En 1934, en pleine période de ségrégation raciale, Jesse Owens arrive à l'université d'État de l'Ohio pour travailler avec les meilleurs entraîneurs de l'époque. Ce petit‐fils d’esclave va y développer une relation étonnante avec un entraîneur blanc, Larry Snyder. Devenu entraineur d’avant‐garde, obsédé par la réussite, il ne fait aucune distinction de couleur entre ses protégés, contrairement à ses collègues. Les deux athlètes n'ont qu'un objectif : les Jeux olympiques d'été de 1936 à Berlin.
Le film s'inspire librement de l'histoire vécue de deux athlètes britanniques concourant aux Jeux olympiques d'été de 1924 à Paris. L'Anglais Harold Abrahams (interprété par Ben Cross), juif, surmonte l'antisémitisme et la barrière de classe pour pouvoir se mesurer à celui que l'on surnomme l'Écossais volant, Eric Liddell (Ian Charleson) au 100 mètres. Liddell, fervent pratiquant protestant presbytérien, déclare cependant forfait car ses convictions lui interdisent de courir un dimanche. À la place, Liddell est autorisé à prendre le départ du 400 mètres, un jeudi.
Derice Bannock a un rêve dans la vie : aller aux Jeux Olympiques et faire aussi bien que son père, Ben Bannock, célèbre sprinter jamaïcain et champion olympique du 200 mètres à Mexico, en 1968. Pour cela, Derice s'entraîne dur tous les jours et peut compter sur le soutien de sa femme et de son ami de toujours, Sanka Coffie, un bon vivant insouciant, possédant des royales rasta dreadlocks sept fois champion de push cart. Le jour des sélections sur 100 mètres, Derice est considéré comme le favori, mais à mi-course, son concurrent Junior Bevil, fils d'un riche bourgeois de Kingston, qui court contre l'avis de son père, l'entraîne dans sa chute, ainsi qu'un troisième athlète : Yul Brenner. Malgré les réclamations, le président de la Fédération jamaïcaine refuse de faire recourir la course.
Dans un petit village de callabre des annees soixante, Mimi, jeune adolescent, ne pense qu'a une chose: courir, pieds nus a travers la campagne. Il court par plaisir. C'est ainsi qu'il attire l'attention d'un vieux chauffeur de car, Felice qui le prend sous son aile malgre l'opposition de Nicola, le pere de Mimi qui veux que son fils étudie pour avoir une autre vie que la sienne.
Biographie de Jim Thorpe, héros malheureux des Jeux olympiques de 1912 qui remporta deux médailles d'or dans les épreuves combinées d'athlétisme. Jim Thorpe s'illustra également en football américain.
My Run tells the true story of two journeys. The first, which began in 1984, opens the film when Terry Hitchcock's wife Sue dies of breast cancer. Only a few days later he loses his job. Suddenly, he finds himself alone with his three young children and no income.
The films starts in 1987 with the doctors struggling to protect a woman and her baby. Meanwhile, the woman's husband prays to his native deity that if his wife delivers his baby successfully, he would name the baby with the name of the deity. The baby is born without any problems and as per the wish, they name the baby, Kunjithapadham (Sivakarthikeyan).
Tchécoslovaquie années 80, Anna, jeune et talentueuse sprinteuse sélectionnée dans l’équipe nationale, s’entraîne pour la qualification aux Jeux Olympiques. Ses entraîneurs lui administrent à son insu des stéroïdes anabolisant. Ses performances s’améliorent spectaculairement mais après un malaise lors de l’entraînement, elle apprend la vérité. Anna décide de poursuivre l’entraînement sans dopants, au risque de ne plus être à niveau, ce qui inquiète sa mère qui voit dans cette qualification aux J.O. l’opportunité pour sa fille de passer derrière le rideau de fer. Après que la jeune sportive finisse derrière lors d’une course, sa mère informe le coach qu’elle ne prend plus de stéroïdes. Ils décident ensemble de lui en injecter secrètement, sous prétexte de lui administrer de simples vitamines.
Tomboyish Ilocano girl Thelma (Maja Salvador) discovers she's got a gift for speed. But while her talent creates new opportunities, it also presents new challenges for her and her family.