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Barbara Stanwyck est une Actrice et Scénariste Américaine née le 16 juillet 1907 à New York (Etats-Unis)

Barbara Stanwyck

Barbara Stanwyck
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Nom de naissance Ruby Catherine Stevens
Nationalité Etats-Unis
Naissance 16 juillet 1907 à New York (Etats-Unis)
Mort 20 janvier 1990 (à 82 ans) à Santa Monica (Etats-Unis)

Barbara Stanwyck (née Ruby Catherine Stevens) est une actrice américaine, née le 16 juillet 1907 à New York et morte le 20 janvier 1990 à Santa Monica en Californie.

D’une enfance difficile, Barbara Stanwyck a tiré une force et une volonté hors du commun.
Elle commence au cinéma dès la fin du muet et est propulsée par le metteur en scène Frank Capra qui lui donne des rôles importants. Elle atteint des sommets en incarnant les stéréotypes de l’héroïne du film noir. Elle excelle dans les genres cinématographiques les plus variés : le mélodrame, le western, le film policier, le film noir, la comédie, le film social.
Nominée quatre fois pour un Oscar, elle n'en reçut aucun. Elle recevra en 1982, un Oscar d'honneur pour l'ensemble de sa carrière.

Biographie

Une volonté de fer

Ruby Stevens naît en 1907 à New York, dans le quartier de Brooklyn. Issue d’un milieu pauvre, elle est d'ascendance écossaise et irlandaise. Elle n’a que quatre ans lorsque sa mère meurt accidentellement, poussée par un ivrogne à la sortie d’un tramway. Deux semaines après les funérailles, son père partira travailler à la construction du canal de Panama et ne donnera plus signe de vie. Ruby, cadette de cinq enfants, est maintenant élevée par sa sœur aînée et par des familles d’accueil. Elle commence dès l’adolescence à travailler, notamment comme emballeuse puis comme standardiste. D’un caractère tenace et surtout dotée d'une volonté de réussir, elle tente sa chance dans le milieu du spectacle. Elle chante et danse dès l’âge de quinze ans dans des cabarets et des music-halls, avant d’obtenir un engagement comme chorus girl dans les Ziegfeld Follies en 1923.

Puis elle apparaît sur les scènes de Broadway dans des premiers rôles, notamment à l'Hudson Theatre dans The Noose en 1926 et dans Burlesque en 1927 où elle obtient un gros succès et de bonnes critiques.
Willard Mack, imprésario à l’origine de ses débuts à Broadway dans The Noose, changea également son nom en Barbara Stanwyck, argumentant que celui de Ruby Stevens faisait vraiment « trop strip-teaseuse ».

Dans cette période, son ami Oscar Levant, auteur-compositeur, rencontré lorsqu’elle était chorus girl, lui présente Frank Fay acteur célèbre de New York spécialisé dans le vaudeville. La jeune actrice est séduite et se marie avec lui le 26 août 1928. Elle avouera plus tard qu’il était comme le père qu’elle n’avait jamais eu. Barbara ne pouvant pas avoir d’enfant, le couple adopte le 5 décembre 1932, Dion Anthony, né en février 1932.

Parallèlement à sa carrière théâtrale, elle se lance au cinéma dans un film muet, Broadway nights (1927), grâce à l'appui de son mari. Elle sera également remarquée grâce à ses succès théâtraux par le producteur Joseph M. Schenck qui l’engage pour Le Signe sur la porte dont le tournage a lieu à New York. Mais ces premiers films sont des échecs.

Frank Fay ayant obtenu un rôle pour The Show of Shows, le couple se rend à Hollywood. Là-bas, Fay présente et vante les mérites de sa femme à Harry Cohn, directeur de la Columbia, ce dernier propose alors à l’actrice de faire un film de série B, Mexicali Rose. Dès lors, Barbara Stanwyck ne cessera plus de tourner.


Une gloire immédiate

Mais c’est la rencontre avec Frank Capra qui va lancer sa carrière. Le réalisateur impose, contre l’avis des studios Columbia, Barbara Stanwyck en 1930 dans Femmes de luxe (Ladies of Leisure).

