The documentary film was shot at the preamble to the football international match of June 30, 2000, between Tibet and Greenland. For the Tibetans in exile this was the first international match after many decades since the former national team had broke up.
Le film commence avec une chronique du voyage de Rick Ray à travers l'Inde pour interviewer Tenzin Gyatso. Le film alterne entre le présent et le passé récent, introduisant des moments consacrés à l'histoire personnelle de Tenzin Gyatso, le processus de désignation d'un dalaï-lama et son voyage en exil.
Femmes du Tibet : Gyalyum Chemo – La Grande Mère est le premier film d’une trilogie sur les femmes du Tibet et raconte la vie de Dikyi Tséring, la mère de l’un des ambassadeurs les plus influents dans le monde, le 14e Dalaï-Lama.
À l'été 1939, l'alpiniste autrichien Heinrich Harrer fait partie d'une expédition envoyée par le Troisième Reich visant à gravir le Nanga Parbat, un sommet inviolé de l'Himalaya, situé à l'époque aux Indes britanniques, et ce au moment même où éclate la Seconde Guerre mondiale. Harrer abandonne sa femme enceinte en Autriche.
The film chronicles the life of Yiga Gyalnang (played by Namgyal Lhamo), a Tibetan Opera singer after she is abducted and held as a prisoner at the Drapchi Prison in Lhasa, Tibet. The prison has been considered a symbol of control and fear and serves as the backdrop for the film.Although the film is set against the backdrop of the prison, the title of the film serves more as a metaphor for the illegal detention and unlawful persecution of Tibetans inside occupied Tibet.
En dehors de séquences brèves se déroulant en Chine et en Inde, le film se passe entièrement au Tibet. Il commence avec la recherche de la 14e réincarnation du dalaï-lama, Tenzin Gyatso. À la suite d'une vision de Reting Rinpoché (le régent du Tibet), plusieurs lamas se sont déguisés en serviteurs et découvrent l'emplacement d'un candidat prometteur : un enfant né dans une famille de paysans pauvres près de la frontière chinoise. Ceux-ci et d'autres lamas soumettent l'enfant à une épreuve dans laquelle il doit choisir parmi divers objets ceux qui ont appartenu au dalaï-lama précédent. L'enfant passe l'épreuve avec succès ; lui et sa famille sont amenés à Lhassa, où il sera installé comme dalaï-lama quand il grandira.
Milarépa naquit au Tibet, au XI siècle, au sein d’une famille de riches marchands. À sa mort, son père confie l'héritage de la famille à son frère jusqu’à l'entrée de Milarépa dans la vie adulte. Pourtant, l’oncle s’approprie l'héritage et exploite la mère et la jeune sœur de Milarépa. Désespérée, sa mère veut se venger de cette injustice. Elle vend son dernier champ, et envoie Milarépa auprès de Yongten Trogyal, un maître de magie noire. Il jette un sortilège et détruit une partie du village, tuant environ 30 personnes. La foule en colère le poursuit. Milarépa trouve refuge auprès d’un moine, et tandis que sa mère se rejouit de la vengeance accomplie, il est rongé par le remords. C’est alors qu’il reçoit un conseil qui changera sa vie : « Les ennemis naissent de ton esprit; Pour les vaincre, cesse les actions négatives, Cultive les actions positives, et Maîtrise ton esprit ».
Gesar Mukpo begins by interviewing a fellow Canadian, Dylan Henderson, who was the first Caucasian tulku discovered in the West, recognized in 1975 by Chögyam Trungpa Rinpoche as the incarnation of one of his teachers. The identification was confirmed by Rangjung Rigpe Dorje, the 16th Karmapa, who requested that Henderson come to the Rumtek Monastery in India for the rest of his life. Chögyam Trungpa, however, recommended that he remain in the West. Henderson maintains his Buddhist studies and practices, but without the form and structure present in the East. He has a degree in anthropology and history.
Une fille, un garçon et un vieux technicien de cinéma se retrouvent tous les soirs dans une petite salle de cinéma pour se raconter des histoires. Le film se compose de six contes se déroulant à des époques et dans des pays variés, dans un univers d'ombres chinoises. Avant chaque conte, le garçon et la fille décident, en accord avec le vieux technicien, des personnages qu'ils vont jouer et de l'histoire qu'ils vont interpréter ; ils choisissent une époque, un pays et des costumes grâce à la documentation que le technicien leur apporte, et se fabriquent vêtements et accessoires grâce à une machine commandée par ordinateur. Ils se placent alors derrière le rideau de la salle de cinéma, que le technicien lève lorsqu'ils sont prêts. Les six contes sont « Le Loup-garou », « Tijean et la Belle-sans-Connaître », « L'élu de la ville d'or », « Le garçon tam-tam », « Le garçon qui ne mentait jamais » et « La fille-biche et le fils de l'Architecte ».
Alors que la Coupe du monde de football 1998 est disputée en France, Palden et Nyima, deux jeunes tibétains ayant fui leur pays arrivent dans un monastère bouddhiste au nord de l'Inde. Ils y reçoivent leur ordination à la vie monastique, mais celle-ci va rapidement laisser place à la passion du football. Palden se retrouve entraîné par Orgyen, son camarade de chambre, à regarder la nuit le match des quarts de finale dans le village voisin. Sur le chemin du retour, ils sont pris sur le fait par le geko, le maître de discipline du monastère, qui les punit. Avec l’approche de la finale, Orgyen réussit, non sans peine, à autoriser la diffusion de la finale de la Coupe du Monde au monastère. Ne possédant cependant pas de télévision, une course contre la montre commence afin de récolter assez d’argent pour en louer une. Après de nombreux obstacles, les résidents du monastère réussissent finalement par regarder la finale France-Brésil tous ensemble.