Un homme s’avance sur une barque. Depuis déjà plusieurs années, Rahmat est chargé d’aller recueillir les larmes des habitants des îles voisines sans qu’aucun d’entre eux ne sache pourquoi.
A well-known Iranian director, Mohsen Makhmalbaf, plans to make a film for the celebration of the 100th anniversary of cinema. He placed an advertisement in a newspaper in order to hire one hundred actors. He has prepared 1000 application forms, but 5000 people show up. The result is a riot in which the applicants are trampled on and wounded. Mohsen Makhmalbaf auditions dozens of men and women in front of the camera; their statements, which are by turns funny and touching, reveal the reality of life in Iran. Thus, the director enables us to see and understand those intellectuals, students and children and above all the women, who can not normally be heard or seen. It shows, once again, that cinema is of vital importance in countries such as Iran.
La vie d'un vieux garde-barriere bascule le jour ou il recoit son avis de mise a la retraite. Remplace par un jeune, il doit quitter avec sa femme la maison ou ils ont vecu la plus grande partie de leur vie. Ils n'ont nulle part ou aller.
Zaer Mohammad est un honnête travailleur de Tangsir près de Bushehr qui aime sa femme et ses enfants. Il a prêté son argent à des marchands de la ville, mais ceux-ci refusent de le lui rendre à terme. Il se sent offusqué par l'insolence de ces gens qui refusent de lui rendre ce qui lui revient de droit, tout ce qu'il avait économisé pendant des années pour le bien de sa famille. Malgré sa foi, il décide de faire justice lui-même et se venger de ceux qui ont usurpé ses économies.
In Iran, there are different sections for men and women on public buses. Women enter buses from the back door, which is separated from the men’s entrance, and should sit or stay in a limited zone at the end of the buses which is separated from men’s zone. But Farahnaz Shiri, the first female bus driver in Tehran, has made her own little society in her bus. In this bus everything is vice versa. Mrs. Shiri is the governor and the only law maker of her own little society. In her bus, men must enter from the backdoor entrance and must sit or stay in the limited zone at the end of the bus.
Durant toute la journée de mardi, et la soirée de l'avant-veille du dernier mercredi de l’année du calendrier iranien (Chaharshanbeh suri), Fahradi décrit la vie des locataires dans un grand immeuble et celle d’une jeune femme de ménage, Rouhi,fraîchement fiancée et envoyée par une agence privée pour le dernier nettoyage traditionnel avant l’arrivée du Nouvel An (Norouz, le 21 mars selon le calendrier iranien). Les autres protagonistes sont un couple en crise (la femme, Mojdeh, est convaincue que le mari, Morteza, entretient une liaison avec une coiffeuse divorcée, Simin, habitant et travaillant dans l'appartement voisin) et la voisine soupçonnée. Cette crise conjugale affecte également la vie de la jeune femme de ménage et sa vision du couple et du mariage.
Iran, au début des années 2000. C'est l'anniversaire d'Akbar, 18 ans. Mais dans le centre de détention, c'est une terrible nouvelle : condamné à mort, il est à présent susceptible d'être exécuté.
Fati, une fille violée, se donne la mort en absorbant du poison. Son frère aîné, Farman, décide de se venger, mais pour ne pas briser son serrement à ne pas toucher l’arme blanche, ira à main nue se confronter l’agresseur, Mansour. Ce dernier à l’aide de ses deux frères, Karim et Rahim s’en prennent à lui, et ils le tuent. Revenant d’un voyage au sud du pays, Qeysar, le frère cadet de Farman, ira à son tour se venger. Il tue Karim dans un bain public, et Rahim dans l’abattoir. Il ira ensuite à Meched , et en retour apprend la mort de sa mère. Au cimetière, à l’aide de sa fiancée, Azam, il échappe aux policiers qui étaient déjà à sa trousse pour l’arrêter. Une danseuse de cabaret, Shahrzad lui apprend qu’il pourra trouver Mansour à la gare. Qeysar se trouve Mansour et le poignard, et il tombe aux mains des policiers qui le blessent en tirant dans sa direction.
Le film débute en flash back alors que le narrateur, Ali Bolourchi, joueur de santour (Bahram Radan), relate sa vie après la séparation avec sa femme Hanieh (Golshifteh Farahani). Désormais, Ali gagne sa vie en jouant de la musique dans les noces et les réceptions, souvent en échange de drogue, au lieu d'argent, à cause de sa dépendance à l'héroïne.
Leila et Reza forment un couple moderne iranien, et sont contents de leur mariage récent. Un jour, Leila apprend qu’elle ne pourra pas concevoir un enfant. La mère de Reza insiste sur le fait que son fils unique doit avoir un enfant. Malgré le consentement de Reza pour ne pas en avoir, sa mère lui suggère de se marier avec une autre femme. Il refuse catégoriquement cette idée. La mère le pousse inlassablement à le faire. Leila étouffe entre les deux mondes. Un moment, elle est transportée par la joie de passer un temps avec Reza et le moment d’après tiraillée par sa belle-mère obsédée. Ce qui s’ensuit est une histoire extraordinaire.
Mina est une petite fille qui doit retrouver sa mère à la sortie de son école, mais celle-ci se fait attendre et Mina se sent capable de rentrer chez elle par ses propres moyens. Elle croisera une multitude de personnes avec qui elle se confiera elle mentira, têtue et obstinée, surtout imprevisible, toujours pour se retrouver dans sa course effrenée sur le chemin du retour à la maison. La situation du film s'en trouvera même bouleversée, car la volonté des enfants est plus forte que celle des adultes qui leur courent après.
Qassem, un jeune garçon de province passionné de football, décide de monter à la capitale pour assister à un match important. Avec l'aide de son ami, il fait l'impossible pour réunir l'argent nécessaire...
L'histoire du film est plutôt basée sur la relation du peintre avec les divers monarques d'Iran. La distribution des rôles est surtout confiée aux acteurs iraniens les plus connus comme Jamshid Mashayekhi interprétant le peintre, et Ezzatollah Entezami qui incarne Nasseredin Shah.