Au cours de l'exode de 1940 en France, un convoi de civils est mitraillé. Paulette, cinq ans, perd ses parents et se met à errer dans la campagne, serrant dans ses bras le cadavre de son chien. Dans les bois, elle rencontre Michel, un garçon de dix ans, qui l'emmène vivre dans la ferme de ses parents. Réticent au début, le père de Michel accepte l'arrivée de Paulette, plus par peur que les Gouard, ses voisins et ennemis jurés, le fassent et en tirent une quelconque gloire, que par charité.
Sur un bateau qui vient d'appareiller de Marseille, des juifs, rescapés du génocide, embarquent pour immigrer illégalement vers Israël alors sous mandat britannique. Tandis qu'un des lieutenants du bord installe les nouveaux venus dans les cales du navire, il découvre par hasard deux passagers clandestins.
Un homme d'une soixantaine d'années demeure avec sa nièce dans une maison du Dauphiné, dans la France occupée pendant la Seconde Guerre mondiale. La Kommandantur envoie un officier allemand loger chez eux, en zone libre. Le père de cet officier, qui avait survécu, avait lui connu la défaite de l'Allemagne face à la France, durant la Première Guerre mondiale.
Ce film retrace la résistance des cheminots français pendant la Seconde Guerre mondiale et leurs efforts (sabotage des trains et des voies) pour perturber la circulation des trains pendant l'occupation nazie.
Le commandant Gérard et sa troupe de maquisards ont déniché la planque idéale : une maison de santé dans les Alpes où, mêlés à des aliénés mentaux, se cachent également une jeune juive ainsi qu'un médecin suisse qui pourrait bien être un espion à la solde des Allemands…
En France pendant la Seconde Guerre mondiale, sous l'occupation allemande, Édouard Martin qui a toute l'apparence d'un père tranquille, est un chef important de la résistance à l'insu de sa famille. Il est secondé par Simon et Pelletier qui est secrètement amoureux de sa fille Monique. Celle-ci découvre les activités de son père et voit naître son amour pour Pelletier. Alors que se prépare une action sur l'usine voisine, le jeune Pierre Martin s'enfuit de la maison pour rejoindre le maquis. Pour éloigner sa famille et les voisins du bombardement de l'usine, Édouard Martin organise les fiançailles de Pelletier et de sa fille en ville, ce qui alerte la police allemande qui l'arrête. Blessé mais sauvé par les maquisards, le père tranquille est reconnu avec fierté par son fils.
L'année du bac dans un lycée. Mais cette année là, les élèves ont plus l’esprit au marché noir qu'aux études. L'arrivée de la ravissante Mlle Bravard, professeur de philosophie, stimule les élèves qui réussissent leur examen. L'un d'eux tombe amoureux de la jeune enseignante...
Amiens, sous l'Occupation. Un certain nombre de Français sont incarcérés et doivent servir d'otages si le convoi d'essence arrêté en gare doit subir un attentat. Celui-ci a lieu, les otages seront fusillés au matin. La nuit passe avec des réactions diverses de la part des prisonniers. Prévenue par radio, la Royal Air Force bombarde la prison au moment de l'exécution. Les condamnés qui réchappent de l'opération gagnent le maquis.
Le film commence dans un bureau des services de renseignements français à Londres. Un officier, du deuxième bureau, assisté de son homologue anglais, interroge John Dougall, sergent de la RAF qui s'est enfui d'Allemagne en compagnie d'un autre détenu, sur les conditions de son arrivée dans la capitale britannique. John Dougall s'exécute de bonne grâce.
En 1943, le criminel Jean Picard est sur le point d'être exécuté lorsque la prison est bombardée. Il réussit à s'évader mais est arrêté près de la frontière espagnole par l'inspecteur Marcel Bonet. Le train qui les ramène à Paris se retrouve bloqué à la suite du sabotage d'un pont. En réponse, les Allemands arrêtent une centaine d’otages qu'ils menacent d'exécuter si le saboteur ne se dénonce pas. Y voyant un moyen de s'échapper, Picard suggère que, comme il est condamné à mort de toute façon, il pourrait se dénoncer et ainsi mourir pour une bonne cause. Bonet finit par accepter. M Maret, une commerçante dont le fils fait partie des otages, pousse sa vendeuse, Marianne, de flirter avec Picard, pour qu'il reste au village et qu'il soit dénoncé comme étant le saboteur.
1942 : Albert Lory, un célibataire d'âge mûr, instituteur dans un village que l'on devine en France occupée (aucune référence géographique n'est faite), est amoureux d'une jeune collègue, Louise Martin. Mais, timide et vivant avec sa mère possessive, il n'ose pas se déclarer. De plus, Louise est fiancée à Georges Lambert qui s'avère être un « collaborateur » de l'occupant allemand. Les agissements de Georges, ceux du frère de Louise, Paul qui est un résistant, et ceux enfin des Allemands qui procèdent à des arrestations, entraînent Albert vers une prise de conscience et un élan patriotique...
Durant la Seconde Guerre mondiale, en 1941, un appareil de reconnaissance de la Royal Air Force, en mission au-dessus de la France, est abattu à proximité de Paris. Ses cinq occupants, traqués par les soldats de la Wehrmacht, parviennent à rejoindre la capitale. Parmi eux (outre « Baby » — grièvement blessé par un tir ennemi —, Robin, Splinter et Geoffrey), se trouve l'aviateur français Paul Lavallier qui a rallié en Angleterre les Forces françaises libres. Cherchant à contacter les services secrets britanniques opérant à Paris, il sollicite l'aide de son ancien professeur de latin, le père Antoine, prêtre à l'Église Saint-Julien, Place Jeanne d'Arc. En outre, pisté depuis le Café Langlars (face à l'église) par un agent de la Gestapo, Paul se réfugie dans l'appartement de Jeanne, jeune serveuse du café. D'abord réticente, elle accepte d'aller délivrer un message à Mademoiselle Rosay, une institutrice en contact avec les services secrets, en vue d'organiser un retour en Angleterre. Pendant que le plan d'évacuation des cinq aviateurs se met en place, Jeanne et Paul tombent amoureux l'un de l'autre. Mais l'étau se resserre, orchestré par le chef de la Gestapo, Herr Funk.
Félix Raffut, un châtelain périgourdin affolé par l'invasion allemande, effectue l'exode de sa famille et de son mobilier vers des lieux supposés hospitaliers.