Longue méditation douloureuse sur la singularité des crimes nazis et la douleur de l'Homme survivant, le film prend le parti de n'utiliser aucune image d'archives. Seuls des témoignages de rescapés, de contemporains ou d'assassins sont montrés. Quelques séquences ont été rejouées ou préparées (ainsi le récit poignant d'un coiffeur, Abraham Bomba) mais la plupart ont été tournées en caméra directe, traduites à la volée par l'un ou l'une des protagonistes.
Part 1: Pride and Genocide deals with the carnage and its immediate aftermath. It examines the patterns of pre-planned genocidal violence (by right-wing Hindutva cadres), which many claim was state-supported, if not state-sponsored. The film reconstructs through eyewitness accounts the attack on Gulbarg and Patiya (Ahmedabad) and acts of barbaric violence against Moslem women at Eral and Delol/Kalol (Panchmahals) even as Chief Minister Modi traverses the state on his Gaurav Yatra
1955 : Alain Resnais, à la demande du comité d'histoire de la Seconde Guerre mondiale, se rend sur les lieux où des milliers d'hommes, de femmes et d'enfants ont perdu la vie. Il s'agit d'Orianenbourg, Auschwitz, Dachau, Ravensbruck, Belsen, Neuengamme, Struthof. Avec Jean Cayrol et l'aide de documents d'archives, il retrace le lent calvaire des déportés.
William Peters follows Jane Elliott's conversely controversial and lauded schoolroom exercise of dividing an otherwise homogenous group of elementary school kids by their eye color. It was a demonstration of prejudice and discrimination meant to teach the students about the unfairness of racism, developed as a response to the shooting of Martin Luther King in April 1968. The film records Elliott in 1970 while conducting the exercise for the third time.
Motherland is an epic documentary about the African continent from Ancient Egypt to the present. It is an overview of African history and contemporary issues but with the African people at the centre of the story. It is one of the first Pan-African features to be made.
Le film évoque le mouvement du 30 septembre 1965 en Indonésie ainsi que les massacres qui ont suivi, et qui ont causé la mort de 500 000 à un million de personnes. La parole est donnée aux auteurs de ces massacres, en particulier Anwar Congo et Adi Zulkadry, des voyous (preman) à qui l'armée confie les exécutions. À lui seul, Anwar Congo a assassiné environ 1 000 personnes, généralement en les étranglant avec un câble. Il est aujourd'hui un des fondateurs du groupe paramilitaire d'extrême droite indonésien Pemuda Pancasila , et n'a jamais été inquiété pour ses crimes.
En partant de l'étude du cas de Clermont-Ferrand, le film dresse la chronique de la vie d'une ville française entre 1940 et 1944. Le film élargit son propos factuel à toute l'Auvergne mais comporte aussi des témoignages de personnalités ayant joué un rôle important pendant la guerre (militaires, hommes d'état, témoins-clés) ou ayant participé activement à celle-ci, pas forcément à Clermont-Ferrand ni même en Auvergne.
Partez à la rencontre de Nicholas Winton, véritable héros d'avant-guerre. Jamais considéré comme tel, cet homme a pourtant sauvé 669 enfants à la veille de la Seconde Guerre mondiale. Dans la capitale tchécoslovaque, alors qu´il se préparait pour des vacances au ski, le jeune Nicholas Winton va organiser une extraordinaire opération de sauvetage d'enfants juifs menacés par les nazis.
In 2001 Japanese American painter, Jimmy Mirikitani (born Tsutomu Mirikitani), and over 80 years old, was living on the streets of lower Manhattan. Filmmaker, Linda Hattendorf, took an interest and began