Réalisé à partir de caméras cachées et d’images jamais vues auparavant, Earthlings exhibe les pratiques quotidiennes de certaines des plus grandes industries du monde, toutes reposant sur l’exploitation des animaux.
Le film alterne des séquences montrant des paysages naturels et des rites religieux ou spirituels humains, filmés sur les cinq continents. Au cœur du film, des séquences plus pénibles (accompagnées notamment de morceaux de Dead Can Dance dont The Host of Seraphim) montrent les aspects destructeurs de l'humanité telles la misère ou la guerre. La fin du film revient sur des séquences de spiritualité, notamment une séquence des bains rituels dans le Gange, à Varanasi en Inde.
En 200 000 ans d'existence, l'homme a rompu l'équilibre sur lequel la Terre vivait depuis 4 milliards d'années. Réchauffement climatique, épuisement des ressources, extinction des espèces : l'homme a mis en péril sa propre demeure. Mais il est trop tard pour être pessimiste : il reste à peine dix ans à l'humanité pour inverser la tendance, prendre conscience de son exploitation démesurée des richesses de la Terre, et changer son mode de consommation.
Au cours d'une de ses promenades en Haute-Provence, le narrateur a un jour rencontré un personnage extraordinaire, un berger solitaire et paisible qui plantait des arbres, des milliers d'arbres. Au fil des ans, le vieil homme a réalisé son rêve : la lande aride et désolée est devenue une terre pleine de vie.
Douze minutes, c'est le temps durant lequel nous suivons le parcours d'une tomate, depuis sa production dans la plantation de M. Suzuki, jusqu'à son point d'arrivée, décharge publique de l'île aux Fleurs. Film pamphlet, systématique et grinçant, ce court métrage dénonce la sous-humanité qu'entraîne l'économie de marché et les 13 millions de Brésiliens sous-alimentés.
Dans un futur proche, face à une Terre exsangue, un groupe d'explorateurs utilise un vaisseau interstellaire pour franchir un trou de ver permettant de parcourir des distances jusque-là infranchissables. Leur but : trouver un nouveau foyer pour l'humanité.
Le film suit les pérégrinations de Ric O'Barry, ancien dresseur de dauphins devenu activiste, qui enquête sur la chasse au dauphin à Taiji (Wakayama) au Japon.
The film begins with scenes showing the day-to-day life of a construction contractor by the name of Eddie Lama. Footage shows Lama discussing a construction job with one of his employees, and Lama also talks about how various different racial and ethnic groups who work at his firm are able to get along together. A scene is shown with Lama petting two dogs, and there is also footage showing that Lama keeps multiple cats in his office.
The film chronicles the growth of a large community in the western American desert. It brought abundance and the legacy of risk it has created in the United States and abroad.
L'histoire se déroule dans le Japon médiéval (ère Muromachi). Ashitaka, le prince de la tribu des Emishis, un peuple reclus au nord de Honshū, est frappé d'une malédiction après avoir tué Nago, un dieu sanglier devenu un démon : son bras est animé d'une force surnaturelle mais est rongé par l'entité démoniaque. La chamane du village le dit condamné à mourir et lui conseille de quitter le village afin d'aller chercher à l'ouest la cause de la colère de la nature et l'espoir de trouver la raison de sa malédiction.
Oru Cheru Punchiri tells the story of a retired estate manager Krishna Kuruppu (Oduvil Unnikrishnan) in his mid seventies and his wife Ammalukutty (Nirmala Sreenivasan) in her mid sixties continuing their married life in a honeymoon mood. This couple wake up to romantic mornings dense with sweet herbal aroma with the melodious music of birds as the background. They spend their time engaged in games of mischief and even some social activities that they could manage. They make it clear that they would never surrender to the plea of their children coated in love, to sell the ancestral property in the village and move to the city with them. They are happy doing agriculture in the land they own. They have some good neighbours in Janu (Roslyn), her daughter Malathi (sindhu) and helper-boy Kannan (Master Vignesh). Krishna Kuruppu was instrumental in Janu getting a sweeper's job in the Urban bank there. He also sponsors for Kannan's education. Krishna Kuruppu helps Bhaskaran (Jayakrishnan) get a job in the estate he worked. He also arranges the marriage of Bhaskaran and Malathi. He also supports the love affair of his granddaughter Beena (Lena) with a Muslim youth.
The film spans from March 11, 2001 to September 19, 2011, starting with Noland's own experience in the Tōhoku Earthquake and tsunami, Fukushima Daiichi nuclear disaster followed by volunteer activities in Ofunato