Au début du XX siècle, Joachim Dallayrac, fameux baryton, annonce qu'il met un terme à sa carrière lyrique, pourtant au sommet de la gloire. Il a en effet décidé de se consacrer entièrement à l'enseignement de la jeune Sophie dont il recherche la perfection vocale, surprenant et décevant ainsi les critiques. Jusqu'au jour où il rencontre Jean, un jeune voyou dont il entame le travail vocal. Ces deux élèves sont alors conviés au concours lyrique organisé par l'éternel rival de Dallayrac, le Prince Scotti. Jean et Sophie se joignent au concours.
L'Orchestre philharmonique de Los Angeles joue le célèbre Boléro de Ravel, et des membres de l'orchestre commentent la musique ainsi que leur travail de musiciens.
À la fin du XX siècle, dans un pays d'Amérique du Sud qui vit encore le traumatisme d'une dictature récente, le président de la jeune démocratie a décidé de mettre en place une commission d'enquête sur les crimes passés. Cette commission doit être présidée par un avocat célèbre : Gerardo Escobar. Le soir de cette nomination, cet homme crève un pneu en rentrant chez lui. Un voisin, le docteur Roberto Miranda, vient à son secours et le ramène chez lui, où sa femme l'attend. Celle-ci, Paulina Escobar, torturée par la police secrète de l'ancien régime croit reconnaître dans la voix de Roberto Miranda celle d'un de ses bourreaux.
À Paris, une riche héritière s'éprend de Jerry Mulligan (Gene Kelly), un jeune peintre américain. Mais celui-ci tombe amoureux de Lise (Leslie Caron), qui est elle-même promise à un autre homme, Henri.
Tom, jeune homme de 28 ans, est, comme son père, un marchand de biens véreux à Paris. Il voulait autrefois devenir pianiste, comme sa mère, mais a abandonné ce projet quand cette dernière est morte. Soumis au chantage affectif et à l'immoralité de son père vieillissant, il vit dans un univers violent, ne fait preuve d'aucune pitié envers les immigrés qu'il expulse des immeubles qu'il récupère, et a des rapports brutaux avec tous ses proches. Dans cet univers là, il écoute également de la musique électronique en portant un casque qui l'isole de tout.
Le film raconte la formation et l’évolution de l’ensemble vocal Die Comedian Harmonists, à la fin des années 1920 à Berlin : des débuts plutôt laborieux aux premiers succès, le tout sur fond de montée du nazisme.
Le chef des services secrets français, Louis Toulouse, est compromis par son adjoint Milan dans une affaire d'agent double. Cette machination menée par Milan a pour objectif de discréditer Toulouse afin de prendre sa place. Mais Toulouse, ayant découvert les plans de Milan, met en place un piège pour faire tomber son adjoint. Pour cela, il décide d'utiliser un inconnu, « n'importe qui, un homme dans la foule » et de faire croire à Milan que l'inconnu en question est un redoutable agent secret destiné à régler l'affaire de l'agent double. Cet inconnu, choisi par hasard à Orly par Perrache, l'homme de confiance de Toulouse, parce qu'il porte une chaussure noire à un pied et une marron à l'autre, est François Perrin, un violoniste étourdi. Il le fait protéger discrètement par deux agents : Poucet et Chaperon. Milan tombe immédiatement dans le piège et déploie une équipe d'espions destinée à épier Perrin. Mais son comportement normal et parfois bizarre et maladroit va davantage déstabiliser Milan. Pour le faire « parler », il attire Perrin dans le lit de son agent féminin, la sculpturale Christine, afin d'obtenir des confidences sur l'oreiller. Elle est d'ailleurs la première à se douter du piège mais Milan ne la croit pas. À ses yeux, que Perrin n'ait rien à avouer ajoute à sa crédibilité de redoutable agent.
Le film retrace la vie de Piotr Ilitch Tchaïkovski.
Jeune professeur au Conservatoire de Musique de Moscou, Tchaïkovski donne son tout premier concert pour piano et orchestre devant une salle bondée d'étudiants, de professeurs et de mélomanes. À l'accueil enthousiaste réservé au compositeur, Rubinstein, directeur de l'établissement et mentor du jeune homme, répond par une sévère critique et formule des conseils que Tchaïkovski s'empresse de rejeter. Alors qu'il est susceptible de perdre son emploi, Tchaïkovski reçoit de Nadejda von Meck, une riche veuve qui admire son talent, l'octroi d'une rente pour qu'il se consacre exclusivement à la composition. La veuve refuse de le rencontrer, mais Piotr est tenu de lui envoyer en premier lieu toutes ses compositions et de la divertir par une abondante correspondance.
Dans les années 60, Mère Augustine dirige un couvent catholique québécois qui abrite une école de jeunes filles. Passionnée de musique, elle a donné aux cours de musique une grande place dans l'enseignement des pensionnaires. Le calme du pensionnat est soudainement brisé par l'arrivée en cours d'année de la nièce de Mère Augustine, Alice Champagne, une pianiste brillante mais une élève turbulente. Et, pour ne rien arranger, le pensionnat est menacé par l'ouverture au Québec de nombreuses écoles publiques gratuites. Mais les sœurs ne comptent pas rester oisives face à la situation.
Le film s'ouvre sur le survol d'une grande forêt. Des oiseaux s'enfuient, effrayés par un bûcheron qui coupe un arbre à la tronçonneuse. Un écureuil volant se rue dans l'une des cavités creusées dans le tronc, qui se trouve être le nid où vient de mettre bas sa compagne. Le père transporte ses enfants un par un sur un autre arbre, mais l'un d'eux lui échappe et disparaît en contrebas. N'ayant pas le temps de se laisser aller à son désespoir, il continue de mettre sa progéniture en sûreté.
Cinquante-huit ans après Fantasia, ce film est composé de huit séquences illustrant huit morceaux de musique classique, interprétés pour la plupart par l'Orchestre symphonique de Chicago sous la direction de James Levine. Chaque séquence est précédée d'une courte présentation par des artistes ayant travaillé pour les studios Disney.
Après la Seconde Guerre mondiale, les Forces Alliées organisent une vaste campagne de « dénazification » en Allemagne. Le major américain Steve Arnold est alors chargé d'enquêter sur le prestigieux chef d'orchestre Wilhelm Furtwängler...
Dans un oratoire du XIII siècle, un orchestre symphonique (formation d'une quarantaine de musiciens) répète une œuvre de Nino Rota (même si le nom du compositeur n'est jamais mentionné). Le représentant syndical de l'orchestre vient prévenir les musiciens qu'une équipe de télévision va venir filmer la répétition, et interviewer les musiciens qui le souhaiteront.