Pendant la Seconde Guerre mondiale, une autre « guerre » sévit entre deux clans d'enfants des villages de Longeverne et Velrans (noms fictifs), dans la Haute-Loire. L'enjeu est d'obtenir le plus grand nombre de boutons possible de l'autre camp. Violette, une jeune fille juive, est protégée par la mercière du village à la demande de ses parents déportés. Mystérieuse sur ses origines, la jeune fille ne tarde pas à être démasquée. Lebrac, le chef des Longeverne, tombe amoureux de Violette.
Ce film documentaire est sorti à l’occasion du cinquantenaire des événements survenus au moment et après la manifestation pacifique des Algériens du 17 octobre 1961 à Paris durant la guerre d'Algérie, organisée par la Fédération de France du FLN en réaction à un couvre-feu institué par le préfet de police Maurice Papon pour les seuls Algériens favorables à l'indépendance de leur pays. La manifestation pacifique sera très sévèrement réprimée par les forces de l'ordre dont le nombre de victimes est estimé entre 80 et 200 morts. Les cadavres seront, pour certains, retrouvés flottant dans la Seine.
À la fin des années 1970, quand il est accusé par une interview dans L'Express d'être responsable de la tristement célèbre rafle du Vélodrome d'Hiver, le passé rattrape René Bousquet, ancien secrétaire général de la police du régime de Vichy reconverti dans la finance. Pendant quinze ans, il tente de se défendre d'avoir commis un crime contre l'humanité, avec l'aide de ses proches et surtout de ses relations bien placées.
En 1949, trois amis d'enfance âgés de 20 ans, quittent leur village natal de Charente-Maritime pour l'Indochine. Alors qu'ils découvrent l'amour, ils se retrouvent pris dans la tourmente de la guerre d'Indochine.
Quelques mois après la débâcle française, le lieutenant Pierre Mendès France est conduit à la prison de Clermont-Ferrand. Arrêté au Maroc comme déserteur, le député de l'Eure prépare sa défense avec ses avocats, expliquant pourquoi il a quitté le pays (affaire du Massilia). En juin 1940, désespéré de ne pas avoir reçu de mission sur le front, il se rend au ministère de la Guerre, où il a l'ordre de rejoindre Mérignac, près de Bordeaux...
Algérie, 1960. Une section de parachutistes français est envoyée à la recherche d'un avion disparu dans le désert. L'épave de l'avion est rapidement localisée, mais il n'y a aucun survivant, juste une mallette estampillée « secret défense. » Assaillie par des soldats ennemis de l'ALN, la troupe trouve alors refuge dans une étrange citadelle qui semble abandonnée. Malgré les mises en garde de la gardienne des lieux, ils réveillent les Djinns, les esprits maléfiques du désert qui font s'entretuer les hommes de la patrouille.
À l'issue de la Seconde Guerre mondiale sur le front de l'Ouest, les manifestations pour l'indépendance de l'Algérie deviennent de plus en plus fréquentes en Algérie jusqu'aux massacres de Sétif, Guelma et Kherrata, dans le Constantinois, à partir du 8 mai 1945. Les scènes finales évoquent le massacre du 17 octobre 1961 à Paris.
France, 1563. Protestants et catholiques se livrent une lutte sans merci pour la terre et le pouvoir. Henri IV a pris la tête des protestants et marche sur Paris, prêt à en découdre avec les catholiques et notamment avec la rivale de sa mère : la puissante Catherine de Médicis. La réconciliation entre les deux clans semble à portée de main, lorsque la Reine offre sa fille Margot en mariage. Les noces tournent au bain de sang... Henri ne survit au massacre de la Saint-Barthélémy que pour être fait prisonnier. Incarcéré au Louvre, il y passe 4 ans avant de pouvoir s'échapper. Il passera le reste de sa vie à s'opposer par tous les moyens dont il dispose à ceux qui n'ont ni sens moral ni humanisme. Pour y parvenir, il n'hésitera pas à changer de religion. Les épreuves qui jalonnent son accession au trône façonneront le monarque qu'il devint : le premier vrai humaniste.
Entre 1946 et 1954, pendant la guerre d'Indochine, plus de 60 000 soldats d’Afrique furent engagés en Extrême-Orient contre le Viet Minh. Là-bas, des liens se créent entre des Vietnamiennes et des soldats africains. Des enfants naissent. Certains d’entre eux sont laissés à leur mère, d’autres sont emmenés en Afrique. À partir de l’histoire de Christophe, un Africasien de 58 ans, Idrissou Mora-Kpai raconte l’histoire de ces enfants métissés mais aussi les combats contre nature qui opposaient Africains colonisés et Vietnamiens luttant pour leur indépendance.