C’est en visionnant un bout d’essai que l'actrice a fait pour la Warner que Capra l’engage.
«… Au bout de trente secondes seulement, j’avais le cœur serré comme dans un étau. Elle suppliait le gouverneur de gracier son mari emprisonné. Jamais de ma vie je n’avais vu ou entendu une telle sincérité dans l’expression des sentiments humains. J’avais les larmes aux yeux lorsque la lumière revint. J’étais comme foudroyé. »

Capra est conquis par la personnalité de l’actrice, il l’aidera à adoucir son image un peu trop abrupte et va lui ouvrir de nouveaux horizons à Hollywood.
Le réalisateur lui fait signer un contrat non exclusif avec la Columbia, ce qui permettra à l’actrice de tourner également pour les studios Warner Bros. ainsi qu’avec toutes les principales compagnies hollywoodiennes, de la RKO à la 20th Century Fox.

Capra et Stanwyck enchaîneront avec The Miracle Woman en 1931 dont le sujet est inspiré de la vie d’Aimee Semple McPherson, célèbre prédicatrice qui, en exploitant la crédulité des gens dans leur foi, se bâtit une fortune au milieu des années 1920 aux États-Unis.
Mais c’est le troisième film avec Capra, Amour défendu (Forbidden) (1932), qui la révèle au grand public.
Le réalisateur tournera encore deux films avec elle : La Grande Muraille (The Bitter Tea of General Yen) (Jean-Pierre Coursodon et Bertrand Tavernier écriront à propos de Capra : « L’une des réussites les plus personnelles de cette période nous semble être The Bitter Tea of General Yen, dont l’atmosphère à la Sternberg est contrebalancée par une direction fluide, nuancée, dans laquelle Barbara Stanwyck se révèle prodigieuse et d’une sensibilité très moderne… »), et huit ans plus tard, L'Homme de la rue (Meet John Doe) (1941) avec Gary Cooper.

Projetée au firmament des stars, elle est classée parmi les plus grandes du moment : Greta Garbo, Marlene Dietrich, Katharine Hepburn, Joan Crawford et Bette Davis.



Elle incarne les femmes combatives et indépendantes dans l’Amérique en crise du début des années 1930 à l’ère du Pré-Code, dans des films aussi divers que Illicit (1931), Toujours dans mon cœur (Ever In My Heart) (1933) et Franc Jeu (Gambling Lady) (1934), tous trois signés Archie Mayo, Ladies They Talk About (1933) de Howard Bretherton, Liliane (Baby Face) (1933) de Alfred E. Green, Mariage secret (The Secret Bride) (1935) de William Dieterle ou La Dame en rouge (The Woman in Red) (1935) de Robert Florey.

Elle fait une composition remarquée spécialement dans Liliane (1933), d'après une histoire du producteur Darryl F. Zanuck, où elle use de ses charmes pour se retrouver au sommet de l’échelle sociale sans se soucier de briser des carrières ou de provoquer des suicides. Le scénario, par trop sulfureux, eut des problèmes avec la censure. Jack Warner, directeur de la Warner Bros., effectua quelques édulcorations et imposa une fin plus conforme à la morale de l’époque.

William Wellman lui offrira également de beaux rôles dès le début des années 1930 dans L'Ange blanc (Night Nurse) (1931), Mon grand (So Big) (1932), The Purchase Price (1932), plus tard dans L'Inspiratrice (The Great Man's Lady) (1942) et L'Étrangleur (Lady of burlesque) (1943).

Outre Capra, Wellman et Dieterle, elle tourne avec de grands réalisateurs : John Ford pour Révolte à Dublin (1936), Cecil B. DeMille pour Pacific Express (1939), un hymne dédié aux pionniers du chemin de fer des États-Unis dont le souffle épique sera rarement égalé, Rouben Mamoulian dans L'Esclave aux mains d'or (Golden Boy) (1939) : elle y rencontre un tout jeune débutant encore hésitant, William Holden, qu’elle défendra en menaçant de quitter le tournage à l’instant où on menace de le renvoyer. Holden déclara bien plus tard qu’il lui devait sa carrière.



