1903. Le prix Nobel de physique est décerné pour la première fois à une femme, Marie Curie, ainsi qu'à son mari Pierre. Peu de temps après, Pierre meurt dans un tragique accident et Marie, alors trentenaire, doit s'occuper seule de leurs deux enfants. Mais loin de se laisser abattre, elle poursuit les travaux de recherche du couple dans un monde essentiellement masculin et devient la première femme titulaire d'une chaire à la Sorbonne, à Paris. Après une longue période de deuil, elle tombe amoureuse d'un homme marié, le physicien Paul Langevin. Leur relation éclate au grand jour et provoque un énorme scandale.
L'intrigue du film fait référence au crash de l'avion Tu-154M du 10 avril 2010 à Smolensk et vise à présenter l'histoire de personnes rassemblées autour de cet événement et touchées par la tragédie. L'héroïne de l'histoire est la journaliste Nina, qui cherche à découvrir la vérité sur la catastrophe. Au début, elle est sceptique quant à la théorie de l'assassinat. Son attitude toutefois change au cours des entretiens avec les membres de la famille des victimes de la catastrophe. Elle parle entre autres avec la veuve du général Andrzej Błasik et les parents d'un des pilotes. À un moment où Nina commence à évoquer les questions soulevées par les partisans de la théorie du coup d'Etat, son supérieur hiérarchique la met en garde. Plus tard, Nina apprend le décès de témoins clés de la catastrophe. Selon le film, ils se sont suicidés dans des circonstances obscures. Lors de son séjour aux États-Unis, Nina participe à une réunion de Gazeta Polska au cours de laquelle elle rencontre d'autres personnes qui croient en la théorie de l'assassinat. C'est alors qu'elle apprend la possibilité d'une explosion à bord de l'avion.
Pologne, 1990. La première année de liberté, mais aussi de l'incertitude pour l'avenir. Dans ce contexte, quatre femmes de différents âges décident qu'il est temps pour elles de satisfaire leurs désirs...
Deux sœurs sirènes, Or et Argent, intègrent une famille de musiciens et s'impliquent dans le monde des humains. L'une d'entre elles, Argent, tombe amoureuse d'un bel homme. Mais si le garçon tombe amoureux d'une autre, elle devra le dévorer pour ne pas se transformer en écume.
Un mari jaloux et sa femme attirante qui est une actrice, un directeur minable de film, une jeune femme désorientée, un toxicomane, un vendeur de saucisses qui a été en prison, un étudiant en difficulté, un ancien laveur de vitres qui prend une année sabbatique, un artiste âgé, une équipe d'ambulanciers et un groupe de religieuses : des citadins contemporains dont la vie va s'entrelacer et prendre une tournure inattendue en l'espace de seulement 11 minutes.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, Witek et son frère ainé Karol, sont reporters à Varsovie. En août 1944, lorsque les Varsoviens s'ingurgent, un choix doit s'imposer, prendre les armes, ou la caméra: ils témoigneront des combats pour le Bureau d’Information et de Propagande de l’Armée de l’Intérieur.
A la suite de la répression des manifestations ouvrières de Gdansk, un officier de l'armée polonaise prend contact avec les américains en vue de leur transmettre des informations sur les opérations envisagées par l'URSS pour conserver sa main-mise sur sa zone d'influence et faire triompher le communisme. Lorsque la présence d'un espion est soupçonné au sein de l'état-major polonais, l'étau de resserre et l'officier demande à être exfiltré par la CIA avec sa famille.
Après une soirée alcoolisée, Émilia (Agnieszka Żulewska), 20 ans, se réveille dans un appartement inconnu à côté d'une autre femme, Matylda (Matylda Paszczenko), 32 ans, qui prétend qu'elles ont couchées ensemble la nuit dernière.
Mateusz atteint de l'infirmité motrice cérébrale a des grandes difficultés à communiquer avec son entourage. Malgré son handicap, il fait face à la réalité avec patience et courage. Le film est inspiré d'une vraie histoire.
Le film est consacré à l'Insurrection de Varsovie de 1944 et retrace les actions menées par le lieutenant-colonel Jan Mazurkiewciz, nom de guerre "Radosław", et de son groupe du même-nom le Groupe Radosław (polonais : Grupa Radosław) durant les soixante-trois jours que dura l'Insurrection.