Ce documentaire raconte, entre autres, comment le capitalisme financier se sert d'outils comme la chambre de compensation Clearstream pour fermer des usines. Il raconte aussi comment le Luxembourg, État européen, fermerait les yeux sur ces pratiques, les encouragerait même.
Raymond Depardon est né de parents paysans, pour la première fois dans ce documentaire, il filme des éleveurs de moyenne montagne dans une situation très proche de celle de son enfance. Profils Paysans est un projet sur le long terme, de trois films sur presque dix ans. L'approche est le premier volet de la trilogie.
La dette des gouvernements, des entreprises et des ménages a atteint des proportions astronomiques : Comment l'expliquer ? Comment en est-on arrivé là ? D'où vient tout cet argent ? Comment peut-il y avoir autant d'argent à prêter ? La réponse est... qu'il n'y en a pas. De nos jours l'argent est fait de dette. S'il n'y avait pas de dette, il n'y aurait pas d'argent. Si tout ceci vous laisse perplexe, rassurez-vous, très peu de gens comprennent ce système, même si nous sommes tous touchés. Ce long métrage d'animation, dynamique, pédagogique et divertissant va vous expliquer, de manière compréhensible par tous, les effets magiques et pervers du système actuel d'argent-dette. Un film indispensable pour comprendre les origines de la crise mondiale !
Le film, qui suit un scénario fictionnel écrit par Flaherty, montre la rude existence d'une famille de pêcheurs vivant sur une île de l'archipel d'Aran, au large de l'Irlande.
Dans le film, on montre comment le monde du vin a rapidement compris l'enjeu de cette agriculture, la perte de la notion de terroir s'y faisant ressentir plus vivement que dans les autres productions agricoles. Les vignerons élaborent leurs vins avec une minutie particulière, dans les vignes comme à la cave; c'est un métier où chaque détail a son importance. Ils s'interrogent sur la compréhension de la nature par l'homme.
Bien que diffusé dans plusieurs pays hors de France et malgré plusieurs récompenses importantes (dont le Prix du documentaire au Festival international du film d'environnement de Paris, et Prix du Meilleur film pour les droits de l'Homme au CinéEco au Portugal, prix du moyen métrage au FICA au Brésil, Goias, Prix du documentaire en Bulgarie), ce documentaire a été refusé durant plusieurs années par toutes les chaînes de télévision françaises.
Le film montre cinq exemples de travail physique intense dans des conditions extrêmes dans différents lieux dans le monde. Il est divisé en cinq épisodes qui se déroulent en Ukraine, en Indonésie, au Nigeria, au Pakistan et en Chine. Les personnes filmées parlent dans leurs langues d'origine : pachto, yoruba, allemand, anglais, igbo, indonésien, javanais, mandarin, russe.
Au plus fort de l'hiver, une femme (Monique Miller), confinée dans sa roulotte, s'ennuie de la ville et préfèrerait être au Mexique, pendant que son mari (Gilles Vigneault), ingénieur, participe avec enthousiasme à la construction du barrage.