Elle est encore remarquable dans le bouleversant mélodrame de King Vidor grâce à qui elle obtient sa première nomination aux Oscars pour son rôle dans Stella Dallas (1937), où elle incarne un personnage de femme élevant seule son enfant et qui finira par sacrifier son amour maternel pour le bonheur de sa fille.

Entre-temps ses relations avec son mari se sont dégradées car, contrairement à celle de Barbara, la carrière de Frank Fay est au point mort, il se met à boire et devient violent. Ils finiront par divorcer en 1935 et se déchirer la garde de leur fils adoptif. Certains historiens prétendent que leur relation a inspiré le film de William A. Wellman, Une étoile est née.

Elle rencontre, en 1936, sur le plateau de La Fièvre des tropiques un des jeunes premiers les plus séduisants d' Hollywood, Robert Taylor. Une liaison s’instaure qui se concrétisera trois ans plus tard par un mariage en 1939 organisé par Metro-Goldwyn-Mayer, pratique courante autrefois dans les studios d'Hollywood. Mais, soi-disant lassée des infidélités de son mari, l’actrice finira par divorcer le 21 février 1951.


The Queen

Au début des années 1940, elle est une des rares stars indépendantes libres d’engagement à long terme avec les studios, elle gère seule sa carrière. Viennent les années de gloire : en 1944, elle est classée par le ministère du Trésor américain la femme la mieux payée aux États-Unis (plus de 400 000 dollars).

Refusant de se cantonner à un certain type de rôles, Barbara Stanwyck va composer des personnages des plus éclectiques dans tous les genres cinématographiques. Et comme l’écrit Noël Simsolo : « Parfaite dans la comédie, le mélodrame ou la tragédie, chaque film lui est un moyen de renouveler son image et de prouver l’étendue de son jeu. »

Elle aborde la décennie avec un genre cinématographique où elle va exceller : la comédie.
Elle démontre un réel talent comique dans des chefs-d’œuvre éblouissants tels Un cœur pris au piège (The Lady Eve) par un maître du genre, Preston Sturges, où elle incarne une aventurière sans scrupules qui séduit un milliardaire timide incarné par Henry Fonda, et dans Tu m'appartiens où elle retrouve Henry Fonda ; elle joue une voleuse impénitente aux côtés de Fred MacMurray dans L'Aventure d'une nuit (Remember the Night) ; Howard Hawks lui fait jouer une pétulante chanteuse de cabaret qui bouleverse la vie de professeurs dont fait partie Gary Cooper dans le brillant Boule de feu. Le réalisateur prit un immense plaisir à travailler avec Barbara Stanwyck et la rangea toujours parmi les meilleures actrices qu’il avait dirigées. Son abattage et sa fantaisie hors pair seront récompensés pour ce film par une nomination aux oscars. Mention spéciale pour L'Homme de la rue (Meet John Doe) de son réalisateur fétiche Frank Capra, où elle côtoie le drame et la comédie de façon sensible et qui sera annonciateur de ses futurs rôles les plus tourmentés.



La suite de sa filmographie sera enrichie de mélodrames, genre de films où elle a déjà fait ses preuves. Elle est, avec Bette Davis et Joan Crawford, une des plus grandes vedettes du genre avec des films comme Le Droit d'aimer (My Reputation) (1946) de Curtis Bernhardt, L'Orchidée blanche (The Other Love) (1947) d'André de Toth, Ville haute, ville basse (East Side West Side) (1949) de Mervyn LeRoy (avec James Mason et Ava Gardner), Chaînes du destin (No Man of Her Own) (1950) de Mitchell Leisen, Le démon s'éveille la nuit (Clash by Night) (1952) de Fritz Lang, Le Souffle sauvage (Blowing Wild) (1953) de Hugo Fregonese, La Tour des ambitieux (Executive Suite) (1954) de Robert Wise, All I Desire (1953) et Demain est un autre jour (There's Always Tomorrow) (1956), tous deux de Douglas Sirk, La Rue chaude (Walk on The Wild Side) (1962) d’Edward Dmytryk…

