Dans le Japon médiéval, quatre personnes présentent des versions très différentes d'un même crime. Deux des récits sont fournis par l'assassin et le fantôme du défunt (convoqué par un chaman).
Au XVI siècle, dans un Japon ravagé par la guerre, le vieux daimyo Hidetora Ichimonji décide de céder le contrôle de son fief à ses trois fils, Taro, Jiro et Saburo, afin de finir ses jours heureux et en paix. Mais les dissensions entre les trois frères plongent rapidement leurs familles, leurs foyers et la région dans le chaos.
Noriko est la seule fille de la famille Somiya à ne pas être mariée. Elle vit cependant heureuse avec son père mais ce dernier pense qu'il est grand temps pour elle de penser au mariage. Noriko est réticente à l'idée de laisser son père seul mais elle finit tout de même par accepter. Après un dernier séjour à Kyoto en compagnie de sa fille, le père finit par ressentir cette solitude que sa fille avait tant redoutée.
Genjuro est un potier qui vit dans un petit village de campagne, Ōmi, au XVI siècle. Un jour, il part vendre ses pots à la ville en compagnie de Tobei. Quand Genjuro revient à Ōmi, il a gagné beaucoup d'argent car la guerre avec l'armée Shibata fait monter les prix. Tobei, quant à lui, s'est engagé avec des samouraïs, mais il rentrera bien vite chez lui, humilié par de vrais guerriers. Genjuro veut augmenter sa productivité pour gagner encore plus d'argent. Il part pour la ville avec Tobei et la femme de celui-ci. En ville, Genjuro tombe amoureux de dame Wakasa, Tobei devient un vrai samouraï grâce à l'argent de la vente qu'il a volé, et la femme de Tobei devient prostituée après avoir été violée en le poursuivant. Cependant, un prêtre dit à Genjuro que la femme qu'il aime est en fait un fantôme, et que son âme est manipulée par des esprits malfaisants ; il rentre alors au village. Tobeï et sa femme se rencontrent par hasard ; Tobei abandonne son métier de samouraï et rentre lui aussi au village avec sa femme. Mais la femme de Genjuro, Miyagi, est morte entre-temps en voulant retourner au village. Quant à ce dernier, il ne lui reste que son fils.
Dans un monde ou l'eau a tout recouvert, un homme fait tomber sa pipe dans un trou à travers son plancher. Il enfile alors une combinaison de plongée pour la retrouver et se jette à l'eau. Commence alors une plongée dans le passé du vieil homme, un retour en arrière tout en délicatesse, comme le film d’une vie entière qui se déroulerait... à l’envers.
Nishimiya est une élève douce et attentionnée. Chaque jour, pourtant, elle est harcelée par Ishida, car elle est sourde. Dénoncé pour son comportement, le garçon est à son tour mis à l'écart et renvoyé du lycée. Des années plus tard, il apprend la langue des signes et part à la recherche de la jeune fille.
Hana (花, « fleur »), une étudiante âgée de 19 ans, tombe amoureuse d'un étudiant solitaire, qui en vient à partager ses sentiments. Un soir, il lui révèle être un homme-loup, descendant des loups de Honshū, ce qui ne rebute pas Hana. Ils vivent ensemble paisiblement dans un appartement à Tokyo durant deux ans, et ont deux enfants : une fille, Yuki (雪, « neige ») puis un garçon, Ame (雨, « pluie »), qui sont moitié humains, moitié louveteaux. L’homme-loup cache sa nature et travaille comme chauffeur-livreur pour subvenir aux besoins de la famille, mais il meurt accidentellement peu après la naissance d’Ame.
Composé de 2 parties: La première, Episode 25' : Air/Love is Destruction (qui reprend la partie Rebirth du film précédent avec une dizaine de minutes d'animation en plus).
La seconde, Episode 26' : まごころを、君に (Magokoro wo, Kimi ni/Sincèrement vôtre, ou Mon cœur pur pour toi)/I need you Alors que la NERV, le dernier rempart contre les Anges est assaillie par les militaires qui massacrent tout sur leur passage, Asuka mène un combat sans merci contre les neuf EVAs. Le monde se prépare à subir le Troisième Impact.
