Un fiancé égaré par un appel téléphonique d'une femme trompée qui veut se venger, se retrouve successivement dans le lit de la femme et dans celui de la maîtresse du mari infidèle.
M. Pontbichot rêve depuis longtemps de tromper sa femme. Pour arriver à ses fins, il cherche un gendre qui pourrait l'aider, et le trouve en la personne d'un jeune peintre, qui plait à sa fille.
Un jeune homme qui souhaite lancer sa petite amie au théâtre, emprunte de l'argent à sa tante, en lui faisant croire qu'il veut acheter une épicerie. Sa tante arrive et souhaite alors visiter « son » épicerie ; pour sauver la mise il emprunte le magasin d'un épicier crédule.
Le brave Monsieur Breloque a pour ami Pierre Martel, un détective privé. Quand celui-ci lui demande de le remplacer pendant quelque temps, Breloque, bien que n'ayant aucune compétence en la matière, accepte. Il va au devant d'aventures et de mésaventures mais aussi d'heureuses surprises...
Cochu, un paysan, est le souffre-douleur de ses camarades de régiment. Il est nommé « tampon du capiston », c'est-à-dire ordonnance du capitaine. Mais il se retrouve au service d'Hortense, la sœur du capitaine.
Le jeune roi Boris de Neustrie, qui a suivi les siens dans leur exil à Londres, tombe amoureux de la fille d'un riche homme d'affaires américain. Ce dernier, cependant, n'approuvera l'union que si Boris abandonne la royauté pour le monde des affaires.
Une famille apparemment unie est tout a coup secouée de remous provoqués par la découverte d'une lettre du père. Celui-ci y annonce son intention de divorcer. Les enfants se mobilisent aussitôt pour préserver le nid, ils y parviennent de justesse. L'édifice familial va être consolide.
Germaine Mareuil est extrêmement jalouse et les scènes conjugales incessantes amènent les époux à demander le divorce. Les parents de Germaine, ayant été avertis de la situation, simulent une violente dispute pour dégoûter leur fille et son mari du triste spectacle d'un ménage désuni. Mais la comédie risque de tourner au tragique. Heureusement, les circonstances et les bévues de chacun amèneront la réconciliation générale.
Pierre Bardet, colon algérien, refuse de donner son consentement au mariage de son fils Marcel avec une jeune arabe. Mme Bardet avoue à son mari que Marcel n'est pas son fils. Cependant, sur l'assurance formelle d'un caïd qu'il suppose être le véritable père de Marcel, M. Bardet pardonne.
Apparemment sans but et triste, Jean marche jusqu'à la montagne. Est-il arrivé au bout de la route ? Il demande son embauche dans une ferme mais il reste sombre et semble ne pas remarquer les avances des femmes qui le croisent et tombent sous son charme car il a une certaine prestance qui, alliée à son caractère ténébreux et mélancolique, le rend irrésistible. La fille du fermier, Mina, en oublie son fiancé, le berger Albert, et succombe à son tour. Mais Jean veut rester fidèle au souvenir de sa femme séparée de lui par un accident qu'il a provoqué involontairement. II reprend alors son errance.