois dans les studios d'Hollywood. Mais, soi-disant lassée des infidélités de son mari, l’actrice finira par divorcer le 21 février 1951.


The Queen

Au début des années 1940, elle est une des rares stars indépendantes libres d’engagement à long terme avec les studios, elle gère seule sa carrière. Viennent les années de gloire : en 1944, elle est classée par le ministère du Trésor américain la femme la mieux payée aux États-Unis (plus de 400 000 dollars).

Refusant de se cantonner à un certain type de rôles, Barbara Stanwyck va composer des personnages des plus éclectiques dans tous les genres cinématographiques. Et comme l’écrit Noël Simsolo : « Parfaite dans la comédie, le mélodrame ou la tragédie, chaque film lui est un moyen de renouveler son image et de prouver l’étendue de son jeu. »

Elle aborde la décennie avec un genre cinématographique où elle va exceller : la comédie.
Elle démontre un réel talent comique dans des chefs-d’œuvre éblouissants tels Un cœur pris au piège (The Lady Eve) par un maître du genre, Preston Sturges, où elle incarne une aventurière sans scrupules qui séduit un milliardaire timide incarné par Henry Fonda, et dans Tu m'appartiens où elle retrouve Henry Fonda ; elle joue une voleuse impénitente aux côtés de Fred MacMurray dans L'Aventure d'une nuit (Remember the Night) ; Howard Hawks lui fait jouer une pétulante chanteuse de cabaret qui bouleverse la vie de professeurs dont fait partie Gary Cooper dans le brillant Boule de feu. Le réalisateur prit un immense plaisir à travailler avec Barbara Stanwyck et la rangea toujours parmi les meilleures actrices qu’il avait dirigées. Son abattage et sa fantaisie hors pair seront récompensés pour ce film par une nomination aux oscars. Mention spéciale pour L'Homme de la rue (Meet John Doe) de son réalisateur fétiche Frank Capra, où elle côtoie le drame et la comédie de façon sensible et qui sera annonciateur de ses futurs rôles les plus tourmentés.



La suite de sa filmographie sera enrichie de mélodrames, genre de films où elle a déjà fait ses preuves. Elle est, avec Bette Davis et Joan Crawford, une des plus grandes vedettes du genre avec des films comme Le Droit d'aimer (My Reputation) (1946) de Curtis Bernhardt, L'Orchidée blanche (The Other Love) (1947) d'André de Toth, Ville haute, ville basse (East Side West Side) (1949) de Mervyn LeRoy (avec James Mason et Ava Gardner), Chaînes du destin (No Man of Her Own) (1950) de Mitchell Leisen, Le démon s'éveille la nuit (Clash by Night) (1952) de Fritz Lang, Le Souffle sauvage (Blowing Wild) (1953) de Hugo Fregonese, La Tour des ambitieux (Executive Suite) (1954) de Robert Wise, All I Desire (1953) et Demain est un autre jour (There's Always Tomorrow) (1956), tous deux de Douglas Sirk, La Rue chaude (Walk on The Wild Side) (1962) d’Edward Dmytryk…

Aucune actrice n’incarnera mieux qu’elle les femmes fortes et « viriles » dans un autre genre, celui-là essentiellement masculin, le Western. Elle en tournera de nombreux, tout particulièrement dans les années 1950, parmi lesquels La Gloire du cirque où elle interprète Annie Oakley, partenaire de Buffalo Bill, dans le film de George Stevens en 1935, Pacific Express (Union Pacific) (1939) de Cecil B. DeMille, Californie terre promise (California) (1946) de John Farrow, Les Furies (The Furies) (1950) d’Anthony Mann où elle affronte son père (Walter Huston) propriétaire terrien, La Reine de la prairie (Cattle Queen of Montana) (1954) d’Allan Dwan, Le Souffle de la violence (The Violent Men) (1955) de Rudolph Maté, La Horde sauvage (The Maverick Queen) (1956) de Joseph Kane et Quarante tueurs (Forty Guns) (1957) de Samuel Fuller. Dans ce film, elle renverse à nouveau les lois du genre en incarnant une cheffe de bande despote, fouet à la main, habillée tout en noir en habit d’homme. Elle fait dès le début du film une apparition fulgurante, à la tête de quarante cavaliers. À cinquante ans, elle effectue elle-même certaines cascades plusieurs fois dont celle où elle est désarçonnée par son cheval et traînée sur le sol sur plusieurs mètres, faisant preuve d'une abnégation que Hollywood n'avait pas connue depuis Lillian Gish.

