L'histoire commence sur les tentatives du Roi Arthur de recruter des chevaliers de la Table Ronde à travers la Grande-Bretagne. Plusieurs d'entre elles se révèlent vaines (la rencontre du Chevalier Noir par exemple, ou celle des paysans anarcho-syndicalistes) mais il est finalement rejoint par Sir Bedevere le Sage, qu'il rencontre au cours du jugement d'une prétendue sorcière.
Dans les années 1950, à Rome en Italie, un modeste fonctionnaire à la retraite, Umberto Domenico Ferrari, a malheureusement une pension insuffisante pour vivre. Habitant avec son chien "Flyke" chez une logeuse intransigeante et pingre, il essaie de trouver les fonds nécessaires au paiement de son loyer. Pour cela, il doit se démunir petit à petit de tout ce qui lui tient à cœur. Malgré ses efforts, il ne parvient toujours pas à rembourser ses dettes. Il est hospitalisé pour de la fièvre persistante et fait alors semblant d'être pieux pour pouvoir dormir gratuitement quelque temps à l'hôpital, dont les infirmières sont des nonnes. De retour dans sa chambre, il s'aperçoit qu'on la transforme en salon et que son chien, qui était gardé par la jeune bonne, est absent (la logeuse l'a laissé se sauver). Il part à sa recherche et le retrouve dans un chenil. Umberto demande alors à ses connaissances de lui prêter de l'argent pour vivre, mais toutes feignent d'être pressées ou occupées. Ces refus obligent le vieil homme à envisager quelque chose de terrible pour lui : la mendicité. Mais, trop fier pour être vu en train de faire la manche, il semble prêt à mourir. Il essaie de confier son chien à des personnes qu'il juge attentionnées mais, finalement, celui-ci demeure avec lui et l'empêche de se suicider en s'échappant de ses bras au moment fatidique.
Dans un grand auditorium, le chat anthropomorphe Tom entame un récital de piano interprétant la Rhapsodie hongroise nº 2 de Franz Liszt. La souris anthropomorphe Jerry, réveillé brutalement par les marteaux alors qu'il dormait à l'intérieur de l'instrument à clavier, décide de se venger en perturbant la prestation du chat. Ce dernier continue néanmoins à jouer sans interruption.
Avec son charme insolent et terre-à-terre qui séduit à la fois les enfants et les adultes, la série - qui commence avec "Vinnie-Pukh (1969)" - a depuis développé une sorte de culte et est considérée par beaucoup comme surpassant de manière décisive ses homologues de Disney, même si elle s'intègre difficilement dans le canon officiel. L'animation elle-même est quelque peu grossière et minimaliste, mais cela ajoute au charme de l'ensemble, l'histoire et les personnages prenant vie comme s'ils sortaient tout droit d'un livre d'images. Traduit avec www.
Hana (花, « fleur »), une étudiante âgée de 19 ans, tombe amoureuse d'un étudiant solitaire, qui en vient à partager ses sentiments. Un soir, il lui révèle être un homme-loup, descendant des loups de Honshū, ce qui ne rebute pas Hana. Ils vivent ensemble paisiblement dans un appartement à Tokyo durant deux ans, et ont deux enfants : une fille, Yuki (雪, « neige ») puis un garçon, Ame (雨, « pluie »), qui sont moitié humains, moitié louveteaux. L’homme-loup cache sa nature et travaille comme chauffeur-livreur pour subvenir aux besoins de la famille, mais il meurt accidentellement peu après la naissance d’Ame.
Parker, professeur de musique, rentre un soir du travail et il trouve un chiot Akita errant sur le quai de la gare, où sa cage s'est cassée en tombant. Il décide de le garder alors que sa femme Cate s'y refuse. Parker appelle le chiot "Hatchi", parce que sur son collier est inscrit le chiffre "8" en japonais (Hachikô). Dix-huit mois passent et Hatchi, qui a grandi, accompagne chaque jour Parker à la gare et l'attend tous les soirs à 17 heures, à la même place.
Rémy, un jeune rat, vit dans la campagne française avec son père, Django, son frère, Émile, et un clan de rats, dans le grenier de la maison de Mabel, une vieille dame à la retraite. Contrairement aux membres de sa famille, Rémy est un grand admirateur de la cuisine française. Grâce à son odorat très fin, le jeune rat connaît instinctivement les ingrédients à ajouter aux plats pour les rendre meilleurs et plus subtils. C'est pourquoi il se rend furtivement le soir dans la cuisine pour lire un livre de recettes du chef cuisinier étoilé, Auguste Gusteau, mort récemment après la perte d'une de ses étoiles à cause d'un critique culinaire, Anton Ego, qui s'opposait à l'idée fondamentale de Gusteau selon laquelle « tout le monde peut cuisiner ».
Wallace et Gromit, devenus laveurs de carreaux de vitres et de fenêtres, rencontrent Gwendoline Culdebelier, une vendeuse de pelotes de laine. Celle-ci est accompagnée en permanence par un chien d'aspect féroce, Preston. Pendant ce temps, dans la région, les vols de moutons se multiplient. Gromit, accusé à tort, tentera de prouver son innocence...
