Antonio Lebonnard est un honnête horloger italien, qui mène une vie tranquille entre sa femme, son fils et sa fille. Cette dernière aime un modeste médecin débutant et trouve en son père un allié pour le mariage. Le fils lui s'y oppose, espérant s'éleve socialement par un mariage dansla noblesse. Pour le discréditer aux yeux de sa sœur, il lui révèle que son amoureux est né de façon illégitime. Mais, coup de théâtre, le vieux père, révèle alors à son fils que précisément lui aussi, est né dans les mêmes conditions, ce qu'il a toujours fait mine d'ignorer, en aimant son fils comme s'il était vraiment le sien.
Dans la famille Pont-Biquet, le père est juge d'instruction, la mère est acariâtre et autoritaire, les deux filles sont des ingénues, le gendre est un juge et le fiancé est joyeux drille.
Au XIIIe siècle, les amants se pressent à la porte de Marguerite de Bourgogne. L'aristocrate se livre en effet quotidiennement à des orgies qui sont réputées dans tout le pays. Ce que ses soupirants ne savent pas, c'est qu'ils seront immanquablement exécutés le lendemain de ces réjouissances et jetés à la Seine...
Instituteur honnête et naïf, Topaze, enseigne la morale à ses élèves avec la plus grande conviction. Il est renvoyé de l'institution par le directeur qui est agacé par son intransigeance avec une mère d'élève influente et mécontent de son souhait d'épouser sa fille.
C'est la catastrophe chez les Veyron-Lafitte. Régine, la bonne, vient de rendre son tablier et le repas n'est pas prêt pour les invités à dîner, les Gachassin. Adèle débarque chez eux comme bonne et sauve la situation. Très vite, les maîtres des lieux se rendent compte qu'elle a le don de voir l'avenir. Adèle leur prédit que les Gachassin ne viendront pas, ce qui va se vérifier….
Dandin, un riche paysan a épousé Angélique, fille des Sotenville, pour acquérir un titre de noblesse. Angélique, à qui on n'a pas demandé son avis, lutte contre sa servitude, et Dandin finit par se rendre compte qu'il s'est marié au-dessus de sa condition.
Armés d’un bouquet et d’un large sourire, quatre élèves de Terminale sonnent chez Alice Nabat, leur proviseur. Ils viennent lui souhaiter "bon anniversaire". Surprise mais émue par tant de gentillesse, Alice Nabat invite les adolescents à prendre un verre. Une fois, la porte refermée, une nuit terrible va se dérouler… Que veulent-ils ces aimables garnements venus visiblement avec une arrière-pensée : en découdre avec cette figure de l’Autorité qu’est Alice Nabat ? Exercer leur pouvoir qu’ils croient incontestable pour arriver à leurs fins ? Tout au long de la nuit, ils distillent les tricheries d’une scolarité pitoyable jusqu’à l’ultime étape du Bac qui va leur échapper, mettant ainsi leur vrai visage à jour.
Le vieux roi Lear veut partager son royaume entre ses trois filles, mais exige d'abord qu'elles lui expriment leur amour. Goneril et Régane s'exécutent avec emphase. En revanche, Cordélia refuse de prononcer de fausses paroles de tendresse. L'intégrité de sa benjamine provoque la folie du père et la chute de tous