Mais c’est dans le film noir qu’elle donnera le meilleur d’elle-même.



En 1944, Billy Wilder lui confie un rôle très noir dans Assurance sur la mort ((Double Indemnity)) qui sera déterminant pour sa carrière.
D’abord réticente à cause de la noirceur du personnage, Billy Wilder la convainc d’accepter en lui lançant un défi : « Vous êtes une souris ou une actrice ? », « J’espère être une actrice » lui répondit-elle, « Alors, acceptez le rôle. » Elle l’accepta et lui fut très reconnaissante.

Transformée pour l'occasion en une vamp blonde, séduisante et perverse, elle incarne là un de ses meilleurs personnages.
Chef-d’œuvre du film noir, le film est sublimé par l’utilisation de la lumière, un scénario et une réalisation sans concession et des interprétations sans failles dont celle de Barbara Stanwyck, qui l'impose dans la mythologie du genre parmi Lana Turner, Gene Tierney, Hedy Lamarr et Joan Crawford notamment. Le film sera encensé par Alfred Hitchcock. Sept nominations aux oscars couronneront le film (dont celle des meilleurs film, scénario, réalisation et actrice) mais il n’en remportera aucun.

Elle incarnera encore la « bad girl » dans plusieurs films marquants comme La Femme à l'écharpe pailletée ((The File on Thelma Jordon)), un beau rôle de garce où, dans une scène célèbre, elle brûle le visage de son amant avec un allume-cigare, L'Emprise du crime (The Strange Love of Martha Ivers) avec un débutant Kirk Douglas, Le Souffle sauvage, Meurtrière ambition ; et les victimes dans La Seconde Madame Carroll face à Humphrey Bogart, Raccrochez, c'est une erreur avec un autre débutant : Burt Lancaster, La Plage déserte, Témoin de ce meurtre…

Stanwyck s'impose même dans le genre particulier du « film de Noël » avec L'Aventure d'une nuit de Mitchell Leisen (1940) et Christmas in Connecticut de Peter Godfrey (1945).

En 1948, pour la quatrième et dernière fois, elle échoue aux Oscars malgré la qualité du sombre Raccrochez, c'est une erreur (Sorry, Wrong Number) d’Anatole Litvak et de son interprétation d'une femme malade qui surprend une conversation téléphonique entre deux tueurs préparant son propre assassinat (les votants des Oscars lui préférant Jane Wyman dans son personnage de sourde-muette du Johnny Belinda de Jean Negulesco).


Vie privée
Elle a, pour amie l'actrice Caryl Lincoln qui épouse, en 1934, son frère Byron.
Côté vie personnelle, Barbara Stanwyck n'a jamais véritablement correspondu au moule conçu par Hollywood. Nombre d'historiens du cinéma ont analysé son mariage avec Frank Fay puis avec Robert Taylor comme des lavender marriages, soit des relations de convenance, fictives, montées de toutes pièces pour cacher la véritable orientation sexuelle de Stanwyck (et de Taylor). Car si Stanwyck n'a jamais ouvertement parlé de son identité sexuelle, son biographe Axel Madsen la décrit « avec Greta Garbo, comme la plus célèbre lesbienne au placard d'Hollywood ». Au-delà d'une aventure avec Tallulah Bankhead, sa compagne la plus importante a été l'actrice devenue son agent artistique, Helen Ferguson. Probablement bisexuelle, Stanwyck a aussi eu des aventures avec Humphrey Bogart, Gary Cooper ou William Holden en plus de ses liaisons avec Frank Capra et Robert Wagner. Femme indépendante privilégiant les rôles de femmes fortes, Stanwyck a représenté un modèle pour des générations de lesbiennes, des années 1960 aux années 1980.


La star du petit écran


Sa carrière cinématographique déclinant au milieu des années 1950, elle apparaît au cinéma pour les dernières fois dans L'Homme à tout faire au côté d'Elvis Presley et Celui qui n'existait pas (William Castle, 1964) au côté de Robert Taylor, son ex-mari.