Un couple de retraités, Shukichi Hirayama (Chishū Ryū) et sa femme Tomi (Chieko Higashiyama), qui habitent dans la petite ville côtière d'Onomichi, au sud-ouest du Japon, entreprennent un voyage pour rendre visite à leurs enfants. Seule leur plus jeune fille vit avec eux : Kyoko (Kyōko Kagawa), une maîtresse d'école, n'est pas encore mariée. Les autres enfants vivent à Osaka ou à Tokyo.
Tatsuo Kusakabe, jeune anthropologue et professeur non titulaire d'une université de Tokyo, arrive dans le village où il va emménager avec ses deux filles, Satsuki, dix ans, et Mei, quatre ans. Les petites découvrent joyeusement leur nouvelle maison, qui n’a pas été habitée depuis un certain temps, et la campagne environnante où trône un camphrier gigantesque. Explorant l’habitation, de style japonais, elles trouvent des glands qui tombent de la soupente et une pièce remplie de petites créatures noires qui s’éclipsent (les susuwatari) ; leur père leur explique qu’il s’agit de noiraudes. Elles montent peu rassurées à l’étage, et Mei, qui attrape une des créatures, se retrouve les mains pleines de suie. Redescendant, elles rencontrent leur nouvelle voisine venue aider à faire le ménage, une grand-mère, qui leur explique que les noiraudes emménagent dans les lieux inhabités et partiront bientôt. Satsuki est polie et accueillante, mais Mei a peur de la nouvelle venue, et se cache derrière sa sœur. Alors qu’ils s’activent tous pour réactiver la pompe, nettoyer les salles de vie et déballer les affaires, Kanta, le petit-fils de la vieille dame, âgé lui aussi d’une dizaine d’années, apporte un paquet de la part de sa mère et dit à sa jeune voisine que leur nouvelle maison est hantée, avant de partir en courant.
Dans le Japon du XVI siècle, une guerre oppose deux clans rivaux. Deux paysans pauvres, Tahei et Matashichi cherchent à contourner la ligne de front pour retourner chez eux. En chemin, ils découvrent un morceau d'or dans une branche d'arbre et pensent être sur la piste du trésor du clan des Akizuki, vaincu. Ils se mettent en chasse de ce trésor, mais sont surpris par un homme. Cet homme leur dissimule sa véritable identité, car il s'agit du général Rokurota Makabe, l'un des derniers survivants des Akizuki. Lui aussi cherche à aller dans le même territoire que les deux paysans, mais sa tâche est ardue. En effet, il doit y accompagner la princesse Yuki, l'héritière du clan, ainsi que son trésor, pour refonder son clan. Il décide d'utiliser la naïveté et la cupidité des paysans pour l'accompagner et l'aider à transporter l'or, tout en cachant son secret.
Alors qu'ils traversent une forêt après une bataille, les généraux Washizu et Miki rencontrent un esprit. Celui-ci prédit que Washizu deviendra seigneur du Château de l'araignée, mais que ce seront les descendants de Miki qui lui succéderont.
Samouraï quelque peu hors du rang depuis que sa femme est décédée d'une terrible maladie, Seibei élève avec ses très maigres moyens ses deux jeunes filles et s'occupe comme il le peut de sa mère, une vieille femme qui n'a plus toute sa tête. Déconsidéré par l'ensemble des membres de sa classe, Seibei demeure un incompris : comment un samouraï pourrait-il en effet se contenter d'une vie aussi morne et difficile ?
Comme la plupart des films d'Ozu d'après-guerre, l'histoire parle des tiraillements du cercle familial type japonais entre modernité et tradition, symbolisés ici par les trois générations qui cohabitent dans une même maison. Noriko, l'héroïne, est une japonaise moderne, une dactylographe, qui n'envisage pas à vingt-huit ans, de se marier. Cependant, sous la pression des membres de la famille, elle va se résigner, mais sa décision d'épouser l'assistant pauvre de son frère docteur au lieu de l'homme d'affaires préféré par sa famille provoque l'éclatement définitif de celle-ci.