Aucune actrice n’incarnera mieux qu’elle les femmes fortes et « viriles » dans un autre genre, celui-là essentiellement masculin, le Western. Elle en tournera de nombreux, tout particulièrement dans les années 1950, parmi lesquels La Gloire du cirque où elle interprète Annie Oakley, partenaire de Buffalo Bill, dans le film de George Stevens en 1935, Pacific Express (Union Pacific) (1939) de Cecil B. DeMille, Californie terre promise (California) (1946) de John Farrow, Les Furies (The Furies) (1950) d’Anthony Mann où elle affronte son père (Walter Huston) propriétaire terrien, La Reine de la prairie (Cattle Queen of Montana) (1954) d’Allan Dwan, Le Souffle de la violence (The Violent Men) (1955) de Rudolph Maté, La Horde sauvage (The Maverick Queen) (1956) de Joseph Kane et Quarante tueurs (Forty Guns) (1957) de Samuel Fuller. Dans ce film, elle renverse à nouveau les lois du genre en incarnant une cheffe de bande despote, fouet à la main, habillée tout en noir en habit d’homme. Elle fait dès le début du film une apparition fulgurante, à la tête de quarante cavaliers. À cinquante ans, elle effectue elle-même certaines cascades plusieurs fois dont celle où elle est désarçonnée par son cheval et traînée sur le sol sur plusieurs mètres, faisant preuve d'une abnégation que Hollywood n'avait pas connue depuis Lillian Gish.

Mais c’est dans le film noir qu’elle donnera le meilleur d’elle-même.



En 1944, Billy Wilder lui confie un rôle très noir dans Assurance sur la mort ((Double Indemnity)) qui sera déterminant pour sa carrière.
D’abord réticente à cause de la noirceur du personnage, Billy Wilder la convainc d’accepter en lui lançant un défi : « Vous êtes une souris ou une actrice ? », « J’espère être une actrice » lui répondit-elle, « Alors, acceptez le rôle. » Elle l’accepta et lui fut très reconnaissante.

Transformée pour l'occasion en une vamp blonde, séduisante et perverse, elle incarne là un de ses meilleurs personnages.
Chef-d’œuvre du film noir, le film est sublimé par l’utilisation de la lumière, un scénario et une réalisation sans concession et des interprétations sans failles dont celle de Barbara Stanwyck, qui l'impose dans la mythologie du genre parmi Lana Turner, Gene Tierney, Hedy Lamarr et Joan Crawford notamment. Le film sera encensé par Alfred Hitchcock. Sept nominations aux oscars couronneront le film (dont celle des meilleurs film, scénario, réalisation et actrice) mais il n’en remportera aucun.

Elle incarnera encore la « bad girl » dans plusieurs films marquants comme La Femme à l'écharpe pailletée ((The File on Thelma Jordon)), un beau rôle de garce où, dans une scène célèbre, elle brûle le visage de son amant avec un allume-cigare, L'Emprise du crime (The Strange Love of Martha Ivers) avec un débutant Kirk Douglas, Le Souffle sauvage, Meurtrière ambition ; et les victimes dans La Seconde Madame Carroll face à Humphrey Bogart, Raccrochez, c'est une erreur avec un autre débutant : Burt Lancaster, La Plage déserte, Témoin de ce meurtre…

Stanwyck s'impose même dans le genre particulier du « film de Noël » avec L'Aventure d'une nuit de Mitchell Leisen (1940) et Christmas in Connecticut de Peter Godfrey (1945).

En 1948, pour la quatrième et dernière fois, elle échoue aux Oscars malgré la qualité du sombre Raccrochez, c'est une erreur (Sorry, Wrong Number) d’Anatole Litvak et de son interprétation d'une femme malade qui surprend une conversation téléphonique entre deux tueurs préparant son propre assassinat (les votants des Oscars lui préférant Jane Wyman dans son personnage de sourde-muette du Johnny Belinda de Jean Negulesco).