Elle se consacre par la suite au petit écran, participant à la série The Barbara Stanwyck Show (1960-61) pour laquelle elle remporte le premier de ses Emmy Awards en 1961. Elle obtient son deuxième Emmy Award en 1966 pour son rôle de Victoria Barkley dans La Grande Vallée (1965-69) qui fait d'elle l'une des actrices les plus populaires à la télévision. Âgée de soixante ans, elle effectue sans doublure toutes les cascades dans ce western où elle incarne une veuve énergique et chef de famille à la tête d’un ranch. Troisième Emmy Award pour le rôle de Mary Carson, riche propriétaire du domaine de Drogheda, dans Les oiseaux se cachent pour mourir (1983) où son personnage de matriarche tyrannique tente de vamper Richard Chamberlain. Elle fera sa dernière prestation dans la première saison de Dynastie 2 : Les Colby (1985-86), série dérivée de Dynastie, où elle interprète la sœur de Charlton Heston.

C'est déjà très malade qu'elle se rend sur scène pour recevoir un Oscar d'honneur. Elle aurait préféré décrocher le rôle féminin dans La Maison du lac, face à Henry Fonda, qui échut à Katharine Hepburn. Elle est décédée à Santa Monica, en Californie le 21 janvier 1990, dans sa 83e année.

Ses meilleurs films

Titanic (1953)
(Actrice)
L'Homme de la rue (1941)
(Actrice)
L'Indomptée (1948)
(Actrice)

Le plus souvent avec

Edith Head
Edith Head
(24 films)
Bess Flowers
Bess Flowers
(15 films)
Hans Dreier
Hans Dreier
(14 films)
Frank Capra
Frank Capra
(5 films)
Source : Wikidata

Filmographie de Barbara Stanwyck (93 films)

