La scène d’ouverture présente le cadavre d’un homme assassiné qui flotte sur le ventre, dans une piscine. Un narrateur explique que l’homme était un scénariste raté. Commence alors un flashback, tandis que le narrateur, un certain Joe Gillis (William Holden), criblé de dettes, décrit sa tentative de fuir deux huissiers venus le trouver pour saisir son automobile. Au cours d’une course-poursuite sur Sunset Boulevard, Gillis crève un pneu et parvient presque par hasard, comme un tour de force du destin, à les semer en parquant son véhicule dans une allée privée. Il le gare dans le garage d’une villa qui semble abandonnée, mais une voix de femme l’appelle et un domestique allemand, Max (Erich von Stroheim), le fait entrer. La propriétaire, une vieille femme, le prend pour un croque-mort venu livrer un cercueil pour son chimpanzé mort. Gillis reconnaît Norma Desmond (Gloria Swanson), une vieille gloire du cinéma muet tombée dans l’oubli. Apprenant qu’il est scénariste, elle lui propose de l’employer pour mettre en forme un scénario sur Salomé, qu’elle a l’intention d’incarner pour son retour. Gillis saisit cette chance de gagner de l’argent.
Un cinéaste dépressif fuit le monde du cinéma et se réfugie dans un univers peuplé de souvenirs et de fantasmes. Surgissent des images de son passé, son enfance et l'école religieuse de sa jeunesse, la Saraghina qui dansait sur la plage pour les écoliers, ses rêves fous de « harem », ses parents décédés. Dans la station thermale où il s'est isolé, son épouse Luisa, sa maîtresse Carla, ses amis, ses acteurs, ses collaborateurs et son producteur viennent lui tourner autour, pour qu'enfin soit réalisé le film sur lequel il est censé travailler.
À Hollywood, le scénariste Dixon Steele (caractériel, violent et en panne d'inspiration...) est suspecté d'avoir étranglé une jeune femme qu'il avait invitée chez lui. Sa voisine, la ravissante Laurel Gray, l'aide en confirmant son alibi et tombe amoureuse. Mais le doute s'immisce... Est-il vraiment innocent?
Charlie Kaufman, heureux scénariste de Dans la peau de John Malkovich et fort de ce succès, vient de se voir confier l'adaptation du livre Le Voleur d'orchidées. Le roman est signé de la journaliste Susan Orlean et inspiré de son enquête sur un collectionneur et chasseur d'orchidées rares.
En 1941, Barton Fink est un auteur de pièces de théâtre tourmenté, depuis peu encensé par la critique à New York. Son agent le pousse à tenter sa chance à Hollywood comme scénariste sous contrat pour un studio, Capitol Pictures. Les épreuves s'accumulent : hôtel miteux, manque d'inspiration, un patron exubérant, une idole alcoolique, un voisin encombrant...
Après s'être fait licencier par la société de production où il travaillait, Ben, scénariste alcoolique, décide de partir pour Las Vegas. Il prend une chambre dans un hôtel miteux, à proximité des bars toujours ouverts, afin de finir sa vie dans l'alcool. Il rencontre Sera, une prostituée, qui va l'héberger pour le suivre dans sa déchéance.
En Californie, au début des années 1960, le producteur hollywoodien Walt Disney fait un premier pas dans sa quête, commencée 20 ans auparavant, pour obtenir les droits d'adaptation cinématographique de la série de livres pour enfants Mary Poppins de la romancière Pamela L. Travers. L'auteur accepte de venir en Californie rencontrer le producteur, qui souhaite tenir une promesse faite à ses filles. Alors que le studio, célèbre pour ses productions animées, commence l'adaptation du roman, l'équipe de scénaristes, qui comprend Don DaGradi et les frères Sherman, duo de compositeurs, est confrontée aux exigences de Pamela L. Travers, de plus en plus difficile à contenter.
Le scénariste parisien Paul et son épouse Camille rejoignent le réalisateur Fritz Lang en tournage pour le compte du producteur de cinéma américain Jeremy Prokosch, sur le plateau du film Ulysse (une adaptation de l’Odyssée) en chantier à la villa Malaparte à Capri en Italie.
Deux scénaristes doivent écrire une histoire pour un nouveau film. Leurs inspirations contradictoires vont faire vivre des situations rocambolesques à leurs deux héros, Henriette et Maurice…
Inspiré de faits réels et se déroulant aux États-Unis à l'époque du maccarthysme, l'histoire met en scène Howard Prince, un simple barman sans convictions politiques, qui accepte par amitié pour un scénariste mis sur la liste noire de devenir son « prête-nom ».
À Boulogne-Billancourt en 1943, parmi les épreuves dont un bombardement des usines Renault, la concurrence entre les industries cinématographiques française et allemande (la Continental) pour recruter les talents littéraires pour des scénarios.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Eva Berger a fui les territoires à l'est de l'Allemagne pour l'ouest. Elle travaille maintenant comme figurante au cinéma. Le réalisateur Frank Tornau la remarque et lui fait passer des essais. Eva raconte alors l'histoire de sa vie. Tornau trouve là la matière pour un film. Son auteur Paul écrit un scénario et pense que Mona Arendt sera la vedette du film. Tornau souhaite qu'Eva reprenne son propre rôle. Stefan, l'époux d'Eva, s'oppose à la réalisation de ce film. De plus, il se rend compte de l'histoire d'amour qui naît entre Eva et Tornau. Le tournage s'avère une torture pour Eva qui revit son passé. Au cours de la dernière scène, alors qu'elle s'est séparée de son mari blessé, elle fait une dépression nerveuse. Cependant elle se rapproche de Stefan avec lequel elle se réconcilie.
Frère de Joseph L. Mankiewicz, le scénariste Herman J. Mankiewicz écrit le scénario du film Citizen Kane. Sa relation avec le réalisateur Orson Welles va alors être tumultueuse durant la production du film.
Une équipe de tournage investit un petit village du Vermont en Nouvelle-Angleterre. Les villageois découvrent l'envers d'Hollywood. Mais deux jours avant le début du tournage, tout ne se passe comme prévu.
In 1995 Hollywood, novice screenwriter Robert Sandrich has written an autobiographical script inspired by his lover's death by AIDS-related cerebral tuberculosis. It impresses both studio executive Jeffrey Tishop and his wife Elaine, but for commercial reasons Jeffrey is willing to greenlight the project only if Robert changes his protagonist from Maurice to Maggie and shifts the focus of his plot from gay to straight people. Robert initially refuses to compromise his principles, but when Jeffrey threatens to make the film without his participation, he decides to accept the $1 million paycheck he's been offered and make the requested edits.