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Derek Taylor est un Acteur Britannique né le 7 mai 1932 à Liverpool (Royaume-uni)

Derek Taylor

Derek Taylor
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Nationalité Royaume-uni
Naissance 7 mai 1932 à Liverpool (Royaume-uni)
Mort 7 septembre 1997 (à 65 ans)

Derek Taylor (7 May 1932 – 8 September 1997) was an English journalist, writer and publicist. He is best known for his work as press officer for the Beatles and the Beach Boys, creating campaign taglines such as "The Beatles Are Coming" and "Brian Wilson Is a Genius".

Taylor started his career as a local journalist in Liverpool aged 17 working for the Hoylake and West Kirby Advertiser followed by the Liverpool Daily Post and Echo before becoming a North England-based writer for national British newspapers that included the News Chronicle, the Sunday Dispatch and the Sunday Express. He also served as a regular columnist and theatre critic for the Daily Express from 1952.

A trusted confidant of the Beatles, Taylor remained particularly close to George Harrison and John Lennon long after the band's break-up. In addition to working as editor on Harrison's 1980 autobiography, I, Me, Mine, Taylor authored books such as As Time Goes By, The Making of Raiders of The Lost Ark, Fifty Years Adrift (In An Open Necked Shirt) and It Was Twenty Years Ago Today.

Biographie

Taylor was married to Joan Taylor (née Doughty) from 1958 until his death. The couple had six children: Timothy, Dominic, Gerard, Abigail, Vanessa and Annabel. Joan Taylor appeared in his stead in the documentary George Harrison: Living in the Material World.

Le plus souvent avec

Ringo Starr
Ringo Starr
(1 films)
John Lennon
John Lennon
(1 films)
Mal Evans
Mal Evans
(1 films)
Source : Wikidata

Filmographie de Derek Taylor (2 films)

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Acteur

Inguélézi, 1h40
Réalisé par François Dupeyron
Origine France
Genres Drame
Acteurs Marie Payen, Éric Caravaca, Françoise Lebrun, Mar Sodupe, Bernard Blancan, Jean-Michel Portal
Rôle Douanier
Note66% 3.349033.349033.349033.349033.34903
Une femme qui vient de perdre son mari se retrouve sur la route devant un accident: un camion est en feu. Elle apprend à la radio que ce camion transportait des clandestins. c'est alors qu'elle trouve dans son coffre un homme hagard qui répète en boucle le mot « Inguélézi ». Elle décide de l'aider à passer en Angleterre.
Let It Be
Let It Be (1970)
, 1h21
Réalisé par Michael Lindsay-Hogg
Origine Royaume-uni
Genres Documentaire, Musical
Thèmes La musique, Documentaire sur la musique, Documentaire sur une personnalité, Musique, Les Beatles
Acteurs Billy Preston, George Harrison, The Beatles, John Lennon, Paul McCartney, Yoko Ono
Rôle Self (uncredited)
Note76% 3.8467953.8467953.8467953.8467953.846795
En décembre 1968, le réalisateur Michael Lindsay-Hogg tourne The Rock and Roll Circus, un évènement musical organisé par les Rolling Stones auquel participent notamment John Lennon et sa femme Yoko Ono. Aussitôt terminé, le réalisateur se voit offrir, par Paul McCartney, l'opportunité de tourner un documentaire sur l'enregistrement du prochain album des Beatles. Accompagnés par l’équipe de tournage, le groupe se réunit à partir du 2 janvier 1969 dans les studios de cinéma de Twickenham, où ils avaient déjà tourné des scènes pour A Hard Day's Night et Help! et commence à enregistrer. Yoko Ono est présente aussi, assise à côté de John Lennon. L'ambiance est tendue, des désaccords apparaissent, sans compter le fait que les membres du groupe n’apprécient pas les conditions dans lesquelles ils répètent dans cet endroit particulier, sous l'œil de deux caméras tournant en continu. Chaque jour, ils commencent à travailler tôt le matin, ce qui les change profondément de leurs séances nocturnes habituelles aux studios Abbey Road. « Nous n'arrivions pas à nous y habituer, se souviendra Lennon. Les studios Twickenham étaient devenus un endroit cauchemardesque, où il fallait se rendre matin après matin. Nous ne pouvions vraiment pas faire de la musique dès huit heures du matin ni même à dix heures, avec ces objectifs attachés à nos moindres gestes, avec tous les techniciens gravitant autour de nous, attentifs à fixer même nos bâillements. » Durant ces séances, les Beatles jouent de tout et de rien, beaucoup (près de 100 titres seront abordés), font le « bœuf » (jamming), souvent mal, faux et sans conviction.