Ce documentaire traite de Fred A. Leuchter Jr. qui a travaillé dans le domaine des techniques d'exécution, puis témoigné en faveur du négationniste Ernst Zündel lors de son procès en 1988, avant de voir ses qualifications et titres démentis et de perdre son emploi.
Ce documentaire tente de décrypter les commentaires tenus sur le conflit israélo-palestinien et de répondre aux questions suivantes : comment parle-t-on du conflit au Proche Orient ? Comment parle-t-on de ses protagonistes ? Pourquoi ces troubles font-ils l'objet de passions aussi fortes ? Quelle est la mécanique des médias qui instruisent l'opinion ?
Le réalisateur Neil Diamond, lui-même Indien Cree, donne la parole à des gens de cinéma connus pour leur regard acéré sur l'image et la place des Amérindiens dans le western américain : les cinéastes Clint Eastwood, Zacharias Kunuk et Jim Jarmusch, les acteurs Wes Studi et Graham Greene.
« Quand les hommes sont morts, ils entrent dans l'histoire. Quand les statues sont mortes, elles entrent dans l'art. Cette botanique de la mort, c'est ce que nous appelons la culture. »
Le film fut à l’origine tourné avec une bande son en allemand pour être projeté dans l’Allemagne et l’Autriche occupées. Il s’agit du premier documentaire montrant ce que les Alliés découvrirent lorsqu’ils libérèrent les camps d’extermination nazi : les survivants, les conditions de vie, et la preuve d’un génocide. Le film fait état des aspects économiques de l’opération des camps. Des membres du personnel de ceux-ci, faits prisonniers, y sont interrogés. Et l’on y voit la visite forcée des habitants de villes voisines qui, de même que leurs compatriotes, sont accusés de complicité dans les crimes nazi – c’est l’une des rares condamnations de cette sorte enregistrées dans les archives alliées de la Seconde Guerre mondiale. Au même moment Samuel Fuller tournait son premier film amateur au camp de Falkenau, mais ces images ne seront visibles qu'en 1988, incluses dans Falkenau, vision de l’impossible, documentaire d’Emil Weiss.
On a summer night in Detroit, two white unemployed autoworkers fatally beat Vincent Chin, a 27-year-old Chinese engineer, with a baseball bat. The film tracks the incident from the initial eye-witness accounts through the trial and its repercussions for the families involved, and the American justice system at large. After an outcry from the Asian American community led by Vincent's mother Lily Chin, the case becomes a civil rights Supreme Court case. The case ends with tried killer Ronald Ebens let go with a suspended sentence and a small fee.
L'histoire du mouvement pour les droits civiques aux États-Unis a toujours été rythmé par de la musique, des mélodies salvatrices, des chants pour la liberté. A travers les différents groupes musicaux de l'époque, "Soundtrack for a Revolution" retrace les combats des esclaves noirs de l'époque.