L'histoire raconte l'aventure de Duck Dodgers à la recherche de « l’Illudium Phosdex ». Cet élément chimique rare, atome constitutif de la crème à raser, ne se trouve plus que sur la mystérieuse « planète X ». Daffy Duck, accompagné de son « Cadet de l'espace » (Porky Pig), fait des recherches sur un tableau et déduit qu'il faut passer par toutes les planètes marquée d'une lettre, et ceci par ordre alphabétique, pour aboutir « naturellement » à cette planète X. Daffy Duck finit par y atterrir. Il en prend possession au nom de la Terre, au moment où Marvin le Martien fait de même au nom de la planète Mars. Les deux champions planétaires vont devoir s’affronter en un combat où la ruse compte encore plus que la force brute. Au cours de leur recherche de la suprématie sur la planète, Daffy et Marvin se menacent chacun d'un pistolet désintégrateur. Quand Marvin tire, il désintègre Daffy en particules atomiques. Mais heureusement Porky le « réintègre » grâce à un pistolet du même nom. Depuis leur vaisseau respectif, Daffy et Marvin s'espionnent ; puis chacun dirige sur l'autre une arme extrêmement destructrice. La planète est peu après complètement détruite, sauf un petit morceau qui flotte dans l'espace et auquel se raccrochent les trois protagonistes. Tandis que Daffy-Duck Dodgers crie victoire, Porky conclut par un désabusé « Oh la belle affaire.
Ivan Ivanovitch, écrivain et chasseur à ses heures, achète le chien de la race setter, Bim. Alors que son maître se retrouve à l'hôpital, l'animal part à sa recherche. Au gré de ses errances le spectateur découvre une palette de personnages, certains attachants, d'autres moins. Bim finit ses jours en fourrière où son maître manque de peu le récupérer.
Dans une forêt en plein hiver, Daffy enlève tous les panneaux de chasse au canard et s'en sert comme bois de chauffe. Elmer croise Daffy avec une pancarte de la chasse au lapin : il suit une ligne jaune qui mène au terrier de Bugs. Ce dernier se voit menacé par Elmer mais le lapin prétend être un « lapin fricassé », interdit à chasser sans permis. Daffy écrit une permission pour Elmer, mais Bugs lui fait écrire « saison du canard ». À chaque expression utilisant des animaux, Bugs sort un panneau indiquant la saison de la chasse de cet animal et Daffy se fait tirer dessus. Ce stratagème se répète trois fois. Le canard décide d'avoir un briefing avec Elmer : le chasseur tire sur un lapin en neige et rencontre Bugs déguisé en ange. Daffy, incrédule, se fait tirer dessus à deux reprises lorsque Bugs se déguise en canard (le bec de Daffy est plusieurs fois retourné ou démantibulé). Bugs, déguisé en garde forestier, finit par affirmer que c'est la saison du baseball et laisse Elmer tirer dans une balle de baseball qu'il lui a lancé. À la suite d'une question de Bugs Bunny, Daffy finit par révéler la véritable saison de chasse, et se fait alors instantanément massacrer par un groupe de chasseurs.
En pourchassant Jerry, Tom se retrouve mort écrasé par un piano et fut retrouvé au paradis. Mais le guichetier de l'Express Paradis lui annonce qu'avec un certificat de chasser une pauvre petite souris innocente (c'est-à-dire Jerry), il ne peut pas y aller. Il doit alors faire signer à Jerry un certificat d'amitié sous prétexte qu'il finira en enfer...
Près d'une maison est une niche étiquetée «Killer» avec un chien ((Spike) à l'intérieur. Tom passe la tête par dessus le mur et aperçoit un chat femelle (Toodles Galore) dans la fenêtre. Tom apporte avec lui sa contrebasse, puis réveille Spike et le neutralise en le tapant sur la tête avec un maillet et en le ligotant. Tom utilise sa contrebasse comme une perche pour sauter au-dessus de la fenêtre, s'arrêtant pour narguer Spike le long du chemin.
Alors que Bugs Bunny joue du banjo, il dérange Giovanni Jones, un chanteur d'opéra en répétition pour le soir même. Bugs Bunny, après avoir joué du banjo, de la harpe et du tuba, se fait pendre par Giovanni Jones à la branche d'un arbre par... ses longues oreilles de lapin. Bugs lui jure la guerre (et il parodie la célèbre réplique de Groucho Marx : « Of course, you know this means war! »). Le lapin malicieux fait chuter Giovanni Jones dans un tuba en faisant vibrer la scène avant de mettre de l'hélium liquide dans la bouche de ce dernier (la voix devient aiguë).
En 1863, le lieutenant nordiste John Dunbar, qui doit subir une amputation de la jambe à la suite d'une grave blessure durant la guerre de Sécession, remet sa botte, choisit au hasard un cheval nommé Cisco et réagit de manière désespérée et suicidaire en effectuant un aller-retour au galop devant les lignes ennemies ; il échappe miraculeusement aux balles, ce qui encourage ses compagnons à lancer une attaque décisive, et lui permettra par la suite de bénéficier des soins du chirurgien personnel du général, admiratif de son exploit. Une fois décoré et entièrement rétabli, il demande sa mutation dans un avant-poste de l’Ouest sauvage pour échapper à l'horreur du souvenir de la guerre. Il se retrouve seul et satisfait de l'être, dans un « fort » — en réalité une cabane en bois avec une remise séparée — mystérieusement déserté par la petite troupe qui était censée le tenir, et attend l’arrivée de renforts hypothétiques. Il a pour compagnons un jeune loup solitaire qu'il appelle « Chaussettes » (« Two Socks ») et qu'il apprivoise lentement, ainsi que sa fidèle monture Cisco. Mais les renforts n'arrivent pas car les deux seuls hommes qui connaissent la présence de Dunbar dans ce poste avancé meurent avant de pouvoir le signaler : le major déséquilibré qui l'y a affecté se suicide juste après le départ de Dunbar et le muletier qui l'y a conduit avec le chargement de vivres, de matériel et de munitions destiné à la garnison est massacré sur la route du retour par un petit groupe d'Indiens pawnees.