The film's theme of immurement draws inspiration from Balzac's "La Grande Bretêche", and Edgar Allan Poe's "The Cask of Amontillado". The king constructs a cozy, windowless love-nest for himself and his concubine. However, she is not faithful to her sovereign, but consorts with the court troubadour. In fact, they use the king's new play chamber for their trysts. When the king discovers this, he sends for his masons. With the faithless duo still inside, the masons use stone and mortar to quietly seal the only door to the vault. The two lovers suffocate and the film ends.
Le bébé d'un immigré italien se retrouve suspendu au-dessus du vide par un gangster voulant se venger de ce dernier. Le père de l'enfant rentre à toute vitesse du travail pour tenter de conjurer le destin.
Un couple et leur fillette, Dollie, passe un week-end dans leur maison de campagne. Rires et jeux. Tandis que le père entreprend la lecture de son journal, la mère et sa fille vont se promener sur la berge de la rivière qui coule non loin de la maison, où pêchent deux garçons. Un bohémien les rejoint, offrant à leur vendre des paniers. La mère dédaigne son offre, il insiste, elle le repousse. Dépité, il tente alors de lui dérober son sac à main. Elle crie. Le père arrive fort en colère, son journal roulé à la main comme une matraque, et le frappe. Le bohémien rompt le combat. La famille revient devant leur maison, et le père joue au badminton avec Dollie. Le bohémien a rejoint sa roulotte où son épouse prépare la soupe. Pleutre, il lui montre les traces invisibles des coups reçus, et il a soudain une idée qu'il explique à son épouse en faisant un geste de la main, révélateur, qui désigne la hauteur de la fillette. Son épouse proteste, et elle reçoit en retour une gifle. Devant la maison, le père est appelé par le jardinier et Dollie se retrouve seule. Le bohémien s'approche avec prudence, puis la bâillonne et l'emporte sur son dos. Retour à la roulotte. Le bohémien enferme la fillette dans un tonneau. Pendant ce temps, la mère et le père s'aperçoivent de la disparition de Dollie. Le père appelle le jardinier et tous deux partent à la recherche de la fillette. Quand ils arrivent au camp, ils fouillent partout. Le bohémien les regarde avec mépris, assis sur le tonneau. Les deux hommes poursuivent leurs recherches plus loin. Les bohémiens lèvent le camp, le tonneau arrimé à la roulotte. En passant à gué la rivière, ils perdent le tonneau sans s'en apercevoir. Celui-ci est entraîné par le courant, franchit une petite cascade, un rapide, puis vient s'échouer sur la berge... juste en face de la maison familiale. Les deux jeunes pêcheurs le tirent de l'eau. Le père arrive, il se penche pour écouter un bruit qui provient de l'intérieur du tonneau, il l'ouvre : Dollie se lève. La famille est de nouveau réunie.
Dans un paysage montagneux, un bûcheron laisse son épouse et son bébé dans la cabane familiale et se rend sur une coupe où il abat un arbre. Pendant ce temps, le bébé qui s’amusait dehors, est emporté dans les airs par un aigle. La mère, alertée par les pleurs de l’enfant, a déjà le réflexe de se saisir d’un fusil, mais renonce à faire courir un tel risque à son fils. Elle va prévenir son mari qui part à la recherche du rapace, accompagné par plusieurs de ses camarades de travail. Il repère le nid au flanc d’une falaise. Aussitôt, encordé, il est descendu jusqu’au rebord rocheux qui sert d’abri au nid d’aigle. Il est attaqué par l’oiseau mais finit cependant par avoir le dessus. Le bébé et son père sont hissés hors de la falaise. Le couple embrasse passionnément son rejeton.
Des voyous discutent à la terrasse d'un bistrot en buvant une bière. L'un d'eux exhibe devant l'autre le texte d'un télégraphe, soi-disant envoyé par le châtelain du pays, qu'ils vont ensuite expédier. Au domicile du médecin, un porteur livre le télégramme. Le médecin enfile son pardessus, met son chapeau et embrasse tendrement son fils et son épouse. Il rejoint le château et s'enquiert de la santé du plus jeune des fils du châtelain qui s'étonne et lui certifie que ses enfants se portent à merveille. Pendant ce temps, les voyous assomment la servante et veulent s'emparer de l'épouse et de son fils qui se réfugient dans le cabinet du médecin, fermant la porte. Sur le bureau, un téléphone. La femme appelle. Au château, un domestique annonce une communication téléphonique à l'intention du médecin. Celui-ci apprend ainsi le danger que court sa famille. Avec son chauffeur, il fonce vers son domicile, récupère au passage deux gendarmes. Pendant ce temps, les voleurs ont forcé la porte et menacent l'épouse avec leurs revolvers. C'est alors que le médecin, son chauffeur et les deux gendarmes surgissent dans la pièce et désarment les deux malfrats qui sont entraînés à l'extérieur, les mains entravées.
Des bandits ont mis le feu à une ferme. Leur repaire est assiégé par les gendarmes. Ils s’enfuient, mais l’un d’eux est arrêté et emprisonné. Dans sa cellule, il voit la guillotine dans un cauchemar. On vient lui annoncer que son pourvoi en grâce est rejeté, on l’emmène et nous assistons à l’exécution capitale : sa tête tombe dans le panier et son corps est emporté dans une malle en osier.
Des bandits ont mis le feu à une ferme. Leur repaire est assiégé par les gendarmes. Ils s’enfuient, mais l’un d’eux est arrêté et emprisonné. Dans sa cellule, il voit la guillotine dans un cauchemar. On vient lui annoncer que son pourvoi en grâce est rejeté, on l’emmène et nous assistons à l’exécution capitale : sa tête tombe dans le panier et son corps est emporté dans une malle en osier.
Quatre hors-la-loi attaquent un train. Ils s'emparent de l'argent en faisant sauter le coffre qu'il transportait, puis dévalisent les voyageurs et prennent la fuite, poursuivis par des rangers. Cernés, ils sont tués et l'argent est récupéré.
Vince, un jeune homme naïf assume l'identité d'un homme mort et se retrouve en proie à un monde souterrain de la puissance, la violence et la chance, où les hommes jouent à huis clos sur la vie des autres hommes et se retrouve embarqué dans un jeu de roulette russe….
En s'asseyant à la suite sur des chaises, un homme (Georges Meliès) se multiplie pour former un orchestre, qui joue. Ensuite, il réintègre chacun de ses doubles, fait disparaître les chaises puis disparaît lui-même.