Le sublime lagon de Mayotte, île de l’océan Indien, est au cœur de la vie des Mahorais. Ils le savent et luttent pour son intégrité. De la montagne boisée à la mangrove et à la mer, nous avons croisé hommes, femmes et enfants à l’œuvre, tortues marines et concombres de mer, jusqu’à la chatoyante colonie des coraux au fond de l’eau turquoise. Le lagon de Mayotte est le berceau d’un projet plein d’espoir : préparer dès aujourd’hui un avenir écologiquement, socialement, économiquement durable.
Pour ne pas troubler la « nature » et arriver à observer et filmer l'aigle royal dans le parc national des Écrins, Jean-Michel Bertrand passe cinq ans seul à arpenter la montagne par période de cinq à six jours.
Le film raconte l'histoire de quatre personnes qui se battent pour protéger le Parc national des Virunga, refuge des derniers gorilles des montagnes en République démocratique du Congo. La compagnie Soco International y a commencé la recherche et l'exploitation de gisements de pétrole, et a été mise en cause par le WWF pour non-respect du statut de Patrimoine mondial de la zone, mais a démenti les accusations.
Au Kenya dans une réserve d'animaux, George Adamson tue une lionne dans un acte autodéfense. George Adamson et sa femme Joy recueillent trois lionceaux, que la lionne voulait protéger et qui sont destinés à un zoo. Mais Joy s'attendrit sur Elsa, la petite lionne et décide de l'adopter. Mais les choses se compliquent lorsqu'une fois devenue adulte, Elsa doit être remise en liberté. Incapable de se débrouiller seule, George et Joy décident de lui apprendre à vivre libre...
En décembre 1972 la Cousteau Society entame une expédition de quatre mois sur l'Antarctique. L'expédition compte sur la collaboration du Musée océanographique de Monaco et du Muséum d'histoire naturelle de La Rochelle, ce dernier étant représenté sur place par son directeur, le professeur Raymond Duguy (1927 - 2012).
Au début du XXII siècle, la compagnie Buy-N-Large monopolise l'économie de la Terre par un trust concernant les biens et les services. Il est devenu un gouvernement mondial globalisé. La surconsommation effrénée a tôt fait de transformer le monde en un dépotoir gigantesque. La société commandite un exode massif à bord de vaisseaux spatiaux dans une tentative de préserver l'Humanité. Des milliers de machines robotiques dénommées WALL-E (Waste Allocation Load Lifter-Earthclass) ont été fabriquées par la compagnie. Ces engins ont pour unique tache de « nettoyer » la Terre en compactant la myriade de détritus qui parsèment le sol, durant les cinq années que doit durer l'exode. Mais beaucoup d'entre eux se désactivent inexplicablement et sont hors-services, forçant les humains qui n'ont pas d'autres plans de replis à rester dans l'espace.
Le film traite du travail de l'artiste brésilien Vik Muniz, qui crée ses œuvres grâce à des déchets recyclables issus de Jardim Gramacho , la plus grande décharge du monde pour la ville de Rio de Janeiro au Brésil.
Watermark est un documentaire qui nous entraîne aux quatre coins du monde afin d’explorer notre relation avec la ressource la plus importante de la planète : l’eau. À travers différentes histoires et de multiples paysages somptueux, le documentaire évoque de manière inédite l’empreinte de l’eau sur la planète. Il met l’accent sur l’impact négatif de l’homme, qui, en « maltraitant » ce bien fondamental, hypothèque de manière irréversible le futur de nos enfants et de l’humanité toute entière.
Dans un avenir lointain, à la suite du réchauffement climatique ayant causé la fonte des glaces, la Terre est totalement recouverte d'eau. L'humanité vit désormais sur des atolls artificiels. Cependant, une légende circule : celle de Dryland, qui serait l'unique terre encore émergée. Un mutant mi humain et mi poisson, accompagné par une jeune femme et une petite fille, vont partir retrouver Dryland. Ils affrontent et se confrontent à des pirates sanguinaires, nommés les Smokers et dirigés par le diacre.
Avec We Feed the World, le documentariste Erwin Wagenhofer propose aux spectateurs un regard sur l'agriculture mondiale moderne. En passant par la Roumanie, l'Autriche, le Brésil, la France et l'Espagne, son enquête se focalise sur la manière dont est fabriqué ce qui arrive dans notre assiette. Il montre que la domination du Nord sur le Sud est prégnante. Comment est-il possible qu'en Afrique l'on achète des produits européens ou asiatiques comme le poulet thaïlandais ? Le réalisateur présente une face peu connue de la mondialisation : en achetant un poulet industriel, on contribue au défrichement de l'Amazonie car le Brésil déforeste pour cultiver le soja qui sert à nourrir les volailles élevées en batterie (90 % de la production de soja du Brésil est exportée). Le documentaire souligne également la différence entre industrie agroalimentaire et petite exploitation. We Feed the World adopte un style « coup de poing » visant à éveiller les consciences.