Caplongue, village aveyronnais de 80 habitants, a vu naître en 2012 l’association des Loco-Motivés. Son ambition est de produire et consommer local dans le respect de la nature, des animaux et des personnes, de la manière la plus conviviale possible. Au travers de portraits intimistes et poétiques, nous suivrons pendant douze mois dans le Lévézou l’engagement d’Isabelle, Jean-Marc, Vincent et les autres autour de cette grande idée.
Face au sentiment d'impuissance que provoque l'extrême gravité du dérèglement climatique, quelques militants de l'organisation basque Bizi ! font un pari fou : construire en quelques années une mobilisation sans précédent en vue de la COP21 et lancer un grand mouvement non-violent pour le climat : Alternatiba.
Le 26 octobre 2012, le quartier Limoilou se retrouve couvert d'un dépôt de poussière rouge. Véronique Lalande, préoccupée par sa santé et celle de son bébé, signale la situation aux autorités. Déçus par l'immobilisme des autorités sanitaires et environnementales, elle et son conjoint Louis Duchesne décident de mener leur propre enquête pour connaître la nature et l'origine de cette poussière. Il s'avère que ce sont les activités de transbordement de minerais au Port de Québec qui sont à l'origine de la pollution. Il s'ensuit un long combat entre les citoyens, qui revendiquent le droit à un environnement sain, et les dirigeants du Port, qui minimise sa responsabilité dans la pollution à Limoilou.
D'anciens ouvriers et ouvrières d'Amisol, usine de filage et de tissage d'amiante, touchés par de l'asbestose retracent leurs combats pour obtenir dommages et faire interdire l'usage de ces fibres. Le tableau des maladies professionnelles inclut pourtant l'amiante depuis 1945.
Atteint de maladies chroniques les intervenants, dont Thierry Casasnovas, s'interrogent sur la société, leur rapport à la nature, leur relationnel dans une analyse personnelle et nous font part de l'auto-régénération constatée. Ils changent leur mode vie, type et façon de se nourrir et recourent à des pratiques comme le jeûne, la méditation, le yoga, le tai-chi-chuan ou le qi gong.
Enquête sur plus de 35 municipalités qui ont choisi de ne plus utiliser de produits phyto-sanitaires pour l'entretien des espaces verts (pourtant prévu par la loi Labbé depuis le 1er janvier 2017). Mais également exemples de cantines scolaires qui ont fait le choix de s'approvisionner en produits bio.