Vie privée
Elle a, pour amie l'actrice Caryl Lincoln qui épouse, en 1934, son frère Byron.
Côté vie personnelle, Barbara Stanwyck n'a jamais véritablement correspondu au moule conçu par Hollywood. Nombre d'historiens du cinéma ont analysé son mariage avec Frank Fay puis avec Robert Taylor comme des lavender marriages, soit des relations de convenance, fictives, montées de toutes pièces pour cacher la véritable orientation sexuelle de Stanwyck (et de Taylor). Car si Stanwyck n'a jamais ouvertement parlé de son identité sexuelle, son biographe Axel Madsen la décrit « avec Greta Garbo, comme la plus célèbre lesbienne au placard d'Hollywood ». Au-delà d'une aventure avec Tallulah Bankhead, sa compagne la plus importante a été l'actrice devenue son agent artistique, Helen Ferguson. Probablement bisexuelle, Stanwyck a aussi eu des aventures avec Humphrey Bogart, Gary Cooper ou William Holden en plus de ses liaisons avec Frank Capra et Robert Wagner. Femme indépendante privilégiant les rôles de femmes fortes, Stanwyck a représenté un modèle pour des générations de lesbiennes, des années 1960 aux années 1980.


La star du petit écran


Sa carrière cinématographique déclinant au milieu des années 1950, elle apparaît au cinéma pour les dernières fois dans L'Homme à tout faire au côté d'Elvis Presley et Celui qui n'existait pas (William Castle, 1964) au côté de Robert Taylor, son ex-mari.

Elle se consacre par la suite au petit écran, participant à la série The Barbara Stanwyck Show (1960-61) pour laquelle elle remporte le premier de ses Emmy Awards en 1961. Elle obtient son deuxième Emmy Award en 1966 pour son rôle de Victoria Barkley dans La Grande Vallée (1965-69) qui fait d'elle l'une des actrices les plus populaires à la télévision. Âgée de soixante ans, elle effectue sans doublure toutes les cascades dans ce western où elle incarne une veuve énergique et chef de famille à la tête d’un ranch. Troisième Emmy Award pour le rôle de Mary Carson, riche propriétaire du domaine de Drogheda, dans Les oiseaux se cachent pour mourir (1983) où son personnage de matriarche tyrannique tente de vamper Richard Chamberlain. Elle fera sa dernière prestation dans la première saison de Dynastie 2 : Les Colby (1985-86), série dérivée de Dynastie, où elle interprète la sœur de Charlton Heston.

C'est déjà très malade qu'elle se rend sur scène pour recevoir un Oscar d'honneur. Elle aurait préféré décrocher le rôle féminin dans La Maison du lac, face à Henry Fonda, qui échut à Katharine Hepburn. Elle est décédée à Santa Monica, en Californie le 21 janvier 1990, dans sa 83e année.

Ses meilleurs films

Titanic (1953)
(Actrice)
L'Homme de la rue (1941)
(Actrice)
L'Indomptée (1948)
(Actrice)

Le plus souvent avec

Edith Head
Edith Head
(24 films)
Bess Flowers
Bess Flowers
(15 films)
Hans Dreier
Hans Dreier
(14 films)
Frank Capra
Frank Capra
(5 films)
Source : Wikidata

Filmographie de Barbara Stanwyck (93 films)