Afficher la filmographie sous forme de liste

Actrice

Ville haute, ville basse, 1h48
Réalisé par Mervyn LeRoy
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Policier, Romance
Thèmes Sexualité
Acteurs Barbara Stanwyck, James Mason, Van Heflin, Ava Gardner, Cyd Charisse, Gale Sondergaard
Rôle Jessie Bourne
Note68% 3.4475153.4475153.4475153.4475153.447515
New York. Jessie et Brandon Bourne sont mariés depuis quelques années. Incorrigible séducteur, Brandon a rencontré Isabel Lorrison, devenue par la suite sa maîtresse. Lorsque Jessie l'a su, elle a demandé à Brandon de la quitter afin de sauver leur couple. Au retour d'Isabel en ville, Jessie soupçonne une nouvelle romance entre son mari et elle. Pour en avoir le cœur net, elle se rend au domicile d'Isabel. Lorsque cette dernière est retrouvée morte, l'enquête est confiée à Dwyer, sous le charme de Jessie. Mais qui a tué Isabel Lorrison?
La Femme à l'écharpe pailletée, 1h40
Réalisé par Robert Siodmak
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Thriller, Noir, Policier
Acteurs Barbara Stanwyck, Wendell Corey, Paul Kelly, Joan Tetzel, Stanley Ridges, Richard Steven Rauber
Rôle Thelma Jordon
Note68% 3.44483.44483.44483.44483.4448
Cleve Marshall adjoint au procureur général noie dans l’alcool ses déboires conjugaux dans un bureau de police de Los Angeles dans l’attente de son ami, l’inspecteur Scott. Il y rencontre une étrange femme, portant autour du cou une écharpe pailletée, Thelma Jordon. La jeune femme, le prenant pour un officier de police, lui signale des tentatives de cambriolages chez sa vieille tante fortunée. Marshall fini par emmener Thelma au restaurant et succombe à son charme. Elle est séparée de son mari Tony Laredo, truand notoire, et après un passé tumultueux s’est réfugiée chez sa tante. Les deux amants se rencontrent en cachette quand un soir la femme téléphone à Marshall que sa tante vient d’être assassinée.
Raccrochez, c'est une erreur, 1h29
Réalisé par Anatole Litvak
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Thriller, Noir, Policier, Romance
Acteurs Barbara Stanwyck, Burt Lancaster, Wendell Corey, Ed Begley, Harold Vermilyea, Leif Erickson
Rôle Leona Stevenson
Note72% 3.645323.645323.645323.645323.64532
Une hypocondriaque, cloîtrée chez elle, tente de joindre son époux au téléphone, mais la standardiste commet une erreur et la branche sur une ligne déjà utilisée. Elle entend alors deux hommes qui discutent d'un meurtre que l'un d'eux va commettre le soir même. Elle appelle alors la police, qui explique ne rien pouvoir faire, faute de précisions sur le lieu du crime supposé.
L'Indomptée, 1h48
Réalisé par Robert Z. Leonard
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Romance
Acteurs Barbara Stanwyck, Van Heflin, Charles Coburn, Richard Hart, Keenan Wynn, Margaret Lindsay
Rôle Pauline 'Polly' Fulton Brett
Note61% 3.05023.05023.05023.05023.0502
Polly Fulton (interprétée par Barbara Stanwyck) est la fille unique d'un riche industriel, B.F. Fulton (interprété par Charles Coburn). Elle est depuis un moment déjà fiancée à un avocat séduisant et prometteur, Bob Tasmin (Richard Hart), qui est apprécié de toute la famille, lorsqu'elle fait la connaissance de Tom Brett (Van Heflin). Ce dernier est un intellectuel qui, avec son franc-parler, rejette les souffrances du monde sur l'oppression des riches. D'abord effarouchée par la violence de ses propos, Polly finit par trouver Brett plus intéressant que son fiancé bien-pensant. Elle tombe amoureuse, et finalement épouse Tom Brett.
L'Orchidée blanche, 1h35
Réalisé par André de Toth
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Mélodrame, Romance
Thèmes Maladie
Acteurs Barbara Stanwyck, David Niven, Richard Conte, Gilbert Roland, Joan Lorring, Lenore Aubert
Rôle Karen Duncan
Note60% 3.0497753.0497753.0497753.0497753.049775
Célèbre pianiste atteinte d'une maladie pulmonaire, Karen Duncan (Barbara Stanwyck) décide de fuir la clinique du Dr Stanton (David Niven) pour vivre ses derniers jours avec un coureur automobile (Richard Conte).
Californie terre promise, 1h37
Réalisé par John Farrow
Origine Etats-Unis
Genres Action, Aventure, Western
Acteurs Ray Milland, Barbara Stanwyck, Barry Fitzgerald, Anthony Quinn, Frank Faylen, George Coulouris
Rôle Lily Bishop
Note61% 3.0522453.0522453.0522453.0522453.052245
Compte Epic de la façon dont la Californie est devenue un état, avec un wagon de train, la ruée vers l'or, une berline méchante reine, et un profiteur mal.
Le Loup des sept collines, 1h23
Réalisé par Peter Godfrey, Peter Godfrey
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Thriller, Noir, Policier
Acteurs Errol Flynn, Barbara Stanwyck, Geraldine Brooks, Richard Basehart, Jerome Cowan, John Ridgely
Rôle Sandra Marshall
Note65% 3.2940953.2940953.2940953.2940953.294095
A la mort de James Caldwell, une inconnue réclame une part de l'héritage, prétendant avoir été l'épouse secrète du défunt.
La Seconde Madame Carroll, 1h39
Réalisé par Peter Godfrey, Peter Godfrey
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Thriller, Noir, Policier
Thèmes Peinture, Théâtre, Tueur en série, Adaptation d'une pièce de théâtre
Acteurs Humphrey Bogart, Barbara Stanwyck, Alexis Smith, Nigel Bruce, Isobel Elsom, Ann Carter
Rôle Sally Morton Carroll
