The plot is loosely connected to the documental stories published in Jim Corbett's 1944 bestselling book Man-Eaters of Kumaon. Narrator of the film is Jim Corbett. In the film, Corbett, who is portrayed by Christopher Heyerdahl, is asked to kill a man-eating tiger who killed a young woman in Kumaon. Corbett arrives to Kumaon and meets with local people. The sister (Mishra Smriti) of the victim takes Corbett to the killing site. They together ambush the man-eater and Corbett kills the tiger from the machan. During this plot, the narration (by Corbett) contains stories of the history of India and the Kumaon region, as well as the efforts to save Indian tigers.
During the dive the aquanaut examines various fish species, plays with dolphins and explores an old wreck. Thereby he also gets into dangerous situations.
Les paléontologues du Musée américain d'histoire naturelle partent à la rencontrent des dinosaures du Triassique, du Jurassique et du Crétacé, du désert de Gobi en Mongolie aux spectaculaires paysages de grès du Nouveau Mexique. La magie de l'image numérique permet aux spectateurs de voir, à partir de ces récentes découvertes, des dinosaures... vivants !
The documentary follows Fuck for Forest, or FFF, a non-profit environmental organization founded in 2004 in Norway by Leona Johansson and Tommy Hol Ellingsen, which raises money for rescuing the world's rainforests by producing pornographic material or having sex in public.
Une mer forte lance de puissantes lames à l’assaut de la digue de Douvres. Le film, prévu pour être visionné individuellement sur les kinétoscopes contrefaits, est enregistré certainement entre 30 et 40 images par seconde, ce qui, par la suite avec les appareils de projection qui tournent à l'époque à 16 images par seconde, donne un rendu impressionnant, dû au ralenti .
Prominent scientists Dr. William Beebe and Otis Barton, using the Bathysphere invented by Barton, descend several thousand feet to the ocean floor off the shores of Bermuda to study and film sea creatures seen and filmed at that depth for the first time.
Sur le littoral de l’Androy, région la plus au Sud de Madagascar, les conditions climatiques autorisent rarement les pêcheurs à exercer leur métier. Les dunes envahissent les plages et de grandes superficies de terres cultivables sont ensevelies jour après jour. Le pire ? Il manque le plus élémentaire des besoins : l’eau. Pour calmer la faim et la soif, tout le village se rabat sur le « raketa mena », un cactus qui répond au nom scientifique tout à fait charmant d’Opuntia stricta. Ce cactus rouge est en fait une plante invasive qui assèche les terres. Que fait l’état dans tout ça ?