Le film fut à l’origine tourné avec une bande son en allemand pour être projeté dans l’Allemagne et l’Autriche occupées. Il s’agit du premier documentaire montrant ce que les Alliés découvrirent lorsqu’ils libérèrent les camps d’extermination nazi : les survivants, les conditions de vie, et la preuve d’un génocide. Le film fait état des aspects économiques de l’opération des camps. Des membres du personnel de ceux-ci, faits prisonniers, y sont interrogés. Et l’on y voit la visite forcée des habitants de villes voisines qui, de même que leurs compatriotes, sont accusés de complicité dans les crimes nazi – c’est l’une des rares condamnations de cette sorte enregistrées dans les archives alliées de la Seconde Guerre mondiale. Au même moment Samuel Fuller tournait son premier film amateur au camp de Falkenau, mais ces images ne seront visibles qu'en 1988, incluses dans Falkenau, vision de l’impossible, documentaire d’Emil Weiss.
The film's central footage and themes "relied heavily" on the work of German film maker Leni Riefenstahl, in particular the 1935 movie Triumph des Willens (Triumph of the Will).
The advance publicity booklet on the film when it was entitled "Africa Sings", touted it as showing "what the white man achieved for himself" and "what he has done for he natives." "Africa Sings" was one of the first documentary films from South Africa to take a look at the lives of South Africans of all races. There are images of location life, schools and colleges, and a cross-section of occupations, from mine-workers to road-gangs, school-teachers to house- servants, waiters to cane-cutters. Mainstream reviewers gave the documentary a tepid response; the London Daily Worker thought it was too bland to serve a staunch liberationist purpose.