La prison de Carandiru, à São Paulo, est la plus grande d'Amérique latine. C'est en ce lieu que le médecin Drauzio Varella décide de mener un programme de prévention contre le sida. C'est alors qu'il se met à découvrir peu à peu la véritable personnalité des prisonniers, en particulier leur humanité et leur soif de vivre. Il parvient à gagner leur respect et leur amitié.
En avril 1910, dans le Nordeste pauvre du Brésil, une chemise tachée de sang se balance au vent. Tonho, fils cadet des Breves, est contraint par son père de venger la mort de son frère aîné, victime d'une lutte ancestrale entre familles pour des questions de terres.
Le film est un pot-pourri lyrique de légendes indiennes du nord de l'Amazonie, évoquant l'arrivée des animaux dans la forêt ou la formation du fleuve Amazone. On y trouve des personnages traditionnels, tels que Cobra Grande, Jaci, Boto, Jabu, Curupira ou Iara. La faune et la flore y sont représentées sous forme de personnages anthropomorphes.
The story concerns a young man, André (Selton Mello), whose ideas are radically different from his father's (Raul Cortez). The father predicates order and restraint, which enhance his own power under the mantle of family love. The son seeks freedom and ecstasy, challengingly signified, in the film, through his incestuous passion for his sister Ana (Simone Spoladore). When the son leaves home on the farm and moves to a seedy boarding house, his older brother Pedro (Leonardo Medeiros), is asked by their mother (Juliana Carneiro da Cunha) to bring him back. His return, however, will completely shatter the family's confining life.
À Milagres, un village du Nordeste brésilien, un groupe de paysans affamés risquent de mettre à sac le magasin d'un notable. Un détachement de soldats est envoyé afin de prévenir d'éventuels troubles. Pour conjurer le mauvais sort, d'autres villageois se livrent, sous la direction d'un prêtre, à des rites superstitieux. Par ailleurs, un soldat, en état d'ébriété, commet un homicide en essayant de ramener de l'ordre dans un groupe de paysans en colère. Gaúcho, un conducteur de camion, s'insurge, pour sa part, contre l'attitude d'un villageois acceptant passivement le décès de sa fille, morte d'inanition. Il incite aussi les paysans à la révolte. Mais, la moindre tentative de sédition sera sévèrement réprimée.
À Milagres, un village du Nordeste brésilien, un groupe de paysans affamés risquent de mettre à sac le magasin d'un notable. Un détachement de soldats est envoyé afin de prévenir d'éventuels troubles. Pour conjurer le mauvais sort, d'autres villageois se livrent, sous la direction d'un prêtre, à des rites superstitieux. Par ailleurs, un soldat, en état d'ébriété, commet un homicide en essayant de ramener de l'ordre dans un groupe de paysans en colère. Gaúcho, un conducteur de camion, s'insurge, pour sa part, contre l'attitude d'un villageois acceptant passivement le décès de sa fille, morte d'inanition. Il incite aussi les paysans à la révolte. Mais, la moindre tentative de sédition sera sévèrement réprimée.
Brésil. Mars 1936, durant le Gouvernement constitutionnel de Getúlio Vargas. Au lendemain du soulèvement militaire des officiers de gauche, et en vertu de la loi 38 de Sécurité nationale, l'intellectuel communiste Graciliano Ramos, directeur de l'enseignement public de l'État d'Alagoas (Nordeste) est arrêté chez lui. Las d'une activité professionnelle dépourvue d'intérêt et de la jalousie quasi obsessionnelle de son épouse, Ramos est surtout préoccupé de sauvegarder le manuscrit de son futur roman. À la caserne de Recife, il partage sa cellule avec un officier, opposant de l'Alliance Nationale Libératrice (ANL). Là, sa femme lui rend visite et les sentiments qu'il nourrit à son égard s'améliorent.