Rosario est entrée illégalement aux Etats-Unis. Cela fait quatre ans qu'elle n'a pas vu son fils, Carlitos qui est âgé de neuf ans maintenant. Rosario, qui actuellement vit à Los Angeles en Californie, appelle son fils resté au Mexique tous les dimanches. Carlitos vit dans un petit village mexicain appelé Juchitepec avec sa grand-mère malade, sa tante (Josefina) et son oncle (Manuel). Ce dernier essaye de prendre la garde de Carlitos dans le but de voler l'argent que Rosario lui envoie. Tout les dimanche à 22h, Carlitos est appelé par sa mère depuis une cabine téléphonique.
Deux frères débarqués de leur Italie natale, l'un doué pour les affaires l'autre derrière les fourneaux, tentent de maintenir leur restaurant ouvert et de partager les valeurs culinaires qui leur sont si chères.
Deux immigrés illégaux à Londres, qui travaillent dans un hôtel, découvrent que d'autres clandestins sont acculés à vendre leurs organes pour obtenir des papiers.
Après La Forteresse, qui décrivait l'accueil des demandeurs d’asile en Suisse, Fernand Melgar porte son regard vers la fin du parcours migratoire. Au Centre de détention administrative de Frambois à Genève, des hommes sont privés de liberté dans l’attente d’un renvoi. Requérants d’asile déboutés, condamnés étrangers ayant purgé leur peine ou sans papiers, ils sont sommés de partir après, pour certains, avoir passé plusieurs années en Suisse, travaillé, payé des impôts, fondé une famille. Leur incarcération peut durer jusqu’à 18 mois. Dans ce huis clos, la tension monte au fil des jours. D’un côté des gardiens bienveillants, de l’autre des détenus vaincus par la peur et le stress. Des rapports d’amitié et de haine, de respect et de révolte se nouent jusqu’à l’annonce du renvoi vécu comme une trahison. Ceux qui refusent de partir et susceptible d'opposer une forte résistance physique sont menottés, ligotés et installés de force dans un avion pour un « vol spécial » qui se déroule la plupart du temps dans la détresse et l’humiliation.
Un riche polonais envoie quatre compatriotes munis de visas touristiques pour retaper sa maison londonienne. Ce qui est une bonne affaire pour tout le monde. Cependant, les travaux s'avèrent plus compliqués que prévu, et poussent Nowak, le contremaître, à se comporter en véritable tyran avec ses ouvriers. Ils ignorent cependant comment il redouble d'ingéniosité afin de leur procurer nourriture et matériel malgré le petit pécule dont il dispose. Pendant ce temps, l'état de siège est décrété en Pologne. Nowak, qui apprend la nouvelle, décide de ne rien dire à ses camarades.
Jamal et Enayatullah sont deux cousins afghans qui vivent à Peshawar, au Pakistan. Orphelin, Jamal habite dans l'immense camp de réfugiés de Shamshatoo et gagne un dollar par jour dans un atelier.
Those who seek political asylum in Italy fear for their very survival. They are forced to wait for several years, are forbidden to work and receive no assistance from the State. They are not provided with lodging, food or information. The refugees set up communes, building shelters, squatting derelict buildings near to centres of agricultural employment and frequently move around according
Freddy a quitté clandestinement la Bolivie pour les faubourgs de Buenos Aires, dans l'espoir de trouver une situation meilleure et de faire venir sa famille. Il trouve un emploi de cuisinier dans un café, mais l'accueil est plus froid que prévu.
Bruno is a young immigrant returning to Chile from Germany after a long absence. Bruno is staying in the house of his cousins in the country, where the whole family are gathered to bid the place a farewell, as it is about to be sold. They visit a place that he remembers fondly, the "Magnetic Tree" a local curiosity. The tree has a mysterious magnetic force, so powerful that it can pull cars toward itself.
Le film narre l’histoire vraie d'Hibat Tabib — joué par son fils, l'humoriste Kheiron — et de son épouse Fereshteh — incarnée par Leïla Bekhti. Jeunes Iraniens, militants pour la démocratie, ils contestent le régime du shah, Hibat passe sept ans dans les geôles du shah. Après la prise du pouvoir par l'ayatollah Khomeini, Hibat et Fereshteh constatent qu'un tyran a succédé à un autre, et sont contraints de fuir leur pays en 1984. Le film raconte leur vie en Iran dans la clandestinité, leur fuite dangereuse puis leur exil en France. Après leur arrivée en Seine-Saint-Denis, ils s'intègrent et s'impliquent dans la vie associative locale. Leur fils s'oriente vers les métiers du spectacle et deviendra l'humoriste Kheiron.
In 2006, producer/director Lisa F. Jackson travelled alone to the war zones of the Democratic Republic of the Congo documenting the plight of women and girls impacted by the conflicts there. She was "afforded privileged access" to the realities of life in Congo, and found "examples of resiliency, resistance, courage and grace". In a 2008 interview with NPR, Jackson said "I knew going to eastern Congo as a white woman alone in the bush with a video camera that I might as well have landed from a spaceship." Jackson had been a victim of gang rape thirty years earlier, and shared this experience with the survivors she interviewed. Much of the film features these women recounting their stories, which have left them "traumatised and isolated - shunned by society and their families, and suffering life-long health effects, including HIV." Context and background are discussed in interviews with doctors, politicians, peacekeepers, activists and priests. Jackson visits a clinic devoted to treating women with traumatic injury due to sexual violence, particularly cases of vesicovaginal and rectovaginal fistula. In addition, Jackson went out into the bush to interview some of the perpetrators, soldiers who spoke without apparent conscience about the women they had raped, and their often bizarre justifications. "You really can say that there's a culture of impunity in the Congo, where none of these men will face arrest for what they've confessed to me on videotape," Jackson noted. The focus of the film, though, is the stories of the victims, "who just poured their hearts out to me with these stories, including over and over again, please take these stories to someone who will make a difference.