Ce film évoque l'arrestation par des policiers français, le 16 juillet 1942 et leur détention au Vélodrome d'Hiver, dans des conditions épouvantables, des treize mille cent cinquante-deux victimes de la rafle du Vél' d'Hiv', avant leur déportation, au bout de quelques jours, vers le camp de transit de Beaune-la-Rolande (Loiret) puis le camp d'extermination d'Auschwitz-Birkenau.
Julia, une journaliste américaine vivant à Paris dans les années 2000, prépare un article lié à la rafle du Vél' d'Hiv' et recherche les traces d'une petite fille juive déportée en 1942 lors de cette rafle, Sarah.
Marc, la quarantaine, marié, père de famille, vit à Aix-en-Provence, près de la Méditerranée. Agent immobilier dans l'agence de son beau-père, il mène une vie tranquille. Alors qu'il fait visiter une maison à vendre, il croise une femme qui veut acheter cette maison pour le compte d’un marchand de bien et dont le visage lui semble familier. Le soir, il pense qu'il s'agit de Cathy, son amour d'enfance, quittée à douze ans lorsque sa famille dut fuir Oran, dans les années 1960, en pleine guerre d'Algérie. Troublé par cette rencontre il se remémore son amour d’enfance et retombe follement amoureux d’elle, oubliant sa femme et sa fille. Il la revoit et a une relation sexuelle avec mais elle le quitte au matin sans lui donner ses coordonnées en lui disant simplement qu’ils se reverront le jour de la signature du compromis de vente chez le notaire. Ils se revoient ce jour là mais après elle disparait de nouveau bien que lui ayant promis de le revoir à son hotel. Marc est troublé et se rend compte qu’il y a des choses étranges car sa mère et sa soeur lui apprennent que Cathy est morte avec son père dans un attentat peu aprés son propre départ précipité vers la France avec ses parents. Il mène son enquête partagé ente espoir et doute car il s’est de nouveau follement épris de celle qu’il croit être Cathy. Au fil de ses découvertes il découvre que « Cathy » est mêlée plus ou moins malgré elle a une opération immobilière frauduleuse montée par un des collègues de Marc et qu’en fait la dite Cathy est en réalité sa meilleure amie Marie-Jeanne (amoureuse de Marc lorsqu’ils étaient tous ensemble) que Marc avait cotoyé mais ignoré car à l’époque il n’avait d’yeux que pour Cathy. Cathy qui est bien morte en Algérie comme sa mère et sa soeur le savaient mais ne lui en avaient rien dit à l’époque car sachant son amour pour Cathy et son désespoir d’avoir du quitter l’Algérie et son amour d’enfance. Quelques mois plus tard alors que Marc est séparé de sa femme et vit seul il revoit Marie-Jeanne (la fausse Cathy) qui lui avoue avoir toujours été amoureuse de lui et a souffert en silence dans l’ombre, elle n’a jamais dit être Cathy mais éprouvant encore de l’amour pour lui elle n’a pas eu le courage de le détromper. Ils se revoient quelque temps plus tard et Marc lui dit qu’il va revenir sur les lieux de son enfance mais elle avoue ne pas en avoir le courage. Le film se termine à Oran où on voit Marc en pleurs qui revient sur la terrasse où il a passé de tendres moments avec Cathy. On ne sait pas comment se poursuivrait la relation entre Marie-Jeanne et Marc mais ils semblent néanmoins très proches lors de leur dernière entrevue avant le depart de Marc pour l'Algérie donc on peut supposer une suite positive a leur relation.
Paris 1944. Jeanne Devère, femme libre, s’est engagée aux côtés de son mari dans la résistance. Elle écrit dans le journal clandestin Action, que son amant Marc Hétier distribue en risquant sa vie. Victor Devère et d’autres membres du réseaux, vont être arrêtés, puis, pour certains d’entre eux déportés et tués. Jeanne apprend alors que c’est son amant qui les a dénoncés… Elle n’a plus qu’une idée en tête, celle de se venger. Jeanne Devère continue à écrire, mais un roman cette fois, pour raconter son histoire.
En juillet 1942, la France met en œuvre des rafles à l'encontre des Juifs. Un enfant prend la fuite en pleine nuit, il trouve refuge à la mosquée de Paris. Les SS qui assistent l'opération ne veulent pas de fuite et se décident à traquer tous les fuyards, ils vont mettre au jour un réseau d'entraide mis en place à la mosquée de Paris, les musulmans aident les Juifs et ils ne vont pas laisser passer cela.