Afficher la filmographie sous forme de liste

Actrice

Cantine hollywoodienne, 2h4
Réalisé par Delmer Daves
Origine Etats-Unis
Genres Comédie, Comédie romantique, Musical, Romance
Thèmes La musique, Musique
Acteurs Joan Leslie, Robert Hutton, Jack Benny, Joe E. Brown, Dane Clark, Eddie Cantor
Rôle Elle-même
Note69% 3.497993.497993.497993.497993.49799
Deux soldats en congé passent trois nuits dans un club offrant gratuitement de la nourriture, de la danse et des divertissements aux militaires en route vers l'étranger. Les fondateurs du club, Bette Davis et John Garfield, donnent des conférences sur l'histoire du lieu.Ld
L'Étrangleur, 1h31
Réalisé par William A. Wellman
Origine Etats-Unis
Genres Thriller, Comédie, Comédie policière, Musical, Policier, Romance
Acteurs Barbara Stanwyck, Michael O'Shea, Iris Adrian, Charles Dingle, J. Edward Bromberg, Frank Conroy
Rôle Dixie Daisy
Note62% 3.144393.144393.144393.144393.14439
Dixie Daisy est l’une des vedettes d’un spectacle burlesque dans un théâtre de Broadway transformé en music-hall. Lolita, une des actrices de la troupe, est retrouvée assassinée. Dixie est très vite soupçonnée à cause de la rivalité qui régnait entre les deux femmes. Mais d’autres crimes inexpliqués sont bientôt commis et Dixie veut mettre en place un piège pour démasquer l’assassin.
Obsessions
Obsessions (1943)
, 1h34
Réalisé par Julien Duvivier
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Thriller, Comédie dramatique, Fantasy, Horreur, Romance
Acteurs Edward G. Robinson, Charles Boyer, Barbara Stanwyck, Betty Field, Robert Cummings, Thomas Mitchell
Rôle Joan Stanley
Note68% 3.4435253.4435253.4435253.4435253.443525
Le cadre est situé à la Nouvelle-Orléans, en Louisiane. Henrietta, pure et amère, aime secrètement Michael, un étudiant en droit. La nuit de mardi gras, un mystérieux inconnu lui offre un masque de beauté blanc qu’elle doit rendre à minuit. Lors de la soirée, Michael tombe amoureux d’Henrietta, mais n’a pas encore vu son visage sous le masque. Henrietta encourage Michael à mener une vie meilleure bien que cela puisse vouloir dire le perdre pour toujours. Henrietta enlève le masque à minuit, découvrant qu'elle est maintenant belle et que son ancienne attitude égoïste était vraiment la cause de sa laideur.
Boule de feu, 1h51
Réalisé par Howard Hawks, Arthur Rosson, John Sherwood
Origine Etats-Unis
Genres Comédie, Comédie romantique, Policier, Romance
Acteurs Gary Cooper, Barbara Stanwyck, Oskar Homolka, Henry Travers, S.Z. Sakall, Richard Haydn
Rôle Sugarpuss O'Shea
Note76% 3.8467853.8467853.8467853.8467853.846785
Huit professeurs un peu dans la lune rédigent une encyclopédie pour le compte de la généreuse fondation Totten... mais sont bloqués à la lettre "S". Ils sont menacés par Miss Totten qui veut leur couper les vivres s’ils ne bâclent pas dare-dare leur coûteux labeur. Ils parviennent à obtenir un sursis grâce à l'un d'entre eux, le Professeur Bertram Potts. Mais un éboueur vient remettre en cause par son arrivée fortuite l'article de ce dernier, consacré à l’argot. « Je croyais décrire une langue… et je l’ai empaillée. » Il prend la décision d’explorer méthodiquement les moindres recoins de la ville afin de récolter des mots et s'échine à convoquer pour une conférence rigoureusement scientifique quelques hominidés afin de leur tirer les vers du nez. Un des spécimens semble l'intéresser particulièrement pour la richesse de son vocabulaire : Sugarpuss O'Shea. Mais Pottsy ignore qu'elle fricote avec de la mauvaise engeance.
Les Folles Héritières, 1h50
Réalisé par Irving Rapper
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Romance
Acteurs Barbara Stanwyck, George Brent, Geraldine Fitzgerald, Donald Crisp, Gig Young, Nancy Coleman
Rôle Fiona Gaylord
Note65% 3.2951853.2951853.2951853.2951853.295185
Fiona, Evelyn et Susie sont sœurs. Leurs parents morts, elles doivent gérer l’héritage familial par elles-mêmes. Mais un conflit de succession les oppose avec Charles Barclay. Les 3 sœurs, et plus particulièrement Fiona, vont tout faire pour conserver leur héritage et la maison de leur enfance.