Note67% 3.3968753.3968753.3968753.3968753.396875
L'action se passe en Grande Bretagne. Geoffrey est un peintre méticuleux, pendant les séances de poses en plein air il fait la cour à Sally son nouveau modèle qui n'est pas indifférente à ses avances. À la suite d'une indiscrétion il est obligé d'avouer à Sally qu'il est marié, mais que sa femme est malade, lourdement handicapée et que ces jours sont comptés. On voit ensuite Geoffrey acheter du poison dans une pharmacie, le produit étant classé dangereux, il est obligé de signer un registre. Le poison sera ensuite versé dans un verre de lait destiné à sa femme après qu'il eut éloigné Béatrice, sa fille d'une dizaine d'années de la maison.
Amazone moderne, 1h25
Réalisé par Irving Pichel, Oscar Rudolph
Origine Etats-Unis
Genres Comédie, Comédie romantique, Romance
Thèmes Mise en scène d'un animal, Sport, Les chevaux, Equitation
Acteurs Barbara Stanwyck, Robert Cummings, Diana Lynn, Robert Benchley, Natalie Wood, Peggy Wood
Rôle Sally Warren
Note60% 3.0007053.0007053.0007053.0007053.000705
Sally Warren runs a horse farm, but husband Jeff has a dislike and fear of horses. He is a Civil War historian and lecturer, which bores Sally but is very popular with local ladies who call themselves the Mason-Dixon Dames.
Le Droit d'aimer, 1h34
Réalisé par Curtis Bernhardt
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Guerre, Romance
Thèmes Noël
Acteurs Barbara Stanwyck, George Brent, Eve Arden, Lucile Watson, Warner Anderson, Scotty Beckett
Rôle Jessica Drummond
Note68% 3.4468953.4468953.4468953.4468953.446895
200px When her beloved husband dies after a long illness, Jessica Drummond (Barbara Stanwyck) is comforted by the executor of her husband's estate, lawyer Frank Everett (Warner Anderson), who's been a family friend for years and, later, shows an interest in dating "Jess". Her mother (Lucile Watson) has worn black for decades, since her husband passed, and would love for her daughter to follow her example. Jess has two young boys: Kim (Scotty Beckett), who is fourteen, and Keith (Bobby Cooper), who's twelve. Both go off to school leaving their newly widowed mother at home alone to deal with her loneliness. She tries to reconnect with the "old gang" that she and her husband socialized with while he was alive, but finds they remind her too much of him. She's even accosted by one of them, George Van Orman (Jerome Cowan), when he brings her home one night. Fortunately, she has a real friend in Ginna Abbott (Eve Arden), whom she runs to, and stays with, the night she was accosted. Ginna and her husband Cary (John Ridgely) invite Jess to spend a week's vacation at Lake Tahoe with them.
L'Emprise du crime, 1h56
Réalisé par Lewis Milestone, Byron Haskin
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Thriller, Noir, Romance
Acteurs Barbara Stanwyck, Van Heflin, Lizabeth Scott, Kirk Douglas, Roman Bohnen, Judith Anderson
Rôle Martha Ivers
Note73% 3.6968053.6968053.6968053.6968053.696805
À Iverstone, une nuit de 1928, la jeune Martha Ivers fugue avec son ami Sam Masterson pour échapper à la tyrannie de sa riche tante, Mrs Ivers. La police les retrouve et ramène Martha chez sa tante, qui recevait la visite du cupide précepteur de la jeune fille, Mr O'Neil et du fils de celui-ci, Walter, un garçon peureux du même âge que Martha.
Joyeux Noël dans le Connecticut, 1h42
Réalisé par Peter Godfrey, Peter Godfrey
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Comédie, Comédie romantique, Romance
Thèmes Film sur un écrivain, Noël
Acteurs Barbara Stanwyck, Glenn Ford, Dennis Morgan, Sydney Greenstreet, George Macready, Reginald Gardiner
Rôle Elizabeth Lane
Note72% 3.6473353.6473353.6473353.6473353.647335
Elizabeth Lane est une des plus célèbres journalistes gastronomiques du pays. Dans ses articles, elle se décrit comme une femme au foyer et une cuisinière hors pair. Mais ce ne sont que des mensonges. Dans la réalité, c'est une célibataire new yorkaise qui ne sait même pas faire cuire un oeuf ! Les recettes lui viennent de son oncle Félix qui l'adore. L'éditeur du magazine pour lequel elle travaille décide qu'un héroique soldat de la marine viendra passer Noël dans sa ferme. Elizabeth sait très bien qu'elle pourra dire adieu à sa carrière si on découvre le pot aux roses... Elizabeth n'a en effet aucun talent de cuisinière, ni de ferme dans le Connecticut, ni d'adorable mari, encore moins de bébé. Mais aidée de son oncle bien aimé et de son fiancé qui l'est nettement moins, Elizabeth mettra tout en oeuvre pour que la supercherie fonctionne au mieux ... du moins jusqu'à ce qu'elle tombe sous le charme du valeureux soldat en question.
Assurance sur la mort, 1h43
Réalisé par Billy Wilder
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Thriller, Noir, Policier, Romance
Thèmes Sexualité, La peine de mort
Acteurs Fred MacMurray, Barbara Stanwyck, Edward G. Robinson, Richard Gaines, Gig Young, Porter Hall
Rôle Phyllis Dietrichson
Note82% 4.1489654.1489654.1489654.1489654.148965
Walter Neff, employé d’une compagnie d’assurances, tombe amoureux de la femme d'un de ses clients, Phyllis Dietrichson, qui réussit à le convaincre d’échafauder avec elle un plan pour supprimer son mari encombrant et violent et ainsi partager l’assurance-vie de ce dernier, qui sera doublée en cas de mort accidentelle.