L'Inspiratrice, 1h30
Réalisé par William A. Wellman
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Romance, Western
Acteurs Barbara Stanwyck, Joel McCrea, Brian Donlevy, K. T. Stevens, Thurston Hall, Lloyd Corrigan
Rôle Hannah Sempler
Note65% 3.294293.294293.294293.294293.29429
A statue is being dedicated to the late founder of Hoyt City, and reporters from around the country have gathered, speculating that "the old lady's going to talk." When the anticipated "old lady" does not appear at the event, they rush to her home. She is centenarian Hannah Sempler (Barbara Stanwyck), who lives in an old mansion among the skyscrapers of Hoyt City. As she confronts the press who have barged in, a photographer says, "Hold it, Mrs. Hoyt!" She replies that her name is Hanna Sempler, and refuses to answer their questions as to whether she and Hoyt had been married, which as another reporter says, would make him a bigamist. The intruders leave, having learned nothing to prove or disprove the many rumors, but Hannah is persuaded to tell her story to a young female biographer who lags behind. She reminisces about her experiences with Ethan Hoyt (Joel McCrea) in the American West.
L'Homme de la rue, 2h2
Réalisé par Frank Capra
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Comédie, Comédie dramatique, Comédie romantique, Romance
Thèmes Film sur un écrivain, Journalisme
Acteurs Gary Cooper, Barbara Stanwyck, Edward Arnold, Walter Brennan, Spring Byington, James Gleason
Rôle Ann Mitchell
Note75% 3.7967653.7967653.7967653.7967653.796765
À la suite du rachat de son journal par un riche homme d'affaires (DB Norton joué par Edward Arnold), Ann Mitchell (Barbara Stanwyck) voit sa rubrique supprimée car le rédacteur en chef, Henry Connell (James Gleason) et le nouveau propriétaire la considèrent comme trop romantique et pas assez sensationnelle. Pour se venger de son licenciement, Ann Mitchell écrit un ultime article dans lequel elle prétend avoir reçu une lettre d'un certain John Doe qui indique vouloir se suicider le soir de Noël depuis le toit de l'Hôtel de Ville car il est au chômage depuis quatre ans.
Tu m'appartiens, 1h34
Réalisé par Wesley Ruggles
Origine Etats-Unis
Genres Comédie, Comédie romantique, Romance
Acteurs Barbara Stanwyck, Henry Fonda, Ruth Donnelly, Gordon Jones, Edgar Buchanan, Melville Cooper
Rôle Dr Helen Hunt
Note59% 2.9511752.9511752.9511752.9511752.951175
Un playboy millionnaire rencontre lors de vacances à la neige une séduisante doctoresse, dont il ne tarde pas à s'éprendre.
Un Cœur pris au piège, 1h34
Réalisé par Preston Sturges
Origine Etats-Unis
Genres Comédie, Comédie romantique, Romance
Thèmes Mise en scène d'un animal, Mariage
Acteurs Barbara Stanwyck, Henry Fonda, Charles Coburn, Eugene Pallette, William Demarest, Eric Blore
Rôle Jean Harrington / Lady Eve Sidwich
Note76% 3.8459153.8459153.8459153.8459153.845915
Sur le bateau qui le ramène à New York après un voyage en Amazonie, un riche et naïf Américain, Charles Pike, fils du roi de la bière, constitue une proie toute trouvée pour Jean Harrington, séduisante aventurière partie à la pêche au mari. La rencontre se mue vite en idylle mais, à la suite d’un malentendu, le couple se sépare en très mauvais termes. Jean décide de se déguiser et de se faire passer pour une ressortissante britannique. Ainsi travestie, elle s’emploie à tourmenter Charles.
L'Aventure d'une nuit, 1h34
Réalisé par Mitchell Leisen, Hal Walker
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Comédie, Comédie dramatique, Comédie romantique, Romance
Thèmes Noël
Acteurs Barbara Stanwyck, Fred MacMurray, Beulah Bondi, Elizabeth Patterson, Willard Robertson, Sterling Holloway
Rôle Lee Leander
Note75% 3.796833.796833.796833.796833.79683
Juste avant Noël, Lee Leander, voleuse à la tire, est arrêtée pour avoir tenté de voler un bracelet dans la vitrine d’un magasin de bijoux. La jeune femme se retrouve au tribunal où il est décidé de reporter son jugement à la fin des fêtes de fin d’année. Navré de la voir passer Noël en prison, le procureur John Sargent organise sa mise en liberté sous caution et décide de l’emmener dans sa famille à la campagne passer les fêtes. Après quelques péripéties de voyage, Lee découvre l’accueillante famille du procureur et s’attache à ce petit monde plein de bons sentiments. John va finir par tomber amoureux de la belle délinquante ce qui va lui poser un sérieux dilemme.
Pacific Express, 2h15
Réalisé par Cecil B. DeMille, Arthur Rosson, Charles Barton, James Patrick Hogan
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Action, Western
Thèmes Transport, Le train
Acteurs Barbara Stanwyck, Joel McCrea, Akim Tamiroff, Robert Preston, Lynne Overman, Brian Donlevy
Rôle Mollie Monahan
Note70% 3.541983.541983.541983.541983.54198
Peu avant 1870, en pleine guerre de Sécession, deux compagnies ferroviaires rivales tentent, par tous les moyens, la construction de la ligne de chemin de fer qui traversera les États-Unis d'Est en Ouest, reliant l'océan Atlantique à l'océan Pacifique. La première, l’Union Pacific part de l’Atlantique. Le train de cette compagnie est conduit par Monahan aidé par sa fille Mollie qui s’occupe de l’intendance. Jeff Butler, agent du gouvernement, assure l’ordre et la protection du convoi. Le deuxième projet, le Central Pacific, est soutenu par un politicien véreux Barrows qui utilise tous les procédés pour retarder l’Union Pacific afin d’effectuer la plus grande portion de ligne de chemin de fer. Un sabotage sur l’Union Pacific met en cause Dick Allen un ami de longue date de Jeff Butler. Leur amitié va être mise à rude épreuve leurs intérêts étant contraires, ils sont de plus tous deux amoureux de Mollie. Après bien des péripéties (sabotages, vol de la paye des ouvriers, attaque d’indiens, bagarres…), Dick meurt tué par Campeau, le principal artisan des sabotages, au cours d’un ultime guet-apens. Le dernier tronçon de voie enfin posé, Jeff et Mollie vont pouvoir enfin s’avouer leur amour.
Adieu pour toujours, 1h15
Réalisé par Sidney Lanfield
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Comédie, Romance
Thèmes Films pour enfants
Acteurs Barbara Stanwyck, Herbert Marshall, Ian Hunter, Cesar Romero, Mary Forbes, Lynn Bari
Rôle Margot Weston
Note66% 3.3434053.3434053.3434053.3434053.343405
L'héroïne se trouve amenée par les circonstances (horribles : son Fiancé meurt dans un accident d'auto le jour de son mariage ; et un bel inconnu la dissuade de se suicider) à confier l'enfant qu'elle va mettre au monde à un jeune couple (que connaît ce bel inconnu) qui l'adoptera comme son enfant.
Miss Manton est folle, 1h20
Réalisé par Leigh Jason
Origine Etats-Unis
Genres Comédie, Comédie policière, Comédie romantique, Policier, Romance
Acteurs Barbara Stanwyck, Henry Fonda, Sam Levene, Stanley Ridges, Hattie McDaniel, Whitney Bourne
Rôle Melsa Manton
Note66% 3.346983.346983.346983.346983.34698
Melsa Manton, jeune fille riche et extravagante, découvre un cadavre dans son appartement. Elle prévient la police mais à son arrivée le cadavre a disparu. L’inspecteur de police Brent met en doute le sérieux de la jeune fille qui sera la proie des quolibets de la presse et particulièrement du journaliste Peter Ames qui la qualifie même de folle. Piquée au vif, Melsa décide de retrouver elle-même, avec l’aide d’un groupe d’amies, l’assassin et le cadavre. Son enquête la mènera avec ses amies, suivies de Peter Ames qui ne les lâche pas d’un pouce, dans une maison isolée où se trouve l’assassin prêt à tuer de nouveau…
La Loi du milieu, 1h18
Réalisé par Alfred Santell
Origine Etats-Unis
Genres Drame, Policier, Romance
Thèmes Maladie
Acteurs Barbara Stanwyck, Joel McCrea, Steve Pendleton, Lloyd Nolan, Stanley Ridges, Lee Bowman
Rôle Janet Haley
Note68% 3.4386553.4386553.4386553.4386553.438655
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